26 oct. 2023

Du Sablement



Plâtre De Paris


'' Partout où
il n'y auras rien,
lisez que je
 vous aime '' *
Dire
je se je 
qui ne sait pas
et qui est
autre
sans jenous
aux jambes
toutes écartillées
dans
Paris
en des moments
déconcrissés
de la fable
de nuit
de madame chose
prière
pour
Caraco
sans accolades
et évidemment
en pleine
DISPARITION
posthume à la mort
du roman
et de l'insignifiance
poétique
à la final
proématique
du
SeUL
en lui
le MÊME
UN
des uns
vers 
d'autres terreurs
ambitions
et glorioles
sans le gloria
de Vivaldi
ou encor
le Monteverdi
et la musique
d'Orphée
aux enfers
DIEU
EST
EST
L'ENFER
De là
et pas ailleurs
SORTIR
de la fable
de mouman poupas
et les super surface
de la
MORT
en marché
qu'à bien vu 
le tenancier
des chairs 
en lieu
certain 
du tremblement
au jour
des noces est arrivé
la 
FIN
de la misère
qui fait
accepter
le
TOUT
sacrifier
du
Compte
Et la mort du roman
'' Qu'il est facile
de faire des contes '' *
Enfin
l'HORREUR
est vraiment
de perdre
l'AMOUR
Il était un 
nous savions
l'oasis
et certain
d'y avoir
aimé
ce que nous avons
AIMÉ


Pour suite
et fuite
de la composition
décomposée
pour triage
et aux espoirs
dépourvus
'' Orchestre:
image de société.
Chacun
fait sa partie
et il y a un chef '' *
Persistance
sachant
l'insaisissable
insensé
du
MONDE
à son dernier
échos
après
le mal et vice
de forme
en l'informelle
miroir
de 
PAS LÀ
ICI
MÊME
D'AILLEURS
en ces jes
irresponsables
de quoi que ce soit
de l'erreur
de fabrication
Douleurs
d'excréments
ciel
et des compostes
irréversiblement
destructeurs
de la lucidité
des amours
en pleine lumière
d'agonie
déchirant
le voile
de
Saïs
et des chairs chaudes
et tremblantes
d'une composition
qui n'à pas
tenue le coup
le sale tour
de la
MORT
et de 
ce piège
du vivant
bien rodé
d'histoire
NATURE
natures
menant à sa
vérité
première
la cueillette
des os 
à la moelle
sucée
du délice
au jardin
de
Boch
revu et corrigé
par le courage
alimenté
par la
PEUR



Les derniers
 moment
seront
pascaliens
et dantesques
et puis
notre
PARADIS
fixé
et vers ce
Nulpart
d'ABANDON
Un 
CONTE
... et elle viendras 
et elle aras tes yeux... 
Pavese
et autant dire
le vent devant
la
PORTE
Le
TERRIBLE
EST
CETTE
OUBLI
QUI VIENT
Au delà du concept
il y a
Et comment 
VOIR
Le concept est
cerné
concerné
par la consternation
de l'impossible
possiblement
naïvement
et pas de science
infusée
en fusée
vers le
VOIR
renoncer
à 
TOUT
et tenir
l'ATTENTE
fléchir
sur l'Axe-D'Abraham
Et bien
oui


De ceci 
ce qui à été
eu lieu
mais 
c'est quoi
l'ART
contre
NATURE
où s'y perd
le nom 
d'Ariane
la
Beauté
au noir
de son
D'OEIL
Et
l'URGENCE
des fins dernières
la fin
du
MONDE
et la
DISPARITION
du nommé
noumène
vers l'apothéose
du
TRI
où se coule
l'éternité
de la
MORT
ART 
du fou
devant 
l'abîme
du roi 
 endormi
lors de 
l'extermination
du nombre
qui à ouvert
les vannes sanguinaires
du tremblement
des chairs
dans l'assiette
d'ignorance
ART
JOIE de VIVANCE
par le court
PASSAGE
donné
antrenous
l'AMOUR



Flaubert *

Limbe


'' L'implication
du néant
dans l'idée
de la mort
se lit dans la peur
qu'on en a,
qui n'est autre
qu l'appréhension
du
RIEN  ''*
Enfin
la perte de
 l'AMOUR
ici se marque
la distance
entre ce qui
EST
et ce qui seras.
Quoi... .
à L'ART
d'en pointé
la 
PRÉSENCE
et
RIEN
de
MOINS


