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28 févr. 2024

Contre-Mort

 


La Mort
est
sans consolation
et le reste
de la philosophie
Alors
le 
VERBE
l'ICI 
MÊME
et la part du grand
OUBLI
c'est la
MORT
ce qui va 
NATURE
natures
et fait (créé)
pour les feuilles
mortes
Et s'il y a
avant après
en souvenance
de ces deux
états 
et bien cela ce saurait
Y A L'HISTOIRE
arrangée avec la
MORT
ses morts 
de mort naturelles
en formes de là
 une maladie
là une autre
guerre et guéguerres
dedans dehors
Donc histoire
état le pire des monstres
IL Y A
l'EFFROI
de l'ICI
et 
MAIN TENANT
L'oeuvrage
de la lumière
sur le
VOIR
par l'intuition
de vivance
sachant bien
que les faux jetons
à l'ère
numérique
air numéros
du faire semblant
de vouloir sauver
la veuve et l'orphelin
enfin
L'ART
se seul
in memoriam
en l'univers
esseulé
d'un trou noir
infini
Noir bonnet
bonnet blanc
Alors
L'ICI
MÊME
quel en est la couleur
de la joie
d'aimer
ou la haine
déguisée
en pleurs
comment reprendre
le fil
du
CONTE
après
TOUT
passé les apprentis
sorciers
de
Jonestown
et du radeau
de la mésuse
En fait
QU'EST-CE L'ART
sinon
c'est la bon leurre
éternel
en la
MORT


Que des larmes
alarmant
les aimé(es)
et la vieille main
tenant ouverte
la fente 
à lumière
sortie des dévorations
d'essais
aux milliards
trilliards
de coups d'épées
dans l'infini
darwinien
ou l'innommable
sans l'appel d'art
à la 
BEAUTÉ
des essences
et sur
TOUT
ça le murmure
des aimé(es)
C'est à dire
ce qui n'à pas droit 
aux lamentations
aux gémissements
que d'être
De la lumière
pas des collabos
militarisés
et condamnés
au sévices
de la
MORT
La mort n'à pas
besoin d'aide



Contre moi vous
dedans dehors
ventriloqués
en somme
pour détruire
la destruction
du dernier souffle
de
l'innocente
NATURE
natures
les nids de 
Van Gogh
et les asperges
et les natures mortes
et l'insignifiance
bombardant
la
BEAUTÉ
du
Monde
entourloupé
de fausses routes
de chemins
à lemmings
monnayés
de destructions
payantes
pour le compte
direction
No Way
sur des planètes
mercantilisés
d'abrutis
Encor
très près
du mal infini
et d'un an d'extase
pour milles
infanticides
En la
MORT
et par le
VERBE
justifiant
d'amen
et que Dieu
nous veille absout
en
TOUT
ce que la
MORT
prescrit



11 juil. 2023

T'Entend


On y étaient
ICI
MÊME
Que du
 SILENCE
actelier
et des seuls
2 TROIS
l'antre-nous
TOUJOURS
air
ce qui seras
conduit
du moins
on en rêve
cela arrive
se pose
tranquille
laisse venir
la lumière
mon âme
à larmes
chéri(es)
tes cries
d'étouffements
tout autour
je vous entend
t'entend



T'aime
terre
chez-soi
passage
de la vrai vie
d'AILLEURS
ICI 
MÊME
en mots
de maux
s'exauçant
en blanc
de 
SILENCE
à dire
de 
le verbe
au
SOCLE
de la création
VIVANCE
éternisée
de la
BEAUTÉ
du
JOUR
à tenir
main 
tenant
l'ouvert
vers 
L'AILLEURS
uni-vers
vous
le meilleur



La vie
cette fente où
passe
la lumière
que fixe
l'Art
au moment
de Dieu avec un X
ou pas
 du religieux
d'en 
Somme
technique
saut dans le vide 
du cerveau
sot dans la raison
raisonnante
affolée
par le vertige
qui s'offre
devant soi
Derrière
la vie devant 
dieu ou dieux
des hommes
''...Le mythe
est un signe...'' *
Un dessin
à dessein
ou encor
le chant du cygne
de la Castafiore
au perd la chaise
Alors qui veut faire
l'ange...
Au diable
le
TOUT
ou
de la transfiguration
du monde
regarde bien
après
l'impossible
dont nul 
bariolé
des barioles
aux vents
sidérant
de l'EFFROI
du noir
les couleurs
pour l'état
de
 l'ART
au plus près
des étoiles
sans noms
des cathédrales
ou encor
sans fin
IL
SE DOIT
après le
CAMP



Brûlures
des fausses
otages
disparus
monnayés
du passage
vitesse
trop tard
beaucoup toujours
et encor 
une fois
l'ATTENTE
INFINI
'' Je ne crois pas
qu'il y est beaucoup
d'oeuvres dart
dans les musées... '' *
et pas d'ouvert
cimenté
de ses morts
avenir
d'atômes



