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28 mai 2024

Dessin


Après la mort
de l'homme
celle du Dieu
car un 
Dieu
mort qu'est-ce que c'est
donc pas de 
Dieu
pas de...
point référent
une puce sur le dos
d'un tigre
pas Borges
Nietzsche
et pas du
TOUT
Alors
L'ART
après la mort
en l'éternel
amouir
le Dieu
n'a pas à être
ou wattever
ART
par le dédouanement
des aimé(es)
art d'aimer
l'humain tel qu'il n'est pas
aimer le désaimable
en forme de
Daumier
ou encor 
désinformé
du gros 
JE
de lui l'autre 
non ceux là
en perdant
Margot
NATURE
natures
es muss ein
et la nature
et les chéri(es)
au passage
divinement

ICI
MÊME
D'AILLEURS
et le début 
en sa fin
fanaison
d'amor fati
amouir
Alors qu'est-ce que
L'ART
et la lâcheté
est à la fin
pascalienne
se mourir
ayant tenu
vivant
la mort incluse
dedans dehors
alors là
le glas
et à chacun sa mort
rilkéenne
ou 
cézannienne
ou... .
Enfin
un petit dessin
en nature
après
TOUT
NATURE
natures
IL Y A
être ou pas
Dieu ou pas
qui ne se peut
posthume
au nihilisme
Et toute explication
n'est que la part
de rejet ou d'une tentative
à
 ÊTRE
L'ART
EST
soudé à
Dieu 
lumière
de la création
qui n'est pas ne seras jamais
à hauteur de dieu homme
la mort de 
Dieu
est la plus grande
facétie
de la
NATURE
natures
qui à besoin de son sang
la nature
EST
la beauté
des unions
blakienne
( ...sachez qu'au temps jadis
L'amour,
le tendre amour
était
jugé comme un crime.)
Enfin
proématique
et après
juste avant de crever
et vers ou pas
tenir
point d'appuis
par la grande politique
de son propre 
gouvernement
lieu de la vive mémoire
ultime
passage
et tristesse d'abandon
en mots à maux
des pâturages
et les folies guerrières
tenant 
aux embellies
du
Poussin
 sur nature
par Cézanne
et en mieux
les chéri(es)
en de terribles
effrois
vers la
MORT



Encre sur papier
(2024)

Des moments 
de chevaux
d'animaux
Music
et les bombardements
sur les oubliés
nietzschéens
marquant la fin
de l'homme
et sa grosse grappe
à là quand
des vendanges
ivre alors
debout après la boue
de bruit et fureur
et bien soit
Géricault
IL Y A
et 
L'ART
camouflet
splendeur
de vivance
pleine lumière
et naissant à naître
passant
par la vie
divine


Mais 
L'ART
de tuer
nature
TOUT
en doux
 désensorcellement
du temps
passage
main tenir
la
MORT
vivante
Ô
VOIR
et d'ayant vu
les aimé(es)
du jour
en pleine nuit
en ce qui ne se dit pas
un dessin
de 
SILENCE

 

23 janv. 2024

Artvie


... . et de la mer
veille
d'eau perdu
des larmes
et de misère
en
mise
en scène
de vent
TOUT
et le mot dire
sur la clarté
des sacrifiés
de l'approche
et du tenir
bien que
les mains sur la parois
tracent
depuis un bon bout
par les larmes d'éros
et bien après
Munch
encor
Ensor
pour ne nommer
que les emmurés
au
TOUT
du monde
et du pour en sortir
des affraires
d'en ciel à soir
Alors
sur le tas 
d'os et de chairs
aux camps
du
CAMP
Qu'est-ce que
L'ART



Tête
Morte
en pleine
NATURE
main tenir
la
MORT
ou ses congénères
à distance
d'un petit dessin
le temps
main tenu
d'aimer
qu'est-ce qu'aimer
veut dire
en fait le
SILENCE
de l'agonie
du mâle
en mal 
d'éternuité
impuissante
en ses mots
à signifier
 l'effleurement
du sinthome
pour apprivoiser
l'EFFROI
sur les lèvres
aux baisers
d'abysses 
que laisse voir
l'ART
en passant 
outre part
vers 
D'OÙ
vers 
verrous
depuis il était
la lumière
du temps
et de la morallinne
au tant 
que veut
la chair des prix
à payer
pour un souffle
de mise errante
Pas lui lui
l'autre
prédation
en 
TOUT
du cercle
de la petite mort
en mise en veilleuse
d'un cadavre l'autre
En Fin



