Pour
Stéphane Collin
et des pensées
pour
Ô
musiques
de
COEUR
AIMANT
Étouffement
du manque
d'AIR
et de nos songes
oracles
de misères
en
VOUS
d'antre-nous
des tonnes
d'après-vous
similaire
au vivant
d'à côté
LÀ
et
PAS
dépendant
du labyrinthe
de l'écoute
disponible
ou
PAS
passant sur la portée
du sol
et ses peurs
infinies
Dion
Vivier
là pas là
et quelques notes
éparses
en seul
si haut
aux sphères
célestes
et assurer
tranquille aussi
du bardas
tenant sur le fil
du chant
territorial
d'AMOUR
le reste
la vie
en justifie
la raison
percluse
et souvent fixée
mortellement
par le tyran
do
sur la somme
du nombre
des lemmings
Jeu
sur le clavier
responsable
de la
JOIE
gens c'est bas tient
un peu comme
les improvisations
mortelles
que d'être
sous le joug
de lui le même
UN
des uns
au contrôle
de l'orgue
de la barbarie
sous couvert
d'une marche
militaire
Donc
en avant la sisique
pour la main
à la note
imprécise
mais à sa place
c'est à dire
sur la portée
des déportations
de la
VIVANCE
vers le
PARADIS
alarmé
de l'unie vers
AILE
que des larmes
ô
mère
vieille
sur la muse
des rêves
Pyramide
chérie
hymne
à nos ébats
d'AMOUReux
nous y étions
bois prés
rives sans rivages
rivés
à nos coeurs
saignants
Gâchis
le diable
existe
ont le vit
impasse
ma chérie
la dia
tu te souviens
en fin
t'entend ma voie
JE
sais
que nous savions
la
MORT
'' L'homme intérieur
n'a pas de langage... '' *
et puis écrire
traces
au doigt sur le sable
déserté
de nos bonheurs
lucides
CHÉRIE
Enfin
sous peu
les frivoles mensonges
assassins
d'(un sauve qui peut
OÙ
personne ne se sauve)
et
+
PLUS
la pauvreté
des oiseaux des chats chiens
martyres
aux ravages
désavoués
du désert
de la muse triste
du mensonge
quotidien
des fuites
prédatrices
pas lui lui l'autre
LUI
le
MÊME
UN
des uns
au fleuve de sang
prétentieux
raisonnables
tyrans
de la fleur
Novalis
L'enfer troisième
mouvement
de
Collin
et le marquis
Ô
aie!!!
CRISSSSS
d'SS
où
LE GRAND
PIC
à l'arbre
du fruit
d'ÊTRE
en pleine
LUMIÈRE
d'errance
TRISTESSE
la jeune chienne
et la
MORT
Schuman *