'' Tout fane
avant d'éclore,
fripe
s'étiole '' *

Le terrible
est d'être
en position
d'errance
et de 
doute
sur l'esthétique
d'une éthique
en temps d'écroulement
d'une réalité
disons
d'agitation
d'agonie
et de cris
inaudibles
munchiens 
Et tenir
est de plus en plus
effarant
et plutôt
insister
en pleine
noyade en travers
des amibes
post-festivités
et d'entrains
au derniers bbq
s'engouffrant
dans la béance
du
TROU
où pas même
une bouteille de coke
en milliards
de larves
écumant
du sa sert d'os
croyant 
faussement
la fin
une farce
de fossoyeurs
et de prophètes
de malheurs
Soit... .
Enfin 
c'est n'importe quoi
et c'est
TOUT
Ne pas se décourager
des morts
morts
de la viandes hachées
du boucher 
lui-même
ayant déjà
passé au hache viande
Alors voulez-vous
bien ne pas écœurer
avec vos mesures
à l'anglaise
Oui 
à des années lumières
frères humains
du compte
en... .
Voilà une histoire
d'os
aux crépitements
de la
NUTURE
MORTES
ayant sauver la terre
de ses poiles
 à gratter
Un compte
 au bout du rouleau
et disparu
hypocritement
comme il se devait
de faire semblant
que c'est intéressant
Alors mes bien chers
frères
Dieu était le
DIABLE
déguisé
en peau d'exultation
d'une jouissance
infini
avec la mère
de
Caraco
et parsemé
de parfum d'sus à marde
et disparus
comme 
ils étaient venus
par un trou l'autre
De la méchanceté
du comte
de l'autre 
et à mont
en champs
Arrêtons
et comment dire
en tenant à vif
la pensée 
de la
MORT
en lucidité
blanchottienne
et posthume
au
TOUT
en
TOUT
et néant 
d'air sale
Au moins
le respect de la
ponctuation
de la caca démie 
de ses ponctions
grabats terres
Le fond de ce petit
texte pas terrible
mais en temps
de destructions
massives
autant 
en extraire
d'un nouveau
rhum en
s'enivrer
de satire par en bas
et du mourre 
et se décrispé
de l'échos
des à vallées
de
Réjean
sur la dernière banquise
de l'ours
mangeant
l'homme or teigne
deux magots
après la fermeture
éclairs
au dernier mot du camp
De cette manière
infinie


Histoire
contre
CONTE
écletivenent
subordonné
à la mise en oeuvre
de perceptions
artistiques
en bloc
et en forme 
de libre arbitre
en posture
inutilement
serviable
et indépendant
de fortune
culturel
Les prémices
l'approche
est avant intuitive
et posthume
à l'antithèse
donc
Saindaise
L'ART
provoque bien entendu
j'imagine
un malaise
 de choses
appréhendées
mais non proposées
comme éminemment
possible
Mais le but de l'exercice
est d'éviter
de tomber dans le piège
des convenances
L'ART
EST
bien entendu
un phare
dans la nuit
Malraux disait
un anti destin
Alors ne soyons pas
dupe
des milles interprétations
possibles
de ma méthode
SAINDAISE
avec les outils
typique 
de l'ART
c'est à dire
le jeu maîtrisé
de l'éponge
dedans dehors
avec l'Oeil
cerveaux
et le corps de mémoire
infini
en une politique
d'embrassement
fusionnel
avec la
VIVANCE
juste un peu
au-dessus
des pâquerettes
comme disait
Marcelle Després
Inutile
d'extrapoler.
L'ART
est le dernier
bastion
du vivant
d'amour 
et d'eau fraîche
et à voir la qualité
des eaux et de l'amour
alors la suite semble
difficile
Allons enfant de la
fratrie
et ne tirez 
pas camarades
Soyons sérieux
le temps n'est plus
et son échos
inaudible
à moins 
que 
Collin
en fasse
une musique
toute au marteau
et à l'enclume
reconstruire
la passe 
de 
Saïs
( ces 2 deux faits
inséparable
de l'AMOUR)
sous l'arc-boutant
de Messiean
( les oiseaux)
aux vents mauvais
et à les trier
passe
 hors la portée
de la
DISPARITION



Des choses
au chemin
de 
VIVANCE
demeurant
bien au-delà
des pauvres apparences
désolantes
parts
au tri diabolique
(assumons ce mot)
de vraivie
transhumance
coeur 
expatrié
du fragile
et la misère
des bêtes
et des pauvres gens
ces silencieux
pièges
par cette vie
TERRIBLE


