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23 sept. 2024

L'Île


ART
sous 
SILENCE
en vérité
demander 
mieux informez vous
auprès
des mandatés pour
la spéculation
morale 
et monétaire
c'est ce que l'on appelle
parler pour perler
dans la banque
ia
et ses serviteurs
le grand informateur
de ce qu'il faut
ou pas
pour gagner sa vie
à la perdre
enfin
TOUT
ceci est très normal
et bien vu
du 
Cyclope
éclopé
de la 
MORT
morte
de l'histoire
scotchée
au temps d'arrête
fixé
par le regard foudroyant
d'Artaud
On en est plus 
Pour donner
suite
à la chose
pour faire le
CONTE
en bonne et due 
forme
géométrisé
par... la
Sainte-Victoire
de 
L'ART
soyons
concave
'' L'exitance est rare'' *
Et oui
quoi que qui quo
q
de là
le pathie
sans la partie
du gros lot
pauvre comme
de 
Bloy
ou ce qui seras vite 
rat trappé
Bataille
courant Hegel
après
la friction
des deux nuages
Mais avant
TOUT
le désir
d'être antre-nous
malgré
TOUT
tenir
 debout
la toile
au bout du pinceau
et non comme
la trempoline
de
Goya
ia
y a eu
IL Y A
seras
en des éternités
d'attentes
infinis
les chéri(es)
des petits dessins
'' L'image 
à première vue
ne ressemble pas
au cadavre
mais il se pourrait
que l'étrangeté
cadavérique
fût aussi
celle de l'image '' **
mais qu'est-ce que
la lumière
sur le caca
monde
observé
par la misère
et la lucide
vérité
face à ce qui tremble
et agonise
à vue d'oeil
sur le bord de l'abysse
de la
NATURE
natures
et en toute nature
par 
L'ART
donné
aux hommes de bonne
volonté
car le mal est
le bien n'est pas
pensait 
le Nono
Gaspard
Antoine
et les tartistes
il est à conquérir
en la lumière
et puis zut
Par des particules
éparses
sur le socle
de nos appartenances
ICI
MÊME
D'AILLEURS
les aimé(es)
contre la
MORT
morte
et le cimetière
au bout
de nos amours
(mot que la 
MORT
morte 
ne veut 
ni peut entendre)
le jeu étant pipé
avant l'arrivée
et les vivants très 
aux faits
de ne pas s'y plier
alors ils meurent
deviennent
à la vue
d'Artaud
des tremblements
d'où les aimé(es)
vont mourir
et non pas de la nature
mais
de le
NATURE
natures


... .dessin
signant
le nous
de nos présences
évanescentes
Tache
Bayou
Bella
Nimot
Baroque 
Piuk
Bloom
Zède
Terri
Saïs
Loup
loup
et les abandons
terribles
du destin
hasard
chance
malchance
en la prétention
prédation
du jardin
d'acclimatation
zouant 
zoo
payant 
gros prix
du pris
Ô
bbq
de la nuit
en plein jour
'' ... car la pensée
est un luxe de paix...'' ***
et la suite
métamorphoses
infinies
sans suite!
POUR LES AIMÉ(ES)
et pour
Nulpart


Ancre sur pépier
et crayon
de larme
d'éros
et sachant bien... .
qu'est-ce que
L'ART
nature
aimé
et droit de passage
depuis
LASSCALL
main tenant
c'est sans abri
une cassure
par la machine
infernal
et sans retournement
possible
dire apocalypse
avec
Guerne
ou autrement
Nerval
Nietzsche
Artaud
et pour la pensé
Althusser
et l'invention
du lieu
Aquin
Alors
vers Ithaque
Argos
et les chéri(es)
POUR
L'ABANDON
dernier



Maldiney *
Blanchot **
Artaud ***


7 juil. 2024

Port-Âge


Aucune idée
comme il se doit
casser le cercle
hegelien
et tenir
en plein la vie
comme la vu
Martinet
et la proématique
et ses éraflures
époquales
nihilisme
par le
TOUT
s'emmêle
dedans dehors
l'étêtement
adn
au jeu sérieux
d'Axelos
Et évident qu'on à pas
à dire
et cela n'empêche
RIEN
ou si tant qu'
il y a
quoi... .
de la vague pas nouvelle
qui donne le mal 
le haut et la berlue 
de coeur
où il devient arythmique
et plus mathématique
du
TOUT


