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7 févr. 2023

Et Va Nuit


Exhumation
des corps
mémoriaux
histoire
de dire
 en somme
funesterie
d'instincts
d'obéir
et fait pour ça
'' Constat anthropologique '' *
de la 
Beauté
de la
 Nature
natures
nommées
par petits souffles
maintenant
leurre qu'il 
EST
au passage
vert vers
et du coup
 d'Oeil
infini
de la part
d'ignorance
pour
RIEN


Enfin
s'élève
plein savoir
et assuré
d'une joie
superbe
Précisément
l'anonyme
loge
le pourquoi
du secret
de toute chose
ART
filant
le fil
au dessus de l'abysse
éternité



Des lubies
déniant
les faits
d'au début
et à la
FIN
du monde
suicidaire
de la création
sortie
du paradis
guerroyant
jusqu'au dernier
du mot du
Camp
de l'en faire
des affraires
de chairs et d'os
au livre
et l'oubli
des cendres
fatales
et le 
s'Oeil
posthume
de l'inouï
ICI
MÊME
au-delà
des disquettes
de destructions
massives



Girard *

5 juin 2022

À L'Aube


Faire
Voir
en fin
pendant
le combat
d'un respire
l'autre
Et des murmures
des signes
d'oiseaux
amis
des morts
et si peu
de beauté
dans les froids
proématiques
du futur antérieur
au seuil
bouleversant
des rupestres
sous la voûte
caverneuse
d'ignorance
par les yeux
l'Oeil
et des doctes
mains tenant
l'ampleur
des cataclysmes
et têtes
attendues
revues 
et corps rompus
de la montagne
est belle
Alors
après
TOUT



UN des uns
en grille
et l'Art
de la vérité
Fait moi un dessin
réel
pas sur incertain
demain en main
fragile
et pour combien
Par la mort
qui ne se pense plus
d'habitude
en Somme
au pied de l'Acropole
Socrate
et des buildings
maomonétaires
en restes
d'os et de pétroles
de pareils
pour un dessein
sans dessin
qu'en donner
de lumière
allongée
sur l'Aube
d'éternité



Jouer un tour
à la folie
de l'évanouissement
en Music
gangréné
au désert
des larmes
et des cries
posts festifs
d'un rêve
entourloupé
du prestige
jaune d'un grain
de rire
au dernier
moment 
d'érection
vers le ciel
en fiel 
pour la fin
du temps
en 
mouvements
et
 4
regroupés
en sol 
faire
pour
Olivier

 

...et 30 mts
à l'avance
de cet après
TOUT
juste à l'instant
d'Amour
de
 LÀ
des îles
 Ô tant 
de tombes
 ci-haut 
des champs
 Marcelle
et des enfances
naïves
retombant
au limon
d'un autre
état
sans égard
aux survivances
des manques
sans histoire
ou conte
d'un temps
jadis
des images
imaginées
de
 l'Autre



 

12 nov. 2020

Vent



 

Sous peu
d'air
voyant
l'embaumé
 aux parfums
du Camp
prose 
silencieuse
des parfaits
Ceci 
est une publicité
payé par
Dieu sait quoi
Des avants
après
ce pendant
et bien 
en Fin
Bruissements
des mers
représentation
d'où
hurle le vent
bise
baisant
l'univers
en son coït
multiplicateur
milliards
un pas
pas pareil
une boiteuse
racontant
l'Histoire
du 
RIEN
Rose Marie
de là
oui tantôt
Oui 
en FIN
 pour aller
vers
l'an prochain
ce rouler
dans les prés
pas seul  
Vrai
Pattes croisées
l'une sur l'autre
les siennes
quatre cinq
Fiedor
Dodo
Été 
diversions
Le téléphone
Degas
Mauvais numéros
Pourquoi pas?
Épongeant
le temps
qui passe
MORT


Dein
sans
ss
des jeux
enfantins
naïfs
sans faiseux
du moulin
à d
faire
les chapeaux
de Renoir
place de l'étoile
Rodin
son prie-Dieu
sous le bras
de Claudel
famille
de maux
sans pulpe
chairs vive
pierre
par Pierre
le douanier
Art
 a A
entre deux
où  
passe
cela
charriant
scories
schismes
TOUT
quoi
ce déluge
de no-way
à dieu
sait quoi
de la main
en croix
de Saint-André
renversée
Après
la sortie
hors
quoi
le TENIR
va s'écrouler
emportant
tout
l'infime
en reste
cendre
poussière
En fait
un néant
de tête
Elle y seras
la première
venue
avec le dénie
d'être
et d'avoir
été
Mais quoi l'éternité
quand
la fable
si courte
s'évanouie
avec le 
VERBE


'' Ce que nous perdons
le temps ne le refait pas,
l'éternité
le garde
pour la gloire
et aussi 
le feu. '' *

Trace
de vent
comme derrière
sous cadavre
je sais
chaque jours
nuits
donnés
d'éternité
RIEN
Cœur
gros
du temps
perdus 
à ne plus le dire
d'amour
que je vous aime
tu es très belle
Je l'autre
qui sait
sans que je
sache
poussières
de vies
Tu vois



Borges *


7 févr. 2016

Ligne


Et si c'était Vrai...




