Circonstanciel

Enfin

par où

comment

de cette manière

'' Heureux les vents

qui fuient les jardins ...'' *

aile et pas 

de fausses

identités

au-delà

des apparences

LA MORT

se paye

LA GUERRE

du jeu

à faire semblant

que 

TOUT

roule

comme il faudrait

FAUDRAIT

QUOI

hors les habitudes

à tuer

pour survivre

ou au moins

en payer le prix

de sa propre 

MORT

Alors tension

et détente

pourtant le temps

EST

FOUTU

en

TOUT

et déjà

qu'en naissant sans abri

là

c'est sans air

sans eau

que du chimique

dedans dehors

et comme on est

pris

encagé

et sortir

de ce qui

est stupide

intelligent

même la tête

étêté

sur la rive

où 

TOUT

est disparu

sans Dieu ni Maître

et 

qui se voudrait

ananartiste

ou mieux

Dieu

après 

TOUT

avec ou sans

les mots qui

en trahissent

le cri

d'errance 

et d'horrible

le séjour

en 

Prétentaine

et puis

TOUT

oblige

rend cette chose

imprescindible

Alors

fuir les jardins

et vagabonder

ici là

où 

pas le croyant

'' Des que nous sommes

deux la violence

menace

et il nous faut

apprendre à la gérer '' **

et de la disparition

du

TOUT

par l'instinct

suicidaire

et de la

DISPARITION
et du 

SILENCE

bruyant

qui fait taire les animaux

qui meurent

cachés sous l'empire

des détritus

laissé

par la 

MORT
sous ses milliards 

de déguisements

Circonstances

mortelles

déniant la main

mise de la grande

dévoreuse

Où vont les corps

après le séjour

au corbillard

d'hôpital

après l'éteignoir

Où sont

LES MORTS

et les vivants

après

TOUT

De ces choses

imprévisibles

inattendues

sous le boisseau

en murmures

la maladie

de la vie

en forme de participation

à l'effort de guerre

pas lui l'autre

des meneurs

menés

aux abysses

dictées

par la tirelire

à Bloy

et les glorioles

bobonnées

de ristournes

etc cte tec

Qu'est-ce que

l'ART

échappant

par la conscience

et le temps pour prévoir

minimum

le temps qu'il fait

sur le désastre

s'il n'est pas

apocalyptique

et bien d'ignorance

vers 

(ouvre tes jolies yeux

au beau pays

du rêve

au pays merveilleux)

Non mais... .

Lessivés consentant

étêtés

bien payés

Alors il était

Les morts captifs

dès l'arrivée

soldats

tranchées

tranches de viemortes

Au départ

la mort

et régler

régulées

et pour la rouerie

échomomique

consentante

ou pas

LA MORT

guide

les pas

pour la cueillette

des chairs

et un meurtre un crime

cents millions

une guerre

ou encor

Alors

à la piscine

avec Kafka

ou avec le philosophe

ou le Titanic

touristique

ou encor

priez pour nous 

pauvre pécheurs

ou que

Dieu

nous veille absout

Don contre don

sur le 

BBQ

d'OUBLI

daté carbone 14-18

39-45

2022... .

Où sont les

MORTS

de lui le même

UN

des uns

follow the guide

OÙ

est ce 

Dieu

plus que présent

par son absence

ab-SENS

ou bien

ses cliniques défenseurs

ALORS

pendant ce temps

Kafka est à la piscine

avec les belligérants

et le chinatown

bondé

de tables et de rots

Rilke *

Vinolo **

Il Y A quoi... .