Cioran *

25 oct. 2023

Sous Les Mots


Image
pour 
dieu sait qui
Le
TOUT
en
tous
et dedans
dehors
hors
la horde
à perpets
en l'éternel retour
du
MÊME
UN
des uns
reprenant sans cesse
son dessein
TOUT
détaché
de la
MORT
et attaché
par les molécules
des prises et reprises
infinies
et
 l'ART
est cette quête
effrayante
de quelque chose
qui persiste
à dire
LA MORT
ou bien
évidemment
pas d'ingérence
dans les choses
du bon
Dieu
Et s'il existe
la preuve
et
ICI
MÊME
d'AILLEURS
Albigeois
et ou bien
l'inaccessible
infini
'' Rien de plus effrayant
que de voir
agir l'ignorance '' *
Il y à
quelque chose
qui rechigne
à vouloir
expliquer
la
DISPARITION
au
TRI
qui va au-delà
du tenir
même
Alors
un petit dessin
en plein jugement
de la
BEAUTÉ
SILENCIEUSE
et 
ÉTERNELLE
APRÈS
LES LEÇONS
DE
SAïS



Cet 
Ô
de 
ICI
en 
VIVE
MÉMOIRE
ARRIVE
inattendue
en 
l'inattendu
UN
COMBAT
du terrible
jamais
SEUL
entouré
des combattants
d'autrefois
très
BAS
et
très
Ô
de l'un à l'autre
À JAMAIS
PERDUS
d'avance
en paradoxe
exutoire
laissant passer
la cassure la brisure
de nous
séparés
De LÀ
Nulpart
amoureux
d'AMOUIR
Contre cette frayeur
gène
de l'espèce
dont
DU négatif
transfiguré
CHÉRI(ES)




Dire après
TOUT
et 
de jamais plus
LA NUIT
seras longue
et la vie
de plus en plus
dans le péché
et la
FIN
qui va avec
la guerre civile
et puis
quoi... .
La MORT
morte
pourquoi
l'ART
la nullité
des arts
en des temps
semblables
ne tenant que par
un
petit
DESSIN
qui tient
TOUT
(Et sans prétention
les plus beaux petits
dessins du monde)
en vérité
tangible
au passage


Du moins
pour
Personne


Goethe *
 

Guerrier Guéri


De la Dévoration
du
MONDE
à sa 
Gloire
dévoré
lui-même
le semeur
au jardin
de son
PARADIS
à l'image
du dessin
ayant tenu
hors le sanguinaire
de la faim
de l'autre pas
l'autre
lui le
MÊME
UN
des uns
Le signifiant
est hors
la horde
mais en plein
donné
au repos du guerrier
guéri 
d'AMOUR


Cette vie qu'on appelle
à abriter
et qu'elle
soit
comme ceci cela
ou encor
en des concrétudes
de raisons
ou de défaillances
insensées
ou bien
part de hasard
de rêve
Des feuilles
ou poussières
de vie
de joies horribles
au dessus 
d'écoles bombardés
ou encor
la misère
et les gains capitaux
aux festins
d'extermination
en
TOUT
mais
cette présence
d'ombre ravagée
de soleil
juste naïvement
ICI
sachant fort bien
le
Naïf
la naïveté
que
d'ÊTRE
Souffrance
d'arrivée
de partir
sortir de
 l'ENFER
où roussissent
les viandes
les cris
et l'habitudes 
à 
TOUT
du
TOUT
des bourreaux
des boucs
Bizarreries
d'instants
fugaces
aussitôt
un roi
un gueux
ceci cela
Et les beaux cerveaux
aux fins
égarées
de l'oeuvre
aux enfers
indifférents
d'un mauvais
tour
à la naïveté
d'un rêve
bien sûr la réalité
comme
UN
des uns
bien sûr
l'inconscient
des gestes des actes
et des paroles
Et au bout
du début
comme à la fin
là quand
l'érection final
sonnant le glas
de la sotte
venue
sur la place
shakespearienne
kafkaïenne
ou encor
cannibalisée
des parties
prises
aux cent morceaux
au
RIRE
de batailles
pour 
Gloglos
ô
 goitre
de contrôle
de la bande
à bon d'os
'' L'homme cherche
à oublier où le chemin
conduit ''*
Alors
qu'est-ce que
l'ART
Peut-il encor
prendre le corps
tremblant
troublé
des sarcasmes
de la création
d'un 
Dieu
nommé
pour décapiter
étêter
vider de ses rêveries
et l'emporter
au ciel
de ses idées... .
Juge et parti
Partie vers où
le ciel
succombe
devant l'agonie
des nouveaux nés
pour 
QUOI?
NAIVETÉ
et c'est par 
ce qui se 
DONNE
qu'advient
la mise à mort
de la vie
d'où elle vient
Et la lumière
EST
le
dévoilement
de la
MORT



Héraclite *