Copie Nage
Escrocs griffes
assassines
avant pendant
après
Art de ne pas
laisser de traces
fichées sociales
Vous d'où
chat men
le sort si et plus...
Cannibale
mangeant ses tubes
tripant de ses tripes
art de ne pas
dire le vrai
du mensonge
sanguinaire
passant outre
aux attrapes festives
des naissances
aux cercueils
Volant avec la mort
prise en flagrant
déni d'elle-même
Pur-sang du Dieu
fait l'homme
Ne plus dire
mais redire
et dédire
prédire
se faire Voir
l'AILLEURS ICI
comme un plaisir
de vibrance
Sachant le sang
des fleuves
le goût salé
des cuisses
en coquilles
de pets le voile
au palais
là quand te tient
sur le divan
en divin Marquis
S'agissant
de se libérer
en interdisant
et passer à la ième
dimension du plaisir
s'envoûter autres
bon ça lira ça ira
ça tournera de bord
du bord au bord
bordé noir de monde
entouré du Fra
des ors dures
en ordre de Poussin
se poussant en Art
avec raison
du Greco de son Tolède
qu'a rat contée l'histoire
de lui le Même
en abysse abîmé
du je des uns du UN
devant l'horrible
Nature natures
va son train train
pleine vapeur...
Fasciné ensorcelé...
Turner tient bon
la lumière colore
la Vérité
liquéfaction
tsunami
le lieu s'éclaire
William est mort
sur le quai des brumes
et puis Saint-Lazare
les glaces les miroirs
Paris s'enfume
fredonne fait de la fumée
sur tout ça...
Enfin les atomes
nus errent à l'entrée
du Camp
"en dehors de la peinture
et du jardinage je ne suis
bon à rien'*
guéguerres guerres guerre
la même éternelle
Malheur à ceux
qui entrent ici
Rodin l'Enfer
dantesque
Vert tige vert âtre
coquelicot
des ponts de peintre
lyrisme cadré
de mémoire ancestrale
shakespearienne
et des faux faussant
en cul-de-sac
cucubés s'encucubant
vers une pipe qui s'agrippe
à ne pas voir Saïs
en pleine Nature
avalée ses avaleurs même
Du champ fait patate
bouche la sortie
et fume attendant god art
là camp Freud
analyse Groucho
un doigt dans le compost
des nourritures
extra-terrestre
Parler pour dire
l'enluminure
en bruits qui trépassent
l'effet mères
pour voyant lumineux
Ne pas y être
mais comment?
Haut-Relief
Murmurant
Du MurD'ancestrales flambées
de passées immortelles
en pas LÀ
De ceci pour enfin
tout fin seul
sachant...l'effritement
de l'éphémère affraire
forcé à prendre et à laisser
en conte d'autres leurres
à croire qu'un corps
étranger joue à se multiplier
formant déformant
au gré de ses contradictions
forçant le lumineux
à se faire voir
en UN des uns
et ainsi donner
un cadre à la liberté
qui n'en veut pas
mais apprivoisé
fait RIRE le VOIR
passant outre
à l'être et néant
pour le RIEN
du TOUT
et sans ce
tout du rien
Trou pour une tombe
tombant à zéro
sous drapeau
du caca démis
de ses fonctions
cadrant le cadré
du cadran
Alors LÀ
ananart ananas
jonglant des maux
à mots traduire
chair AILE
de l'Anse-Pleureuse
par tous les holocaustes
de trahisons
Amouir...
des cimes taires
Monet*