29 mars 2024

Il Y A quoi... .


Vers le sans vous
et comme comme tous
de chair et d'os
peintre sculpteur
graveur... .
donnant des images
et des paroles
au ciel chantant 
pauvre et ayant perdus
tout
ce que le 
TOUT
croit avoir engrangé
pour les jours
terribles
qui normal
vont se produire
et de là
passer à la casserole
dit 
Jacques
et l'or du temps
auras grugé
la terre jusqu'à son feu
de poussières
alors
et bien 
L'ART
ce survol
des choses vivantes
disparaissant
à vu d'oeil
engagées vers le destin
des métamorphose
stellaire
et qui n'ont pas
toujours été
alors 
L'ART
là se pose lentement
tient
parmi tant de sévices
et de bonnes intentions
prédatrices et assassines
passant en répétition
à perpètes
le même
indice boursiers
des comptes
de pas lui l'autre
etc
ART
pour les yeux
ouverts
se rendant disponibles
pour les célestes
et la suite
impossible
au 
TRI
de la
VRAI VIE
au risque de la perdre
dit
Uguay 
(... ce que je n'ai pas
comment le donner;...)
et par les chemins
de larmes
et de massacres
du plus que soi
DE LÀ
et de nul part
ailleurs
LA MAIN
À L'OEUVRAGE


Le savait-elle
et lui le sait-il
la
MORT
par quel vent mauvais
arrive
l'outrage
du mal
à l'innocente
présence
où se bouffe
les merveilles
éclairant
la joie
d'aimer
TENIR
dans les cries
de la torture
immonde
des aimé(es)
ART
sinon la
DISPARITION
et à jamais plus
la conscience
du mourir
et qui sans les mots
va par le bâillon
aux catastrophes
sourdes
et indicibles
LA MORT
la sortie de cet
état 
(le monstre hegelien)
cette 
MORT
morte
écomomifié
de ses déchets
à idées
et paver d'os
et d'
OUBLI
éternel



L'Oeil Sol'Oeil
et les tournesols
et les pauvres
iris
et la tragédie
de
L'ART
pour en voir
la portée
d'EFFROI
qui évidemment
est caché
par le futile
et les faits quotidien
jusqu'au moment
(maman)
des tranchées
pour la fin des temps
et du jamais plus
mon amour
La guerre
les perdants
l'innocence
engagée
pour perdre... .
le peu que d'être
et d'avoir été
quoi... .
l'inévitable
lui pas l'autre
et surtout pas soi
n'ayant pas 
VU
L'ART
et ses vérités
à
TOUT
dire
postpoétique
proématique
désinatique
présence
et 
par ses failles
données
pour tenir
la main d'
AMOUIR


S'en Tenir



Créer
en douce
et en main tenant
la force
de l'image
où elle se doit
de l'esprit
à l'acte
de donner à
VOIR
Enfin 
L'ART
c'est l'effort
pour l'accueillir
de là
par la suite
un monde se fait
symbiotique
Depuis
et même
après la mort
de l'aura
Milles photos
et l'impossible
annihilation
de l'image
en son corps
partagé
Médium
froid
et le demeurant
Arbus
ou même 
Franck
ou pour le paysage
Adams
ou 
Smith
Enfin
une opinion
qui ne téléphone
pas pour le dire
et n'attend pas
le cadavre
pour ressusciter
et faire naître
des petits poissons
+ que vivant
dans l'eau
où tient 
de boue un céleri
Alors
Art
En avant mes chéri(es)
sous peu
de poussières
tantôt
enfin 
TOUJOURS
tu me rend heureux
et tremblant
même longtemps
après ta
MORT


Un je sans 
SOI
et pour
TOUT
hors d'à peu près
TOUT
et depuis 
ce que tu as été
seras
on se le dit
par l'esprit
précisément
où nous sommes
tant que le permettras
la magie
remplie de mystères
juste pour nous

ICI
MÊME
Quelque chose
de
SACRÉ
ALORS
ET BIEN
le
CONTE
y seras
Le reste est très
ennuyeux
et uniformiser
en son
TOUT
qui se crois 
TOUT


De la mer
la rive et les questions
en ressacs
et répétant
se qui gruge
le roc
et passe au désert
de
l'ÊTRE 
SEULe
et dans la vague
et l'échec
nous échoit
était de pleine
conscience
depuis l'avant
du présent
dépassé
par notre
amour
dépendant
et forgé
à la rudesse
du passage
vers la
MORT



'' Un à un tous
 ils devenaient
des ombres.
Mieux vaut passer
hardiment dans l'autre
monde... ''
et tenir
en préférant la baleine
sortie du corps sage
maltraité
par les filets
monstrueux
des prétentions
en grosses quantités
Ce temps
EST
MORT 
mais 
les ayants droits
ayants épuisés
les stocks
du grenier
alors... .
Les mendiants
seront riches
frissonnants
de la faim
partagée
du
VIVANT



