28 mars 2024

Voie Âge



L'aube
sans l'aura n'auras 
pas lieu
et le règne
sévère
après l'ère 
du
TRI
et qui ne passe pas
par le gouffre
des bunkers
où personne
ne se sauve de la
BEAUTÉ
à de meurt
en la
DEMEURE
et de sa splendeur
ressuscitée
par l'invisible
attente
résiste
au saccage
étêté
de la nuit en plein jour
en des justifications
machinales
qui de toutes évidences
force
la
NATURE
à sa reprise
de ses en sommes
en un retour
vers l'innommable
abysse
trou noir
insondable
d'où vient
l'IMAGE
qui donne
 VOIR
et le mot pour le 
DIRE
l'EFFROI
et la raison
de cette 
BEAUTÉ
effrayante
que transfigure
 l'élection
de la main à l'oeuvrage
apprivoisant
sa rude méfiance
MATIÈRE
là et las d'
ATTENDRE
la VRAI
VIE
ICI
D'AILLEURS
par à dit
main tenu
de
VIVE MÉMOIRE
d'à jamais plus
la
MORT
en temps de 
PARADIS



Hymne
à l'image
ayant 
et
 est
seras
hors la portée
du vent
qu'emporte
la 
Sas
au centre
de la
MORT
avec sa splendeur
inconnue
des mécréants
Retour
pas nietzschéen
mais posthume
en de vertes
prairies
célestes
juste pour 
l'antre-nous
NATURE 
ESPRIT
des
élu(es)
de la lumière
(rien de moins)



Au mat 
d'Ulysse
et le
CONTE
à rebours
des biens célestes
ICI
MÊME
au sillon
où germe
les sangs abandonnés
insondables
des tueries
 d'instincts
NATURE
natures
par la détresse
devant l'immonde
inassouvissable
 prédation
d'anéantit 
par la mort
de la
MORT
et que voulez-vous tue
des abandonné(es)
du temps
d'errance
et du tragique
sans le théâtre
car
TOUT
(est foutu)
sans l'exutoire
du donné
Alors posthume
à la
DISPARITION
à l'ère 
des chimies
en contrôles
laboratoires
dr Faust
et la rentabilité
de la mal à dit
raisonnant
dans la raison
du plus fort
la poche
pénistencière
de la
NATURE
natures
et son destin
de néant
l'air
 agonisant
en son mouroir 
de faire mourir
à vide