Vers le sans vous

et comme comme tous

de chair et d'os

peintre sculpteur

graveur... .

donnant des images

et des paroles

au ciel chantant 

pauvre et ayant perdus

tout

ce que le 

TOUT
croit avoir engrangé

pour les jours

terribles

qui normal

vont se produire

et de là

passer à la casserole

dit 

Jacques

et l'or du temps

auras grugé

la terre jusqu'à son feu

de poussières

alors

et bien 

L'ART
ce survol

des choses vivantes

disparaissant

à vu d'oeil

engagées vers le destin

des métamorphose

stellaire

et qui n'ont pas

toujours été

alors 

L'ART

là se pose lentement

tient

parmi tant de sévices

et de bonnes intentions

prédatrices et assassines

passant en répétition

à perpètes

le même

indice boursiers

des comptes

de pas lui l'autre

etc

ART

pour les yeux

ouverts

se rendant disponibles

pour les célestes

et la suite

impossible

au 

TRI

de la

VRAI VIE
au risque de la perdre

dit

Uguay 

(... ce que je n'ai pas

comment le donner;...)

et par les chemins

de larmes

et de massacres

du plus que soi

DE LÀ

et de nul part

ailleurs

LA MAIN

À L'OEUVRAGE

Le savait-elle

et lui le sait-il

la

MORT

par quel vent mauvais

arrive

l'outrage

du mal

à l'innocente

présence

où se bouffe

les merveilles

éclairant

la joie

d'aimer

TENIR

dans les cries

de la torture

immonde

des aimé(es)

ART

sinon la

DISPARITION

et à jamais plus

la conscience

du mourir

et qui sans les mots

va par le bâillon

aux catastrophes

sourdes

et indicibles

LA MORT

la sortie de cet

état 

(le monstre hegelien)

cette 

MORT

morte

écomomifié

de ses déchets

à idées

et paver d'os

et d'

OUBLI

éternel

L'Oeil Sol'Oeil

et les tournesols

et les pauvres

iris

et la tragédie

de

L'ART

pour en voir

la portée

d'EFFROI

qui évidemment

est caché

par le futile

et les faits quotidien

jusqu'au moment

(maman)

des tranchées

pour la fin des temps

et du jamais plus

mon amour

La guerre

les perdants

l'innocence

engagée

pour perdre... .

le peu que d'être

et d'avoir été

quoi... .

l'inévitable

lui pas l'autre

et surtout pas soi

n'ayant pas 

VU

L'ART

et ses vérités

à

TOUT

dire

postpoétique

proématique

désinatique

présence

et 

par ses failles

données

pour tenir

la main d'

AMOUIR

Retenir

Larmes

pour l'innocente

défunte

ICI

MÊME

après

TOUT

la

Nature

copie

l'ART

non pas

absolument pas

la

NATURE

EST

et ses natures

de même

L'ART

est la présence

contre

NATURE

et le destin

de natures

TENIR

de

L'ART

et de toutes les façons

L'ART

et la 

NATURE

s'en foutent 

Parallèles

vers

quoi au juste

LA MORT

en toute ses métamorphoses

bloquées

par le

COEUR

à

ÊTRE

avec

les chéri(es)

hors le rang

des assassins

avec

l'art de tenir

petit dessin

d'herbe

en flanc

des misères

bombardées

d'atomes

par des belligérants

grillant des semblables

sur le grill

des douleurs

d'espérances

naïves

et innocentes

Des meneurs

menés

par le

MAÎTRE

MORT

des morts mortes

Dedans dehors

LA MORT

est à son festin

de cruelles

manies

de trou noir

que 

Ducharme

appelait

la vallée

des avalés

ART

du doute

et de l'outrage

de pas lui

lui

l'autre

en ronde

de nuit

en plein jour

d'un petit dessin

et rendre

visible

le

VISIBLE

LA

MORT

à sa mort morte

DISPARITION

et

L'ART

retenant le triomphe

de la

MORT

Pluriscuplture

... .La 

VÉRITÉ

EST UN LONG
SILENCE

bruité

par les comment taires

la terre

de ses mises à morts

une après

l'autre

aveugle

au geste

de si c'est pas lui

se seras l'autre

Pas l'éternité

mais un sens

à l'insensé

Schopenhaueriens

concluant

par alte tu sert

à quoi... .

