L'échancrure
du temps
par l'éphémère
et ses diversions
de passage
L'Art étant
la présence
en quête
du plus de tendre
cheval nietzschéen
ou
la danse
poisson dans l'eau
par
les abattoirs
de la
MORT
en
SOMME
du vivant
Risque
d'AMOUR
risible
toujours
émotion
de la
Beauté
apprivoisée
de la lumière
hors
le chaos
monde
et ses réalités
fugaces
Tenir
au fond
de la vallée
des avalés
ducharmiens
et
pour dire écrire
en cri
de conscience
et le vertige
abyssal
d'autant en emporte
le
PARADIS
de la clarté
toute
fragile
fébrile
inquiet
en éclair
'' ... La machine de guerre
n'à pas nécessairement
la guerre '' *
et enfin
l'ART
à sa puissance
d'Oeil
au s'Oeil
d'une pauvreté
rilkéenne
et par
un petit dessin
limite
LÀ OÙ
se trouve
Saïs
antre-nous
ICI
MÊME
sachant le résiduel
du socle
et ses
poussières
Et des qui sait
quoi
LÀ
passe
si peu de vrai
de couleur
hors le noir
du temps qu'il fait
des souffrances
la joies
savante
d'antre-nous
l'éclat
d'AMOUR
ce qui y habite
la peur animale
joyeuse
et pleine
de grâce
pour un petit
dessin
en fleur
bleu novalissienne
ou
anonyme
encor
comme il se doit
De son tant
d'amour morte
et des plaies
inguérissables
en de diaboliques
présences
de FAIT
là
en pleine
destruction
moléculaires
pour qui sait
et qui à eu
la liberté
pas
d'ICI
d'AILLEURS
d'un champs
débordant
d'utopie
égorgée
du non sens
civilisés
De lui
le
MÊME
en milles millions
de trilliards
UN CORPS
par
encor
et des enfants
d'albatros
en dire et dédire
d'unités
à la trainée
de gaz
disparus
sans savoir
ayant eu lieu
'' Je suis encore coupable.
Relève moi,
Je ne suis pas coupable.
Relève moi '' **
L'Art
fait
dire
TOUT
dire
'' Pas de mots
de fin, vous, les mots! '' **
et il elle se coupas
la langue
pour
TOUT
dire
à la frange
du mystère
Deleuze *
Bachmann **