et jusqu'à la lie
se délier
du délit
d'en sortir
et tenir aux chimères
au
CONTE
des embarqué(es)
vers Nulpart
et seul main tenant
à bord
à bas à tri
antre-nous
avec
Vinci
atteint lui aussi
par 
L'AMOUR
du vécu
ayant bien vu 
les choses
se débattent
pour de tous petits
extases passagers
volés à l'arrachés
au 
TOUT
du monde
de la distraction
DISPARITION
dépression
de Léonard
et dépressions 
en pression
d'atmosphères
Alors 
en ce fourre
TOUT
bordel
sur la plage
d'Ensor
après que Jean Clair
ait vu clair
à la caca démie
de ses ponctions
après
TOUT
est foutu
ou quand les banques 
désœuvrées
du butin
pour la fin
du monde
Alors
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
Rognures
de diversions
au 
PASSAGE
de
PERSONNE

Et des maux
toujours des maux
toujours
les mêmes
et la situation
s'empironne
et s'étouffe
en son cri
La fuite
en capital mental
avec la monnaie
et le pain
sans la recette
du boulanger
en banque route
et les poussières
d'errance
et les pépins
dans le sable
 fin
du cyclone
cloné à l'argent
de l'apocalypse
et la
grande
disparition
de quoi... .
que qui quo
(...l'argent est désagréablement
rationnel.)
Musil
de l'or contre art
comme toujours
jésuites et Incas
 Dieu contre Art
interdiction
des images
et pas de
 Klossowski
pas de pas de... .
Alors oui
qu'est-ce que
L'ART
en tant de nihilisme
c'est à dire
quand on à réponse
à simplifier
l'apport à la conscience
à la beauté
(luxe calme et volupté)
et de la considération
à comprendre
le coeur qui à ses raisons
que la raison
et puis quoi 
NATURE
natures
et bien de la lumière
sur le passage
attrape
à 
MORT
morte
nature et les chéri(es)
et de la redite
ou du
silence
pour la 
vive mémoire
des aimé(es)
L'ART
va vers ouvre la nuit
à sa lumière
éclaire la dantesque
affraire
de la 
MORT
qui innommée
meurt de ne pas
mourir
ou trou noir
des terreurs
infinies
L'ART
cet antre
2
sans là quand
au royaume
innocent
d'embellie
Gilles
Gaspar
l'enfant loup
chat chien
ours 
tigre
de Borges
et dessus
le jeu
sérieux 
d'AIMER


Combien
au tri
des cris
au 
du lieu 
où 
L'ART
 se doit 
d'agripper
la feuille
en tombant de l'abysse
tenir
et faire montre
monstration
du terrible
le main tenir
le lier le relier
à l'émerveillement
projeté
de l'aurore
à l'esprit
tendu
espérant
la désespérance
de bon aloi
De cela... .
On auras beau dire
mot dire
et du silence
et du bruit
qui va finir
la main à l'oeuvrage
d'AIMER
qui est un
ART
le
SEUL



24 juil. 2021

Sculpter


Rosso
et puis
quoi?
Ou pas
qu'importe...
Mussolini
théâtre
du pendu
de l'histoire
d'un conte
allemand
et pétanques
à va pétin 
d'in erres
en ciarges
de cire
chandelles
mortes
offrandes
pour l'odeur
in mémorium
des fous 
de bien des choses
disparaissant
sous l'élévation
du seul'oeil
Ignorant
la part
d'Amour
qu'il faut
pour le passage
alors
le travail
peux guérir
de tout...
De quoi au fait?
Mal armé
ton coeur
mis à nu
par la matrice
en pleine nuit
auscultée
à la tempe
innommable
passoir
à la mort
Medardo
Bref histoire
ridicule
songe et mensonge
outrage
à la lucidité
Donnmoué
des peanuts 
des laisses faires
et cries
de circonstances
imprévisibles
Que Dieu
me veille absoute
avec Villon



Invisiblement
visible
le
 VISIBLE
toujours
inégal
et incontournable
justesse
injuste
des choses
Pesante 
apesanteur
du Monde
Et du Capital
de lieu...
en somme
de lui le même
UN 
des uns
part de crapules
entre eux
les élues
du plus
d'ignorances
en temps
de perdition
et de violences
Dieu?
Au fond
tu cherche quoi
de coupable
pour te lessiver
l'oignon
cuit ou cru
Croire
au lavement de pied
des morts
sous l'église
en goulags
en camps
Camp
Dira-t-on
du paradoxe
d'orgueil
et de la croyance
 Narcisse
Goldmund
 fanatisme
d'idées
contre
 Être
se promène
la
 MORT
à tout bout
 de champ
Justifiant
le
 TOUT
l'insaisissable
pénétrant
TOUT
l'impénétrable
TOUT
esprit
d'épris
sans être pris
Enfin
quoi l'éternité?
Oiseau oie
voyant
leurre
qu'il 
EST
tu voie...
ou pas
des mots


