Affichage des articles dont le libellé est s'exultant. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est s'exultant. Afficher tous les articles

26 oct. 2023

Limbe


'' L'implication
du néant
dans l'idée
de la mort
se lit dans la peur
qu'on en a,
qui n'est autre
qu l'appréhension
du
RIEN  ''*
Enfin
la perte de
 l'AMOUR
ici se marque
la distance
entre ce qui
EST
et ce qui seras.
Quoi... .
à L'ART
d'en pointé
la 
PRÉSENCE
et
RIEN
de
MOINS


'' Tout fane
avant d'éclore,
fripe
s'étiole '' *

Le terrible
est d'être
en position
d'errance
et de 
doute
sur l'esthétique
d'une éthique
en temps d'écroulement
d'une réalité
disons
d'agitation
d'agonie
et de cris
inaudibles
munchiens 
Et tenir
est de plus en plus
effarant
et plutôt
insister
en pleine
noyade en travers
des amibes
post-festivités
et d'entrains
au derniers bbq
s'engouffrant
dans la béance
du
TROU
où pas même
une bouteille de coke
en milliards
de larves
écumant
du sa sert d'os
croyant 
faussement
la fin
une farce
de fossoyeurs
et de prophètes
de malheurs
Soit... .
Enfin 
c'est n'importe quoi
et c'est
TOUT
Ne pas se décourager
des morts
morts
de la viandes hachées
du boucher 
lui-même
ayant déjà
passé au hache viande
Alors voulez-vous
bien ne pas écœurer
avec vos mesures
à l'anglaise
Oui 
à des années lumières
frères humains
du compte
en... .
Voilà une histoire
d'os
aux crépitements
de la
NUTURE
MORTES
ayant sauver la terre
de ses poiles
 à gratter
Un compte
 au bout du rouleau
et disparu
hypocritement
comme il se devait
de faire semblant
que c'est intéressant
Alors mes bien chers
frères
Dieu était le
DIABLE
déguisé
en peau d'exultation
d'une jouissance
infini
avec la mère
de
Caraco
et parsemé
de parfum d'sus à marde
et disparus
comme 
ils étaient venus
par un trou l'autre
De la méchanceté
du comte
de l'autre 
et à mont
en champs
Arrêtons
et comment dire
en tenant à vif
la pensée 
de la
MORT
en lucidité
blanchottienne
et posthume
au
TOUT
en
TOUT
et néant 
d'air sale
Au moins
le respect de la
ponctuation
de la caca démie 
de ses ponctions
grabats terres
Le fond de ce petit
texte pas terrible
mais en temps
de destructions
massives
autant 
en extraire
d'un nouveau
rhum en
s'enivrer
de satire par en bas
et du mourre 
et se décrispé
de l'échos
des à vallées
de
Réjean
sur la dernière banquise
de l'ours
mangeant
l'homme or teigne
deux magots
après la fermeture
éclairs
au dernier mot du camp
De cette manière
infinie


Histoire
contre
CONTE
écletivenent
subordonné
à la mise en oeuvre
de perceptions
artistiques
en bloc
et en forme 
de libre arbitre
en posture
inutilement
serviable
et indépendant
de fortune
culturel
Les prémices
l'approche
est avant intuitive
et posthume
à l'antithèse
donc
Saindaise
L'ART
provoque bien entendu
j'imagine
un malaise
 de choses
appréhendées
mais non proposées
comme éminemment
possible
Mais le but de l'exercice
est d'éviter
de tomber dans le piège
des convenances
L'ART
EST
bien entendu
un phare
dans la nuit
Malraux disait
un anti destin
Alors ne soyons pas
dupe
des milles interprétations
possibles
de ma méthode
SAINDAISE
avec les outils
typique 
de l'ART
c'est à dire
le jeu maîtrisé
de l'éponge
dedans dehors
avec l'Oeil
cerveaux
et le corps de mémoire
infini
en une politique
d'embrassement
fusionnel
avec la
VIVANCE
juste un peu
au-dessus
des pâquerettes
comme disait
Marcelle Després
Inutile
d'extrapoler.
L'ART
est le dernier
bastion
du vivant
d'amour 
et d'eau fraîche
et à voir la qualité
des eaux et de l'amour
alors la suite semble
difficile
Allons enfant de la
fratrie
et ne tirez 
pas camarades
Soyons sérieux
le temps n'est plus
et son échos
inaudible
à moins 
que 
Collin
en fasse
une musique
toute au marteau
et à l'enclume
reconstruire
la passe 
de 
Saïs
( ces 2 deux faits
inséparable
de l'AMOUR)
sous l'arc-boutant
de Messiean
( les oiseaux)
aux vents mauvais
et à les trier
passe
 hors la portée
de la
DISPARITION



Des choses
au chemin
de 
VIVANCE
demeurant
bien au-delà
des pauvres apparences
désolantes
parts
au tri diabolique
(assumons ce mot)
de vraivie
transhumance
coeur 
expatrié
du fragile
et la misère
des bêtes
et des pauvres gens
ces silencieux
pièges
par cette vie
TERRIBLE


Cioran *