On y étaient
LÀ
ICI
MÊME
Que du
SILENCE
actelier
et des seuls
2 TROIS
l'antre-nous
TOUJOURS
air
ce qui seras
conduit
du moins
on en rêve
cela arrive
se pose
tranquille
laisse venir
la lumière
mon âme
à larmes
chéri(es)
tes cries
d'étouffements
tout autour
je vous entend
t'entend
T'aime
terre
chez-soi
passage
de la vrai vie
d'AILLEURS
ICI
MÊME
en mots
de maux
s'exauçant
en blanc
de
SILENCE
à dire
de
LÀ
le verbe
au
SOCLE
de la création
VIVANCE
éternisée
de la
BEAUTÉ
du
JOUR
à tenir
main
tenant
l'ouvert
vers
L'AILLEURS
uni-vers
vous
le meilleur
La vie
cette fente où
passe
la lumière
que fixe
l'Art
au moment
de Dieu avec un X
ou pas
du religieux
d'en
Somme
technique
saut dans le vide
du cerveau
sot dans la raison
raisonnante
affolée
par le vertige
qui s'offre
devant soi
Derrière
la vie devant
dieu ou dieux
des hommes
''...Le mythe
est un signe...'' *
Un dessin
à dessein
ou encor
le chant du cygne
de la Castafiore
au perd la chaise
Alors qui veut faire
l'ange...
Au diable
le
TOUT
ou
de la transfiguration
du monde
regarde bien
après
l'impossible
dont nul
bariolé
des barioles
aux vents
sidérant
de l'EFFROI
du noir
les couleurs
pour l'état
de
l'ART
au plus près
des étoiles
sans noms
des cathédrales
ou encor
sans fin
OÙ
IL
SE DOIT
après le
CAMP
Brûlures
des fausses
otages
disparus
monnayés
du passage
vitesse
trop tard
beaucoup toujours
et encor
une fois
l'ATTENTE
INFINI
'' Je ne crois pas
qu'il y est beaucoup
d'oeuvres dart
dans les musées... '' *
et pas d'ouvert
cimenté
de ses morts
avenir
d'atômes
Vioulac*