4 juil. 2023

Frange


L'échancrure 
du temps
par l'éphémère
et ses diversions
de passage
L'Art étant
la présence
en quête
du plus de tendre
cheval nietzschéen
ou 
la danse
poisson dans l'eau
par
les abattoirs
de la
MORT
en 
SOMME
du vivant
Risque
d'AMOUR
risible
toujours
émotion
de la 
Beauté
apprivoisée
de la lumière
hors 
le chaos
monde
et ses réalités
fugaces
Tenir
au fond
de la vallée
des avalés
ducharmiens
et 
pour dire écrire
en cri
de conscience
et le vertige
abyssal
d'autant en emporte
le 
PARADIS
de la clarté
toute
fragile
fébrile
inquiet
en éclair
'' ... La machine de guerre
n'à pas nécessairement
la guerre '' *
et enfin
l'ART
à sa puissance
d'Oeil
au s'Oeil
d'une pauvreté
rilkéenne
et par
un petit dessin
limite
LÀ OÙ
se trouve
Saïs
antre-nous
ICI
MÊME
sachant le résiduel
du socle
et ses 
poussières


Et des qui sait
quoi
passe
si peu de vrai
de couleur
hors le noir
du temps qu'il fait
des souffrances
la joies
savante
d'antre-nous
l'éclat
d'AMOUR
ce qui y habite
la peur animale
joyeuse
et pleine
 de grâce
pour un petit
dessin
en fleur
bleu novalissienne
ou 
anonyme
encor 
comme il se doit



De son tant
d'amour morte
et des plaies
inguérissables
en de diaboliques
 présences
de FAIT
 là
en pleine
destruction
moléculaires
pour qui sait
et qui à eu
la liberté
pas 
d'ICI
d'AILLEURS
d'un champs
débordant
d'utopie
égorgée
du non sens
civilisés



De lui
le 
MÊME
en milles millions
de trilliards
UN CORPS
par 
encor
et des enfants
d'albatros
en dire et dédire
d'unités
à la trainée
de gaz
disparus 
sans savoir
ayant eu lieu
'' Je suis encore coupable.
Relève moi,
Je ne suis pas coupable.
Relève moi '' **
L'Art
fait
dire
TOUT
dire
'' Pas de mots
de fin, vous, les mots! '' **
et il elle se coupas
la langue
pour 
TOUT
dire
à la frange
du mystère



Deleuze *
Bachmann **

Chemin


Oui 
des failles
de lumières
ouvertes
sur
le temps
pareil
à la masse
disparaissant
vidées
par la subtile
société
du
UN
des uns
à l'affut
du sens
qui pourrait être
le coup d'envoie
final
à la perception
de quelque chose
plutôt que rien
la
RIEN
est ce qui va 
chemin faisant
Enfin
quoi
 l'ART
pour ne pas
disparaître
de la vue
'' Les vrais paradis
sont les paradis
qu'on a perdus '' *
du terrible
aux frayeurs
de la nuit inhabitée
devant 
ce que l'on ne peut
 pas dire
ce qui 
EST
mais quoi... .
la
MORT
élargie
par la conscience
du
SEUL
depuis l'infini 
s'entend
d'innommables
célestes
plus grands que soi
le
SACRÉ
et ses vivances
captant
la vrai vie
d'AILLEURS
ICI
MÊME
triée 
sur l'émotion
extrême
de la perte
et l'abandon
d'AMOUR
... '' dont l'absence
est douloureuse... '' *
Allons
des animaux
Saïs
antre-nous
et de l'esprit
au triage
des perceptions
véritables
en devenir
NOUS
différent
'' Chaque être
 est détruit
quand nous cessons
 de le voir.. '' *
Alors bien peur
de te perdre
et pourtant...
Ecrire et dire
le
SILENCE
de nos nuits
Saïs
'' On n'aime plus personne
dès qu'on aime '' *
 traces fragiles
petit fil
de tendre
malgré
 TOUT
contre 
TOUT
puisant dans l'essentiel
présence
qu'enseigne
le coeur du monde
d'AILLEURS
ICI 
MÊME



En fin
de la
FIN
curieux le mystère
de ce sentir
VIVRE
malgré
 l'EFFROI
de la misère
qui s'effondre
dans la 
BEAUTÉ
s'apprivoise
l'Ange 
de pauvreté
brin d'herbe
femme
 au suicide
Nature
abandonnée
d'en 
SOMME
d'ingratitudes
au passage
des lèvres
tendres
dévoreuses
d'inquiétudes
juste
au disparaître
d'AMOUR


Angle
de terreur
univers
la peur animale
au milieu
de la scission
des atômes
Qu'est-ce 
que
 l'ART
au moment 
d'un silence
'' Garder le silence,
c'est ce que à notre insu
 nous voulons tous,
écrivant '' ***
Alors 
VOIR
TOUT
autour
les dernières
clartés
de lumière