Après 

TOUT

le sans offrande

en sa prédation

anthropophagique

et 

Y à t-il

de la vie

après

TOUT

Alors

LE SILENCE

des agneaux

le cri des bêtes

aux abattoirs

des chiens

chats

enfant boucs

au vide de la

MORT

et du pas nous eux

non lui l'autre

AGONIES

de la

MORT

sans nom

innommable

et dire avec Sam

Cap au pire

et après

TOUT

L'ART

EST

va sans dire

à la lumière

à 

SA LUMIÈRE

d'AMOUR

utopie

toute céleste

osant tenir

l'épave

que d'être

errance

rognures de vive mémoire

et les chéri(es)

... '' Aimer est une chose

terrible,

comme doit être

tout ce qui est divin... '' *

L'ignorance

tue

et l'amour

se paye très chairs

Alors quoi de 9

- la vie eux

et les veilles

affraires

monde

Certain que c'est le retour

mais le retour

au gel à la froideur

des attrapes

leurres

plus jeunes

reprenant

le théâtre de fou

écrit

en monte et verdire

sous le rythme

du boléro

en fin

TENIR

en ce long 

SILENCE

de

PEUR

hégélienne

devant

LA MORT

En vérité

TOUT

ce contredit

et la vie

ce

fourre

TOUT

'' La grande ruse

est que les choses

soient comme elles

sont '' **

et bien alors

Hors JE

...''le nouvel homme

peut toujours faire 

ce qu'il voudra,

du moment 

qu'il a signé son contrat 

et qu'il est devenu directeur...

(... )c'est un homme mort... '' ***

et de cela

la mise

en jeu

du

JE

celui d'en haut

sans 

U

peut toujours

aller se faire cuire

 un

 (9)

le

 1

contrôle 

le

TOUT

Valéry *

Hegel **

Bernhard ***

 

L'art

Pluriscuplture

verticale

acier soudé

laqué

acte en saut

dans l'embarquement

pour se taire

ayant

pris le verbe

en suite

divine 

par temps 

posthume

à la série

des murmures

des oeuvres anciennes

et toutes imprégnées

de futur-antérieur

Et les (2) questions

revenant 

à tous moments

depuis

l'arrivée

en terre

( les surréalistes

disaient...

beauté effrayante)

et en fait

tout

l'ART

est de cet avis

ou bien des fuites

avec 

Watteau

Mozart

et quelques ratoureux

mais 

de l'arène

à chrétiens

aux boeufs écorchés

à viande de misère

Dr Tulp

aux médecines

impuissantes

la

NATURE

suis son ordonnance

mortelle

soignant au sel

et l'acétaminophène 

et des petites passes

d'apprentis

sorciers

seul la technique

trouve 

TOUT

enfin

quoi... .

Trêve de socioabracadabras

la

CHOSE

Deux 

donc

L'ART

et

LA MORT

et le reste

étant relevant

du passage

Alors

L'ART

étant le peuple

le grain de Paul

la forme de prière

le pour en sortir

de l'enfer

la somme

du

TOUT

et des petits contes

sur des bouts

de pépier

bourrés

de redites

en des styles

des approches

formes

( géométriques

organiques)

le jeu 

des techniques

nouvelles

qu'une méprise

de plus

pour la diversion

mortelle

du vivant

disparu

en sa

 disparition

et

LA DISPARITION

de quoi que qui

quo cul

des corps assujettis

aux prix pris

en son contrôle

du sujet

l'humaine

misérabilité

des chairs

cuites aux milles 

soleils

d'éternuité

L'ART

donnant suite

par son tenir

esthétique

(éthique)

ananartiste

le métier

de consolidACTION

d'ACTElier

... . de la naissance

au passage

en ce

lieu

d'où

des lumières

maintenues

aperçues

des grottes

en formes

de signes

sur les parois

de signes signe

précédant

le désir

d'ÊTRE

au monde

et rejoindre

ce peuple qui manque

au tenir

retenant

sans cesse

le re-tenu

at memoriam

de QU'EST-CE QUE

L'ART

la

MORT

Sur la balance

du vivant

l'Oeil

travaille

positionne

le peuple

à sa juste

présence

Partance

fragile

et la ténacité

d'antre-nous

( la mémoire

de vérité )