Joyce *

28 mars 2024

Voie Âge



L'aube
sans l'aura n'auras 
pas lieu
et le règne
sévère
après l'ère 
du
TRI
et qui ne passe pas
par le gouffre
des bunkers
où personne
ne se sauve de la
BEAUTÉ
à de meurt
en la
DEMEURE
et de sa splendeur
ressuscitée
par l'invisible
attente
résiste
au saccage
étêté
de la nuit en plein jour
en des justifications
machinales
qui de toutes évidences
force
la
NATURE
à sa reprise
de ses en sommes
en un retour
vers l'innommable
abysse
trou noir
insondable
d'où vient
l'IMAGE
qui donne
 VOIR
et le mot pour le 
DIRE
l'EFFROI
et la raison
de cette 
BEAUTÉ
effrayante
que transfigure
 l'élection
de la main à l'oeuvrage
apprivoisant
sa rude méfiance
MATIÈRE
là et las d'
ATTENDRE
la VRAI
VIE
ICI
D'AILLEURS
par à dit
main tenu
de
VIVE MÉMOIRE
d'à jamais plus
la
MORT
en temps de 
PARADIS



Hymne
à l'image
ayant 
et
 est
seras
hors la portée
du vent
qu'emporte
la 
Sas
au centre
de la
MORT
avec sa splendeur
inconnue
des mécréants
Retour
pas nietzschéen
mais posthume
en de vertes
prairies
célestes
juste pour 
l'antre-nous
NATURE 
ESPRIT
des
élu(es)
de la lumière
(rien de moins)



Au mat 
d'Ulysse
et le
CONTE
à rebours
des biens célestes
ICI
MÊME
au sillon
où germe
les sangs abandonnés
insondables
des tueries
 d'instincts
NATURE
natures
par la détresse
devant l'immonde
inassouvissable
 prédation
d'anéantit 
par la mort
de la
MORT
et que voulez-vous tue
des abandonné(es)
du temps
d'errance
et du tragique
sans le théâtre
car
TOUT
(est foutu)
sans l'exutoire
du donné
Alors posthume
à la
DISPARITION
à l'ère 
des chimies
en contrôles
laboratoires
dr Faust
et la rentabilité
de la mal à dit
raisonnant
dans la raison
du plus fort
la poche
pénistencière
de la
NATURE
natures
et son destin
de néant
l'air
 agonisant
en son mouroir 
de faire mourir
à vide



Vers... .


'' Ce qui peut-être
montré
 ne peut être dit '' *

Alors et bien après
exactement
a politique
car il ne concerne 
et cerné
par le cercle hegelien
de pour en sortir
avec les mots
du
VERBE
et bien s'en tenir à l'image
qui est plus près
de l'effleurement
d'AMOUIR
et les langues
de feux
les maux
des innocents
les mêmes
sur les étalages
du massacre
monde
et de 
TENIR
depuis la
MORT
morte
et depuis que 
lui l'autre
pas cet homme
non celui
aux marques
rouges
et des cents
maux 
du 
SILENCE
et des échos lointain
d'hurlements
stigmatisés
pour les sacrifiés
du
TOUT
NATURE
natures



Du terrible
les poules
de
Soutine
ou encor
les natures mortes
la
 VRAI VIE
le cri des pauvres
bêtes
et puis 
tellement
grandes 
tenant devant 
le terrible
ABANDON
qu'eux 
SEULes
et plus que
TOUT
les dépecés
pour les bbq
dans le trou noir
des erreurs
et la multiplication
sans fin
du désastre
'' Je n'est pas 
fusillé
les malheureux
au fond des caves **
et des caches
d'enfants assassinés
là en famille
chuttttt.... .
Ousia
et qu'importe
cela et bien d'autres horreurs
par le sang des autres
Alors
c'est quoi
l'affraire
la vérité
que 
d'ÊTRE
seul un petit poisson
qu'est-ce tu sais 
l'anthropocène ?
Enfin
le mot s'en vient
et fait son petit
poisson de chemin
contre
capitalocène
en fin de partie
et bien
reprendre
encor
et oser
remettre
dans le fouillis 
et cela se verras
QUOI... .
Axelos 
et le
JEU


Et du méli-mélo
posthume
capitalojustifiant
le déni
de MORT
morte
et ses sévices
sur la chaine
des amours
de partages
de ceci
va avec
le proématique
métissé
que Lestié
aimait beaucoup
alors
IL Y A
POSTHUMANT
du moins 
AIMÉ ÊTRE



Très blessé
sans erre 
pour mordu
chéri(es)
Tenir
persister de tendre
ART
en première 
lumière
goyesque
de la main à l'oeuvrage
hors les masses
en leurs 
TOUT
est foutu
Art de vivre
là où la géologie
de la terre bleu
du ciel
par la multiplication
des milieux
s'en va 
s'éloigne
du sang chaud
au coeur éteint
au prix 
de la tirelire
à de Bloy
Enfin 
allons... .
'' C'est pour
tout comprendre
mais ne s'emparer 
de rien... '' **
alors autrement
le passage
vers ou la mort
ou vie
 la vrai
 VIE



Wittgenstein *
Essenine **