Échelle
dl'â côté
de l'histoire
en 
Ulysse
Ô
mer
vagant
d'attente
et combien
risible
l'en 
TOUT
reloupe
et la prise
justificative
du
TOUT
du tant go
d'une danse
avec la mort
terminant
inflexiblement
éternellement
le fondement 
sans fond
de
Miller
à côté
bien entendu
de la création
du mal
trichant
du jeu 
de qui joue
de la flûte
enchantée
de mots arts
Enfin
pour ce que veulent dires
les pauvres maux
du mourir
en somme
et au prix
du plus gros
TOUT
reviendras
d'où il vient
à côté
de l'histoire
et sans parchemin



Art décadré
pour le
JEU
dit
des trois
 3
histoire conte question
et tenir
retenir
le jour
en pleine nuit
éternel
en quatre
4
à voir
ayant trépassé
le
TOUT
du mur
et ses mots du maux
dit
Pour que la 
FÊTE
commence

5 nov. 2022

L'Oeil Exilé



'' Comment
 peut-on être  
si loin
 de ce que l'on a
de plus près '' *
Ne rien dire
RIEN
se dit
se bruisse
et la
Nature
natures
poursuit
sa progression
vers
l'infini
de son vide
évidé
de son néant
en
Somme
pour la poursuite
du point
 d'appuis
et l'univers
Oui l'uni-vers
quoi... .
Le nihilisme 
prostré
de la prostate
et de la reproduction
du même
en milliards 
d'en 
SOMMES
La rétractation
de la semence
existentiel
du transport des molécules
en temps
d'après 
TOUT


Art
enfin
tantôt
les règles
dérèglées
règleront
à peu près
TOUT
Deleuze
enfin
défenêtré
tirant
l'aujourd'hui
d'hier
à deux mains
...'' attendez que la force
incompréhensible
vous relève
un peu...'' **
et par la suite
des arrières
protégés
la lumière
passe sa chaleur
amoureuse
sur les gestes
pleins de tendresses
pour L'Amour
vraiment aimé
d'amour vrai
vraiment
et ils sont tous
ICI MÊME
à présent



Encor
faut-il
qu'il y est
EST
et de ce qui à été
qui du plus 
que difficile
s'Oeil
vertigineuse
présence
de la multitude
du
UN
des uns
spinoziste
spectraque
ou encor
mauvais sort
à l'abyssale 
 conscience
de ce qui se donne
comme
enjeu
par la
 MORT
dedans dehors
ou le corps
éphémérisé
d'agonie
moléculaires
vers la séquence
en final
apocalyptique
du 
Verbe
en vent fou
d'angoisses
en combien
gesticulant
postulant
quelque sage
obéissance
à d'ancestrales
advenues
au TRI
univers
de
QUOI
arrivant
ruiné en morceaux
de chairs
décomposées
d'en 
Somme
et sans pourquoi
le monde
selon
l'opinion
des uns 
de lui le
Même
catapulté
au fond du temps
et de sa 
FIN
d'histoire
pour un 
Conte
en reste
à la sortie
de lumière
se racontant
sans fin
avec ou sans
se quelque chose
de
RIEN


Valéry *
Proust **


2 août 2021

Traverse


Et puis
redire
autrement
toujours
l'instabilité
du 
TOUT

Jamais
toujours
pareil
la même
eau

L'Amour
en miettes
soudé
de main
de maître
Bien prise
agrippant
la non liberté
d'Être

Des preuves
d'éphémères
d'astres
et désastres
de choses
et d'autres
Tantôt 
la
MORT
auras
tout engouffrée
Être


Acrylique
sur toile (2007) *

Ceci plutôt
que cela
Sachant
le chant
des muses
sans amusement
Oui 
en toute
connaissance
de chose
d'Où
vers
Où?
Que de dire
à la petite
oreille
de la cage
en cul butée
des pères
 de l'enfer
sur veille
la nuit
seras longue
et la lumière
de Bacon
ferment
d'oranges
moisies
sous les tropiques
de Lévis Strauss 
d'une gênante
présence
qui s'éteint
de peur
de se faire voir
pragmaticiens
des crânes
ouverts
évidés
d'un jamais
été
autre
qu'un variant
de la grande
 MORT



À voir
résiduels
et temps
sans Proust
que mémoire
100 ans
sentant
le ranci
le cadavre brûlé
du Camp
la boule
éteinte
au bleu
des peintres
La poésie
terminant
Novalis
la fin 
en voile
de Saïs
et des dieux
d'enfants
de toutes
les couleurs
sur le tombeau
d'ignorance
comptable
D'abattoirs
à tout
bout de champs
des morts
triés
sur le volet
de la loi
du marché
de l'indice
des chairs
et des os
Demain
tantôt