Mais quoi encore ?
Le chemin vers
d'autres visuels
voir la ligne
du dessin
si lentement
que seul
madame Deleurre
en éclaireuse
triait ce qui était
bien ou pas
pour monsieur
et détectait
avant la critique
les tableaux
qui pourraient
faire réfléchir
le philosophe
même si l'orange
est la couleur
du peintre
qui et quelle culture
prépare l'holocauste
suivant et pourquoi
cela plutôt que ceci ?
Chemin d'enfer
dans le gosier
d'une chose atroce
ou encor extase
après l'agonie
du corps de l'aile
des mouches arrachées
chats chiens viandes
plantes...
des assiettes
au beurre des morts
et les arènes
et les artistes
et la conscience
en l'ignorance
et le sang
sans pourquoi...
Quelques peux
comment dire
et là ce vide
néant de solitude
bon pour la culture
d'illusions jusqu'au
prochain épisode
de la tablée de la mode
terminant sa course
en coup d'édenté
dans l'air insignifiant
des prières
en forme de mots
au-delà du bien du mal
agrippé immonde
à de petits dessins
comme autant
d'inutilités
regardant la beauté
et la trouver amère
ou encore
le mot culture
et sortir le révolver
Héritier de comportement
acidifié à l'eau vinaigrée
des tortures
et puis sauver
les disparus
de la terre et du ciel
en profit des clubs bars
sous la coupole
des coiffés
d'entre eux
tyrans là
le diable par la queue
des chants
en mal d'aurore
Dans cette étable
voyez-vous
la ligne se retire
sous le vomi
de la peinture
et Ingres reprend
sa création
pour en sortir de
l'interminable instant
des lumières funestes
sur des songes
et mensonges
des bains turcs
bien qu'avalant
des couleuvres
et des poignées
dans le dos
d'à peu près tout
d'éternité
c'est l'ici là
exactement
celle de tous les instants
faits pour regarder
deux fois plutôt qu'une
la disparition
de l'artiste
en helicobacter

Subjectivité
sommation
de payer
tu voies
voir n'est pas
sans lieu prescrit
là en peinture
ou en Nature
vert les bons
tu sais...
ce qui revient
toujours en fait
à crever en mâchant
de la gomme
nucléaire ou d'acide
chlorhydrique
en levant les bras
tâche terrible quand
on te dévore
en grondant ta mère
de t'avoir donné la vie
en os m'ose
avec l'organe
du parti
pour la gloire
de l'exploitation
oecuménique
de la loi
des cent morceaux
terminant la Bataille
son enseignement
du dernier rire
au fond d'un puit
comme à Paris
la nuit envoûtée
par l'art
tôt à la nouvelle
aurore
Se détache alors
de la ruineuse
mise à prix
des têtes brûlant
des suiveux du poète
patentant brettant
tant bien que faire
si peu d'être étouffé
par la boucane
avant les cris
du dernier soupir
de madame père
obéissant à l'hospitalité
des tenus pour conte
Dit dire et redire
là où s'évacue
le trie du cri
des crickets
et sous les bottes
d'un en Un
disparu au fond
du ciel à la recherche
de myrtilles
à contrôler
pour le besoin
du désert du tyran
pour le génocide
technique
des tas de disparus
entre les rouages
du monde dentier
en tube médiatique
prit dans l'écran
de fumée cachant
le Dieu en dieux
fous toutous partout
absents du sens
et va nuit
dans les unes et
mille vies du Un
suicidaire en fin

Éternité
tu voies
d'abandon
c'est Seul
main crayon
une arène
des gens
...et la mise à mort
débute luxe calme
et volupté
vers le gâchis
sacrificiel du Rien
de cela qu'en avançant
le tableau étouffant
sous les décombres
des organisateurs
d'estrades croulent
s'écroulent
et le conte
du Spectraque
en un feu de pétarade
d'à je nous
fixés pétrifiés
en Un
disparu au-delà
du bien du mal
toujours au nom
d'un meneur
fou commandant
des armées
de moulins à vent
là pour raconter
sans savoir
dire et créer
histoire de se l'a raconter
en morte conscience
bris de confiance
se terminant
au bout évanouie
déporté de création
mais bien là
dans le Camp
sans enfants
où va apparaître
le roi d'extermination
'...soit un point,
soit une ligne
tout sera vivant...' *
dit le peintre
En ligne d'éternité
virtuellement
déjà...


Hokusai *