'' Comment
peut-on être
si loin
de ce que l'on a
de plus près '' *
Ne rien dire
RIEN
se dit
se bruisse
et la
Nature
natures
poursuit
sa progression
vers
l'infini
de son vide
évidé
de son néant
en
Somme
pour la poursuite
du point
d'appuis
et l'univers
Oui l'uni-vers
quoi... .
Le nihilisme
prostré
de la prostate
et de la reproduction
du même
en milliards
d'en
SOMMES
La rétractation
de la semence
existentiel
du transport des molécules
en temps
d'après
TOUT
Art
enfin
tantôt
les règles
dérèglées
règleront
à peu près
TOUT
Deleuze
enfin
défenêtré
tirant
l'aujourd'hui
d'hier
à deux mains
...'' attendez que la force
incompréhensible
vous relève
un peu...'' **
et par la suite
des arrières
protégés
la lumière
passe sa chaleur
amoureuse
sur les gestes
pleins de tendresses
pour L'Amour
vraiment aimé
d'amour vrai
vraiment
et ils sont tous
LÀ
ICI MÊME
à présent
Encor
faut-il
qu'il y est
EST
et de ce qui à été
qui du plus
que difficile
s'Oeil
vertigineuse
présence
de la multitude
du
UN
des uns
spinoziste
spectraque
ou encor
mauvais sort
à l'abyssale
conscience
de ce qui se donne
comme
enjeu
par la
MORT
dedans dehors
ou le corps
éphémérisé
d'agonie
moléculaires
vers la séquence
en final
apocalyptique
du
Verbe
en vent fou
d'angoisses
en combien
gesticulant
postulant
quelque sage
obéissance
à d'ancestrales
advenues
au TRI
univers
de
QUOI
arrivant
ruiné en morceaux
de chairs
décomposées
d'en
Somme
et sans pourquoi
le monde
selon
l'opinion
des uns
de lui le
Même
catapulté
au fond du temps
et de sa
FIN
d'histoire
pour un
Conte
en reste
à la sortie
de lumière
se racontant
sans fin
avec ou sans
se quelque chose
de
RIEN
Valéry *
Proust **