En Fin

Les supérieurs
en quoi?
Pas en rire!
Laissons là
les comateux
plein de confiance
ils y en a
de meilleurs
encore
au parti pris
des choses
Paille 
et poutre
et tous les enfants
de la vérité
savent
la grosse farce
ennuyeuse
méchante
ressentimenteuse
du caca
quotidien
désenchanté
de ne pas
PAS
'' Ce qui m'importe
c'est l'éternel
vivacité...'' *
Mais allons
 sachons
au-delà
du paradoxe
et de la contradiction
Art 
argent
agent
la gale rie
 les entourloupes
de l'histoire
la leurs
leurrant
les leurres
entre-eux
les nés
de l'aujourd'hui
en vérité
c'est
TOUT
y compris
les cons





Lavoie*
Nietzsche **




22 juil. 2020

Tête A Marre





D'espace
d'air
les songes
étang
des ratés
de temps
autres
C'est sans lire
cachant
l'esprit
qui chuchote
Samsa
Et des mœurs
sans les oiseaux
et l'extase
des accroires
dans la marre
des chemins
de déroutes
déroulant
autres choses
que cache ton dieu
ta joie
tes motifs
tes cris
et rire rire
RIEN
ça guérit
des erreurs
du Jenous
des vérités
bluffées
de la quotidienneté
du jeu
kafkaïen
pendant que l'évanouie
succombe
disparaît
avec la chaîne
du vivant
là les ours
avant les panthères
les éléphants
tous en signes de $
valeurs marchandes
poussées
jusqu'à épuisement
des forces
sommées 
de se suicidées
là les cellules
qui n'ont que des barreaux
a manger
pas le temps
d'esprit
ayant lui abdiqué
avec les idéologies
enfin 
Quoi? L'éternité retrouvé
bouffonne ou poétique
RIEN



L'éternité
RIEN
et l'inévitable
à eu lieu
depuis NADA
RIEN
et ceci
où est le bec
un varius
résiduel
romancé
de la récupération
du capital
en bicycle 
d'avenir
pavé sur le dos
de Céline
priant 
l'édition
qu'il le veillent
absoute
Des nouvelles
fraîches
au cimes taires
des pions
sous la pièce
d'un jeu
mené par son créateur
un tour
en cheval 
a écurie
du fou du roi
où la reine est maître
et sous les dalles
de la cervelles
des vides cœurs
idéologiques
ayant vidés
la question
du capitalisme
en remplissant l'eux poches
POCHES



A la Fin
ils s'agenouillèrent
ou étendus
sur les plages
d'Ensor
sortie d'un rendez-vous
d'avec Albert
l'égal de la formule
particules
d'hydrogènes
pas gênées
du TOUT
et boom
sur toutes les couleurs
les silhouettes
formèrent
des langues de feux
revanchardes
etc etc
Le reste 
en reste de particules
et les menteurs
Allons...



Dessin Pour Jérémie

Votre vie privée
nous intéressent
invisiblement
ça bêlent
de ce faire
savoir
que vous êtes là
à la liste des disparus
et passer date
Le parc humain
ayant été
à la solde
de cela qui appelle
( la terre ayant 
besoin de son sang)
sève des mers
au sel allé avec le seul oeil
Bref s'écarter
des écritures
Laissez-la s’apaiser
de la bonne tempête
et que je dorme un peu
puisque vous reposez
avec Verlaine


D'ici l'Enfer
ce jauge
à la rudesse
de la Natures natures
en solitude
pour Robinson
sans Vendredi
Etchart 
Pavese
Gogh
et des suites
infinis
en pétales de roses
au parfum
moyenâgeux
pestant 
le l'odieuse
odeur des putréfactions
d'un noir absolue
de la mise
à l'index
du Paradis
par ses prétendant même
Un des uns
cela vient
arrive


22 mars 2019

Rang Donné


Vu
En Gris
(après la lutte)


Rire 
Pourquoi
dire 
alors 
qu'il 
n'y a pas
à dire
Voir 
l'effroi
régurgité
la vie
ressuscitée
blanchie
de début
clarté
foudroyante
de beauté
Paradis
joie
rude
à main
tenir
l'épave
tombante
aussi
sifflements
bourdonnements
d'étoiles
en frôlant
les couleurs
étranges
traces
griffées
balafrées
creusées
crie des fins
d'à jamais
plus
sale affaire
cul-de-sac
impasse
Boom
déplogué
bogué
fucké
noirs
suifs
Nul et nu
chassé
de l'enfer
tu sais
t'a vu
RIEN
extase
oiseau
chien
chat
précepteurs
des verts
Douanier
chant
de victoire
cerclée
de célestes
acteliers
épiphaniques
C'EST ÇA
la leçon
de perdition
mémoire
ancestrale
de pas
de chemin
Cannes de roches
kikc la kécanne
cailloux pierres
dans la sandale
fronde d'opinions
publiques
"...de prendre
toutes choses
au pis;et ce pis-là,
me résoudre
à le porter
doucement
et patiemment..."*
Underground
maître des marges
des nouveaux
matins avec Thoreau
"la désobéissance
est le véritable
fondement
de la liberté"**
en pensées
tu n'es pas mort
J.L...tu peins
découpes
colles
tu fonds la cire
chandelle de lumière
Rhum St-James
Marie Jeanne
et l'oxygène
des fins...