En vérité
l'insensé
de la part
de monde
demeurant
Chose
en 
DON
à la lumière
du futur antérieur
et du plus-que-parfait
Michel -Ange
entre deux doigts
ce vent de désir
ayant tourné
à l'écomomie
dans l'oreille
de Saint-Simon
ou des sourds
aveugles
bons diables 
en faits
des maux à mots...
'' Le paradis,
à n'en pas douter,
n'est qu'une immense
bibliothèque '' *
Du bruit
qui va finir
en somme
et pour de bon.
Chuttttt
ça tombe
soyez
 sang craindre


Bachelard *

11 nov. 2016

L'Envoyé


Mutatis  Mutandis

...en dernier
pour le chat
les bêtes
de lumières
Miamioù
qui sait
justement
ce qu'il en est
du temps
posthume
des laissés
passés d'amour
et d'affections
entre tous
les pareils
LÀ l'Un
l'autre sang tous
doigts griffes
chairs chérissant
le coût de l'enjeu
en lieu des dieux
naissant devant
donnant à Être
cela qui Est
sans limite
malgré Tout
Ordre désordre
tout est dit
...Et le silence
des sphères
indiffèrent
les particules
élémentaires
où le becque
de gaz ouvert
du crématorium
asphyxie
le résiduel esprit
pour violoncelle seul
in amouraché
par faute commune
à recommencer
en claquant des dents
pour la fin des temps
de chaque Un mort
devenu UN ÉTERNEL
petit retour du même
'Je suis celui qui était
Je suis celui qui est
je suis qui je suis
Je suis l'être
Je suis qui je serai'
Insectes papillons
de Bonnard
Oiseaux Matisse
Brancusi
chien chat poisson
lion Delacroix
Douanier cheval de Degas
Music têtes ha!
Les têtes de Rembrandt
Géricault Bacon Giacometti
...à ptits bouts de contes
pareils aux poussières
de Rien du Tout
Îles d'étincelles
à Voir entre nous
les pas...LÀ
mais bien ICI
captant les peurs bleues
les rires jaunes
des yeux rougies...
de périr de rire
en enfance des vérités
premières sous
les généreuses créations
du vivant
sans titre pas en corps
en vents eaux brumes
ou orages...mieux
des pas nommés
vues dessinés
peints gravée sculptés
vues mais pas dites
du moins vers cette joie
illuminant le coeur
transitant d'élévation
après la disparition
de l'aura et des arts
du bonheur...
et bien le chat
c'est bien chat
pour chat...

Rien à dire
sur cela Est
redonder
ceci sur cela
et le reste à Voir
sans histoire
en fin TOUT
sans tant
cent en
s'en ans
en tête à mots
pour crucifier
du verbe
sur l'arche
en plein déluge
du temps
post-mortem
passant ICI
entre toutes choses
et pourquoi
des artistes en temps
limbique
'À la limite de la foi
nous discernons l'absurde
au bout de la raison
ce qu'on dénomme
le néant total' **
Après bien des mots
racontant des blablas
à faire du Nobel
pour oubliettes
finissant à l'ego
des toilettes
compostées par l'Un
le même LUI le LÀ
translucide alors
virtuellement nul
et non advenu
bricoleur d'univers
à ne pas suivre
au-delà du vertige
où attend celui
du des autrement dit
indivis dégommé
du oui de connivence
avec la Nature nature
mais 'Quelle joie
et quel pouvoir
que d'arrêter
la vie dans sa chute' ***
pour tout dire...
et guerroyant des tranchées
au Camp de main à mains
deux mains d'esprit
qui ne veulent pas crever
refaisant un visage
de matin bleu
complice des montées
de terres noires
éludant à la fin
sans mot dire
l'insistance fugace
d'un dieu sur le dernier
râlement de sa création
En fin c'est repartie
quoi? L'éternité!
LÀ où tu rêves
sans payer



Dieu *
Caraco **
Rilke ***