au aguet

des métamorphoses

héraclitiennes

univers

la

MORT

L'ART

EST UN ARRÊT

DE LA MORT

prise en flagrant 

délit

de métamorphose

réalisant 

sa grosse soupe

céleste

L'ART

EST

LUMIÈRE

l'éternité

on en reparleras

longtemps

après

TOUT

Le réel

est ce qui

EST

en

ART

ou bien

ou bien

et la 

MORT

va où 

se questionne

L'ART

Alain Lestié Est Mort

Stèle

pour

ALAIN

ANTRE-NOUS

 

Art De Vent

Sur le temps

qui fuis

que déjà passé

comment dire

DISPARITION

du vivant

l'écroulement

du peu au bord

du gouffre

de ce qui se donne

LÀ

en milles miettes

d'oeuvres

oeuvrages

histoire

ou fable

en compte

ceci cela

en dire 

ou dédire

et paradoxes

contradictions

justifications

wattever

Un 

Conte

où ce qui reste

demeure

culture

de présence

en forme 

d'arrêt

pour un possible

fragile

vulnérable

éphémère

en

Somme

pour quelques

présences

demeurant

prenant attache

sur

 l'ESPRIT

d'un

EST

mystérieux

et 

comment définir

ce qui

à jamais

plus

ayant laissé

trace ou pas

car sachant

ce qui disparait

à jamais... .

Alors.

(que sont mes amis devenus... .

mon cimetière est grand

il n'y à plus rien

tout est foutu

soyons heureux

mourir cela n'est rien

mais vieillir...

vieillir un massacre... .) 

et des lucioles

et des posthumes

poussières

en sortir de l'enfer

Alors

après-tout

qu'est-ce que 

l'ART

Art

 de passage

en seul(e)

par la 

Nature

où va le temps

de tenir

aube ou crépuscule

ou encor

faire 

de

l'ART

à la faveur

de la

Beauté

d'EFFROI

et de déchirure

du

COEUR

de vivance

en plein insensé

LÀ

ICI

MÊME

vers

l'UN

des uns

qui que quoi...

ART

ou arthrose

ou encor

article de la

MORT

à l'ère technique

et bien

SEUL

tenant lieu

à la flamme

un trait prolongé

en plein 

RIRE

bataillien

sortie du crachat

du bon dieu

spinoziste

ou deleuzien

devenu un capitaliste

posthume

de l'état de poussières

d'errance

béatifié

TOUT

en

TOUT

ENFER

pour une politique

d'admiration

au pas-sage

de qui m'aime me suive

Un mur

murmure

la FIN

illusoire

du cul-de-sac

pour la conscience

de la naïve

éphémère

présence moment

pour pas

de fenêtre

au regard

chaotique

du petit dévore le gros

sot modo

pour un ô

que vous dirais-je

 mot ment

TOUT

en crème glacé

dans la tranchée

du jour en pleine nuit

OÙ

D'OÙ

verrous

ALORS

Fenêtre

du musée

pour y entrer

pareil au cheval

de Nietzsche

cravaché

en pleine innocence

du

TOUT

et sortir

ayant été

vu 

du trou noir

en l'essais

du vivant

vers

Cézanne 

la terre promise

LÀ

 la terre promue

à sa mue

TOUT

émue

de la pavane

résuscitée 

devant le miroir

que lui projette

le peintre

resplendissante

alors 

TOUTe

de clarté

lumineuse

On est revenue

au temps 

en emporte 

la vénus

 démie des mots

TOUT

amusée

de la 

MORT

s'avalant

d'avalée

l'avalant

en situation

précaire

et posthume

Art

devant

LA MORT