Oui
des failles
de lumières
ouvertes
sur
le temps
pareil
à la masse
disparaissant
vidées
par la subtile
société
du
UN
des uns
à l'affut
du sens
qui pourrait être
le coup d'envoie
final
à la perception
de quelque chose
plutôt que rien
la
RIEN
est ce qui va
chemin faisant
Enfin
quoi
l'ART
pour ne pas
disparaître
de la vue
'' Les vrais paradis
sont les paradis
qu'on a perdus '' *
du terrible
aux frayeurs
de la nuit inhabitée
devant
ce que l'on ne peut
pas dire
ce qui
EST
mais quoi... .
la
MORT
élargie
par la conscience
du
SEUL
depuis l'infini
s'entend
d'innommables
célestes
plus grands que soi
le
SACRÉ
et ses vivances
captant
la vrai vie
d'AILLEURS
ICI
MÊME
triée
sur l'émotion
extrême
de la perte
et l'abandon
d'AMOUR
... '' dont l'absence
est douloureuse... '' *
Allons
des animaux
Saïs
antre-nous
et de l'esprit
au triage
des perceptions
véritables
en devenir
NOUS
différent
'' Chaque être
est détruit
quand nous cessons
de le voir.. '' *
Alors bien peur
de te perdre
et pourtant...
Ecrire et dire
le
SILENCE
de nos nuits
Saïs
'' On n'aime plus personne
dès qu'on aime '' *
traces fragiles
petit fil
de tendre
malgré
TOUT
contre
TOUT
puisant dans l'essentiel
présence
qu'enseigne
le coeur du monde
d'AILLEURS
ICI
MÊME
En fin
de la
FIN
curieux le mystère
de ce sentir
VIVRE
malgré
l'EFFROI
de la misère
qui s'effondre
dans la
BEAUTÉ
s'apprivoise
l'Ange
de pauvreté
brin d'herbe
femme
au suicide
Nature
abandonnée
d'en
SOMME
d'ingratitudes
au passage
des lèvres
tendres
dévoreuses
d'inquiétudes
LÀ
juste
LÀ
au disparaître
d'AMOUR
Angle
de terreur
univers
la peur animale
au milieu
de la scission
des atômes
Qu'est-ce
que
l'ART
au moment
d'un silence
'' Garder le silence,
c'est ce que à notre insu
nous voulons tous,
écrivant '' ***
Alors
VOIR
TOUT
autour
les dernières
clartés
de lumière
Proust *
Bataille **
Blanchot ***