Ronde
Pour Un Roi
En Dessous
De La Nuit


Tout n'est plus
aujourd'hui
au carré que stèle
d'ennuis et de mort
cendres
on voyait à l'atelier
l'annonce
de la mort d'Aquin
Là exactement
le sel des yeux
ayant blanchi
le pays
de son linceul
Mais c'était pas ça
le FAIRE
Créer seulement
déjà en plein
proématique
Donc comme tu dis
Assez
c'est bien
assez!

Encor quelques
RIEN
de poussières
et rognures
"...aussi j'aime
les malheurs
tout purs,
qui ne m'exercent
et tracassent plus
après l'incertitude
de leur rhabillage..."*
et tout retourne
au magma
des gris de cendres


Montaigne*
Thoreau**


(Photo de J.L. Lamarche)







12 oct. 2018

L'Encadré


Copie Nage


Escrocs griffes
assassines
avant pendant
après
Art de ne pas
laisser de traces
fichées sociales
Vous d'où
chat men
le sort si et plus...
Cannibale
mangeant ses tubes
tripant de ses tripes
art de ne pas
dire le vrai
du mensonge
sanguinaire
passant outre
aux attrapes festives
des naissances
aux cercueils
Volant avec la mort
prise en flagrant
déni d'elle-même
Pur-sang du Dieu
fait l'homme
Ne plus dire
mais redire
et dédire
prédire
se faire Voir
l'AILLEURS ICI
comme un plaisir
de vibrance
Sachant le sang
des fleuves
le goût salé
des cuisses
en coquilles
de pets le voile
au palais
là quand te tient
sur le divan
en divin Marquis
S'agissant
de se libérer
en interdisant
et passer à la ième
dimension du plaisir
s'envoûter autres
bon ça lira ça ira
ça tournera de bord
du bord au bord
bordé noir de monde
entouré du Fra
des ors dures
en ordre de Poussin
se poussant en Art
avec raison
du Greco de son Tolède
qu'a rat contée l'histoire
de lui le Même
en abysse abîmé
du je des uns du UN
devant l'horrible
Nature natures
va son train train
pleine vapeur...
Fasciné ensorcelé...
Turner tient bon
la lumière colore
la Vérité
liquéfaction
tsunami
le lieu s'éclaire
William est mort
sur le quai des brumes
et puis Saint-Lazare
les glaces les miroirs
Paris s'enfume
fredonne fait de la fumée
sur tout ça...
Enfin les atomes
nus errent à l'entrée
du Camp
"en dehors de la peinture
et du jardinage je ne suis
bon à rien'*
guéguerres guerres guerre
la même éternelle
Malheur à ceux
qui entrent ici
Rodin l'Enfer
dantesque
Vert tige vert âtre
coquelicot
des ponts de peintre
lyrisme cadré
de mémoire ancestrale
shakespearienne
et des faux faussant
en cul-de-sac
cucubés s'encucubant
vers une pipe qui s'agrippe
à ne pas voir Saïs
en pleine Nature
avalée ses avaleurs même
Du champ fait patate
bouche la sortie
et fume attendant god art
là camp Freud
analyse Groucho
un doigt dans le compost
des nourritures
extra-terrestre
Parler pour dire
l'enluminure
en bruits qui trépassent
l'effet mères
pour voyant lumineux
Ne pas y être
mais comment?




Haut-Relief
Murmurant
Du Mur


D'ancestrales flambées
de passées immortelles
en pas LÀ
De ceci pour enfin
tout fin seul
sachant...l'effritement
de l'éphémère affraire
forcé à prendre et à laisser
en conte d'autres leurres
à croire qu'un corps
étranger joue à se multiplier
formant déformant
au gré de ses contradictions
forçant le lumineux
à se faire voir
en UN des uns
et ainsi donner
un cadre à la liberté
qui n'en veut pas
mais apprivoisé
fait RIRE le VOIR
passant outre
à l'être et néant
pour le RIEN
du TOUT
et sans ce
tout du rien
Trou pour une tombe
tombant à zéro
sous drapeau
du caca démis
de ses fonctions
cadrant le cadré
du cadran
Alors LÀ
ananart ananas
jonglant des maux
à mots traduire
chair AILE
de l'Anse-Pleureuse
par tous les holocaustes
de trahisons
Amouir...
des cimes taires




Monet*