Proust *
Bataille **
Blanchot ***

29 juin 2023

Art De Vent


Sur le temps
qui fuis
que déjà passé
comment dire
DISPARITION
du vivant
l'écroulement
du peu au bord
du gouffre
de ce qui se donne
en milles miettes
d'oeuvres
oeuvrages
histoire
ou fable
en compte
ceci cela
en dire 
ou dédire
et paradoxes
contradictions
justifications
wattever
Un 
Conte
où ce qui reste
demeure
culture
de présence
en forme 
d'arrêt
pour un possible
fragile
vulnérable
éphémère
en
Somme
pour quelques
présences
demeurant
prenant attache
sur
 l'ESPRIT
d'un
EST
mystérieux
et 
comment définir
ce qui
à jamais
plus
ayant laissé
trace ou pas
car sachant
ce qui disparait
à jamais... .
Alors.
(que sont mes amis devenus... .
mon cimetière est grand
il n'y à plus rien
tout est foutu
soyons heureux
mourir cela n'est rien
mais vieillir...
vieillir un massacre... .) 
et des lucioles
et des posthumes
poussières
en sortir de l'enfer
Alors
après-tout
qu'est-ce que 
l'ART


Art
 de passage
en seul(e)
par la 
Nature
où va le temps
de tenir
aube ou crépuscule
ou encor
faire 
de
l'ART
à la faveur
de la
Beauté
d'EFFROI
et de déchirure
du
COEUR
de vivance
en plein insensé
ICI
MÊME
vers
l'UN
des uns
qui que quoi...
ART
ou arthrose
ou encor
article de la
MORT
à l'ère technique
et bien
SEUL
tenant lieu
à la flamme
un trait prolongé
en plein 
RIRE
bataillien
sortie du crachat
du bon dieu
spinoziste
ou deleuzien
devenu un capitaliste
posthume
de l'état de poussières
d'errance
béatifié
TOUT
en
TOUT
ENFER
pour une politique
d'admiration
au pas-sage
de qui m'aime me suive
Un mur
murmure
la FIN
illusoire
du cul-de-sac
pour la conscience
de la naïve
éphémère
présence moment
pour pas
de fenêtre
au regard
chaotique
du petit dévore le gros
sot modo
pour un ô
que vous dirais-je
 mot ment
TOUT
en crème glacé
dans la tranchée
du jour en pleine nuit
D'OÙ
verrous
ALORS



Fenêtre
du musée
pour y entrer
pareil au cheval
de Nietzsche
cravaché
en pleine innocence
du
TOUT
et sortir
ayant été
vu 
du trou noir
en l'essais
du vivant
vers
Cézanne 
la terre promise
 la terre promue
à sa mue
TOUT
émue
de la pavane
résuscitée 
devant le miroir
que lui projette
le peintre
resplendissante
alors 
TOUTe
de clarté
lumineuse
On est revenue
au temps 
en emporte 
la vénus
 démie des mots
TOUT
amusée
de la 
MORT
s'avalant
d'avalée
l'avalant
en situation
précaire
et posthume
Art
devant
LA MORT




Antre-Nous


... .retour 
au
 s'Oeil
sans le sens
insensé
que 
d'ÊTRE
quoi
tenant
de la mise
en bière
toute colorée
d'AMOUR
sachant
l'envoûtement
douloureux
de
Vivre
envers l'envers
du centre
réussie
de la cage
SORTIR
alors
le d'Oeil
Aujourd'hui
sécheresse
et temps
 plus vieux
que
TOUT
et des froids
Le réel
VRAI
variant
avarié de la mort
qui lui
 est 
le
 RÉEL
absolu
l'ici
n'est qu'une part
infime
de la
VRAI VIE
qui
EST
LA
MORT
où 
les choix
infinis
hasardes
le désir
et puis la travail
commence
dans toute sa gloire
encor
 et en
 corps
sous dix milles
savoirs
sans sapience
quincaillerie
et mode
à employer
selon 
l'imaginaire
et le coeur
à l'oeuvrage
d'AIMER



Eeee?
I o u
etc
Mais 
tenir
histoire
en somme
pour 
le
CONTE
à rebours
d'une attente
infinie
Enfin
qu'elle
tartufferie
contre la
VIE


Tenant
 de la prétention
d'être
évaporé
tranquille
penaud
sportifs festifs
disparus
des justifiants
tenants
Et la Poune
et Cioran
des mises
en scènes
au passage
de l'ennuis
'' Je ne pourrais
 vivre sans chien'' *
mais si sans l'ingrate
idiotie
des 2 pattes
chutttt... .
FEU
SACRÉ
qu'importe
la quantité
infime
de la déchirure
cela
EST
et pourrait bien
ÊTRE
d'avantage
Cela arrive
inattendu
Point d'appuis
que
petit dessin




Schopenhauer *