De la Dévoration
du
MONDE
à sa
Gloire
dévoré
lui-même
le semeur
au jardin
de son
PARADIS
à l'image
du dessin
ayant tenu
hors le sanguinaire
de la faim
de l'autre pas
l'autre
lui le
MÊME
UN
des uns
Le signifiant
est hors
la horde
mais en plein
donné
au repos du guerrier
guéri
d'AMOUR
Cette vie qu'on appelle
à abriter
et qu'elle
soit
comme ceci cela
ou encor
en des concrétudes
de raisons
ou de défaillances
insensées
ou bien
part de hasard
de rêve
Des feuilles
ou poussières
de vie
de joies horribles
au dessus
d'écoles bombardés
ou encor
la misère
et les gains capitaux
aux festins
d'extermination
en
TOUT
mais
cette présence
d'ombre ravagée
de soleil
juste naïvement
LÀ
ICI
sachant fort bien
le
Naïf
la naïveté
que
d'ÊTRE
Souffrance
d'arrivée
de partir
sortir de
l'ENFER
où roussissent
les viandes
les cris
et l'habitudes
à
TOUT
du
TOUT
des bourreaux
des boucs
Bizarreries
d'instants
fugaces
aussitôt
LÀ
un roi
là
un gueux
là
ceci cela
Et les beaux cerveaux
aux fins
égarées
de l'oeuvre
là
aux enfers
indifférents
d'un mauvais
tour
à la naïveté
d'un rêve
bien sûr la réalité
comme
UN
des uns
bien sûr
l'inconscient
des gestes des actes
et des paroles
Et au bout
du début
comme à la fin
là quand
l'érection final
sonnant le glas
de la sotte
venue
sur la place
shakespearienne
kafkaïenne
ou encor
cannibalisée
des parties
prises
aux cent morceaux
au
RIRE
de batailles
pour
Gloglos
ô
goitre
de contrôle
de la bande
à bon d'os
'' L'homme cherche
à oublier où le chemin
conduit ''*
Alors
qu'est-ce que
l'ART
Peut-il encor
prendre le corps
tremblant
troublé
des sarcasmes
de la création
d'un
Dieu
nommé
pour décapiter
étêter
vider de ses rêveries
et l'emporter
au ciel
de ses idées... .
Juge et parti
Partie vers où
le ciel
succombe
devant l'agonie
des nouveaux nés
pour
QUOI?
NAIVETÉ
et c'est par
ce qui se
DONNE
qu'advient
la mise à mort
de la vie
d'où elle vient
Et la lumière
EST
le
dévoilement
de la
MORT
Héraclite *