Rosso
et puis
quoi?
Ou pas
qu'importe...
Mussolini
théâtre
du pendu
de l'histoire
d'un conte
allemand
et pétanques
à va pétin
d'in erres
en ciarges
de cire
chandelles
mortes
offrandes
pour l'odeur
in mémorium
des fous
de bien des choses
disparaissant
sous l'élévation
du seul'oeil
Ignorant
la part
d'Amour
qu'il faut
pour le passage
alors
le travail
peux guérir
de tout...
De quoi au fait?
Mal armé
ton coeur
mis à nu
par la matrice
en pleine nuit
auscultée
à la tempe
innommable
passoir
à la mort
Medardo
Bref histoire
ridicule
songe et mensonge
outrage
à la lucidité
Donnmoué
des peanuts
des laisses faires
et cries
de circonstances
imprévisibles
Que Dieu
me veille absoute
avec Villon
Invisiblement
visible
le
VISIBLE
toujours
inégal
et incontournable
justesse
injuste
des choses
Pesante
apesanteur
du Monde
Et du Capital
de lieu...
en somme
de lui le même
UN
des uns
part de crapules
entre eux
les élues
du plus
d'ignorances
en temps
de perdition
et de violences
Dieu?
Au fond
tu cherche quoi
de coupable
pour te lessiver
l'oignon
cuit ou cru
Croire
au lavement de pied
des morts
sous l'église
en goulags
en camps
Camp
Dira-t-on
du paradoxe
d'orgueil
et de la croyance
Narcisse
Goldmund
fanatisme
d'idées
contre
Être
LÀ
se promène
la
MORT
à tout bout
de champ
Justifiant
le
TOUT
l'insaisissable
pénétrant
TOUT
l'impénétrable
TOUT
esprit
d'épris
sans être pris
Enfin
quoi l'éternité?
Oiseau oie
voyant
leurre
qu'il
EST
tu voie...
ou pas
des mots
En vérité
l'insensé
de la part
de monde
demeurant
Chose
en
DON
LÀ
à la lumière
du futur antérieur
et du plus-que-parfait
Michel -Ange
entre deux doigts
ce vent de désir
ayant tourné
à l'écomomie
dans l'oreille
de Saint-Simon
ou des sourds
aveugles
bons diables
en faits
des maux à mots...
'' Le paradis,
à n'en pas douter,
n'est qu'une immense
bibliothèque '' *
Du bruit
qui va finir
en somme
et pour de bon.
Chuttttt
ça tombe
soyez
sang craindre
Bachelard *