Sous peu
d'air
voyant
l'embaumé
aux parfums
du Camp
prose
silencieuse
des parfaits
Ceci
est une publicité
payé par
Dieu sait quoi
Des avants
après
ce pendant
et bien
en Fin
Bruissements
des mers
représentation
d'où
hurle le vent
bise
baisant
l'univers
en son coït
multiplicateur
milliards
un pas
pas pareil
une boiteuse
racontant
l'Histoire
du
RIEN
Rose Marie
de là
oui tantôt
Oui
en FIN
pour aller
vers
l'an prochain
ce rouler
dans les prés
pas seul
Vrai
Pattes croisées
l'une sur l'autre
les siennes
quatre cinq
Fiedor
Dodo
Été
diversions
Le téléphone
Degas
Mauvais numéros
Pourquoi pas?
Épongeant
le temps
qui passe
MORT
Dein
sans
ss
des jeux
enfantins
naïfs
sans faiseux
du moulin
à d
faire
les chapeaux
de Renoir
place de l'étoile
Rodin
son prie-Dieu
sous le bras
de Claudel
famille
de maux
sans pulpe
chairs vive
pierre
par Pierre
le douanier
Art
a A
entre deux
où
passe
cela
charriant
scories
schismes
TOUT
quoi
ce déluge
de no-way
à dieu
sait quoi
de la main
en croix
de Saint-André
renversée
Après
la sortie
hors
quoi
le TENIR
va s'écrouler
emportant
tout
l'infime
en reste
cendre
poussière
En fait
un néant
de tête
Elle y seras
la première
venue
avec le dénie
d'être
et d'avoir
été
Mais quoi l'éternité
quand
la fable
si courte
s'évanouie
avec le
VERBE
'' Ce que nous perdons
le temps ne le refait pas,
l'éternité
le garde
pour la gloire
et aussi
le feu. '' *
Trace
de vent
comme derrière
sous cadavre
je sais
chaque jours
nuits
donnés
d'éternité
RIEN
Cœur
gros
du temps
perdus
à ne plus le dire
d'amour
que je vous aime
tu es très belle
Je l'autre
qui sait
sans que je
sache
poussières
de vies
Tu vois
Borges *