D'espace
d'air
les songes
étang
des ratés
de temps
autres
C'est sans lire
cachant
l'esprit
qui chuchote
Samsa
là
Et des mœurs
sans les oiseaux
et l'extase
des accroires
dans la marre
des chemins
de déroutes
déroulant
autres choses
que cache ton dieu
ta joie
tes motifs
tes cris
et rire rire
RIEN
ça guérit
des erreurs
du Jenous
des vérités
bluffées
de la quotidienneté
du jeu
kafkaïen
pendant que l'évanouie
succombe
disparaît
avec la chaîne
du vivant
là les ours
avant les panthères
les éléphants
tous en signes de $
valeurs marchandes
poussées
jusqu'à épuisement
des forces
sommées
de se suicidées
là les cellules
qui n'ont que des barreaux
a manger
pas le temps
d'esprit
ayant lui abdiqué
avec les idéologies
enfin
Quoi? L'éternité retrouvé
bouffonne ou poétique
RIEN
L'éternité
RIEN
et l'inévitable
à eu lieu
depuis NADA
RIEN
et ceci
où est le bec
un varius
résiduel
romancé
de la récupération
du capital
en bicycle
d'avenir
pavé sur le dos
de Céline
priant
l'édition
qu'il le veillent
absoute
Des nouvelles
fraîches
au cimes taires
des pions
sous la pièce
d'un jeu
mené par son créateur
un tour
en cheval
a écurie
du fou du roi
où la reine est maître
et sous les dalles
de la cervelles
des vides cœurs
idéologiques
ayant vidés
la question
du capitalisme
en remplissant l'eux poches
POCHES
A la Fin
ils s'agenouillèrent
ou étendus
sur les plages
d'Ensor
sortie d'un rendez-vous
d'avec Albert
l'égal de la formule
particules
d'hydrogènes
pas gênées
du TOUT
et boom
sur toutes les couleurs
les silhouettes
formèrent
des langues de feux
revanchardes
etc etc
Le reste
en reste de particules
et les menteurs
Allons...
Dessin Pour Jérémie
Votre vie privée
nous intéressent
invisiblement
ça bêlent
de ce faire
savoir
que vous êtes là
à la liste des disparus
et passer date
Le parc humain
ayant été
à la solde
de cela qui appelle
( la terre ayant
besoin de son sang)
sève des mers
au sel allé avec le seul oeil
Bref s'écarter
des écritures
Laissez-la s’apaiser
de la bonne tempête
et que je dorme un peu
puisque vous reposez
avec Verlaine
D'ici l'Enfer
ce jauge
à la rudesse
de la Natures natures
en solitude
pour Robinson
sans Vendredi
Etchart
Pavese
Gogh
et des suites
infinis
en pétales de roses
au parfum
moyenâgeux
pestant
le l'odieuse
odeur des putréfactions
d'un noir absolue
de la mise
à l'index
du Paradis
par ses prétendant même
Un des uns
cela vient
arrive