Vioulac*

16 juin 2023

Muse D'Offrandes


Pour 
Stéphane Collin
et des pensées
pour
Ô
 musiques
de
COEUR
AIMANT
Étouffement
du manque
d'AIR
et de nos songes
oracles
de misères
en
VOUS
d'antre-nous
des tonnes
d'après-vous
similaire
au vivant
d'à côté
et
PAS
dépendant
du labyrinthe
de l'écoute
disponible
ou 
PAS
passant sur la portée
du sol
et ses peurs
infinies
Dion
Vivier
là pas là
et quelques notes
éparses
en seul 
si haut
aux sphères
célestes
et assurer
tranquille aussi
du bardas 
tenant sur le fil
du chant 
territorial
d'AMOUR
 le reste
la vie
en justifie
la raison
percluse
et souvent fixée
mortellement
par le tyran
do
sur la somme
du nombre 
des lemmings
Jeu 
sur le clavier
responsable
de la 
JOIE
gens c'est bas tient
un peu comme
les improvisations
mortelles
que d'être
sous le joug
de lui le même
UN
des uns
au contrôle
de l'orgue
de la barbarie
sous couvert
d'une marche
militaire
Donc
en avant la sisique
pour la main
à la note
imprécise
mais à sa place
c'est à dire
sur la portée
des déportations
de la
VIVANCE
vers le
 PARADIS
alarmé
de l'unie vers 
AILE
que des larmes
ô 
mère
vieille
sur la muse
des rêves



Pyramide
chérie
hymne
à nos ébats
d'AMOUReux
nous y étions
bois prés
rives sans rivages
rivés
à nos coeurs 
saignants
Gâchis
le diable
existe 
ont le vit
impasse
ma chérie
la dia
tu te souviens
en fin
t'entend ma voie
JE 
sais
que nous savions
la
MORT
'' L'homme intérieur
n'a pas de langage... '' *
et puis écrire
traces 
au doigt sur le sable
déserté
de nos bonheurs
lucides
CHÉRIE



Enfin
sous peu
les frivoles mensonges
assassins
d'(un sauve qui peut
personne ne se sauve)
et
 +
PLUS
la pauvreté
des oiseaux des chats chiens
martyres
aux ravages
désavoués
du désert
de la muse triste
du mensonge
quotidien
des fuites
prédatrices
pas lui lui l'autre
LUI
le
MÊME
UN
des uns
au fleuve de sang
 prétentieux
raisonnables
tyrans
de la fleur
Novalis



L'enfer troisième 
mouvement 
de
Collin
et le marquis
Ô
aie!!!
CRISSSSS
d'SS
LE GRAND
PIC
à l'arbre
du fruit
d'ÊTRE
en pleine
LUMIÈRE
d'errance
TRISTESSE
la jeune chienne
et la
MORT

 

Schuman *

23 févr. 2023

Saïs


Du crachat
de
George
sur la stragédie
de la machine
funeste
ridiculement
boumboum
et des maladies
de poussières
éparses
à la manie 
du cul-de-sac
redondant
retour
du même
macérant
d'organes
des... etc tec cet
Au sortir
du don
de lumière
'' Dans la hiérarchie
artistique,
les oiseaux
sont les plus
 grands musiciens
qui existent sur 
notre planète '' *
tuituieeee
et les sons
Au début
du trait prolongé
il seras
tant de 
JOIES
sous les semelles
devant
le désir
du coeur
outré
de larmes
contre l'arme
assassin
déguisé
en fleur
d'apocalypse
Des rires
foudroyés
festifs
en
Somme
chutttt....
au clôturés
du
UN
des uns
guidant
le machin à viande
sur le bbq
des jours
en soulier
vert niant
le rouge le bleu
jaune
du jardin
des tortures
 dérèglées
de la reproduction
des en faires 
Et puis
quoi l'éternité
la mer 
le perdure
à la chaise
musicale
et de la courte 
paille
autant dire
les maux
après
TOUT
éraflure
qui lui coûte
la
vie
tremblante
pour souffrir
d'animal
en grandeur
d'âme
infinie



D'abattoir
au sang chaud
sous l'ignorance 
encrassée
d'hymne
au festif
de la table
 enchantés
du cimetière
et jusqu'au dernier
outrage
à la
VÉRITÉ
d'EFFROI
des arts
face au possible
de vent 
qui se propose à
 l'ESPRIT
antre-nous
oiseaux
du merveilleux
sourire
consciencieux
Étonnant frisson
des tombent
en haut


Euh...eux
de l'histoire
bouclée
d'elles
au passage
du grotesque
beckettien
et des pettes bretelles
déviandés
du sortilège
cioranesque
attrapés
du fil de la lettre volée
de la prédation
de 
L'ART
au lard 
des charcuteries
tranchées minces
en final
au bloc scellé
des sucres
de la dernière
scène
Ha!!!!
Men.



Messiean *