Treillis
Pour
Veuve Noire
...'Puis terre et mer
conjuguèrent
leurs appels
en doux remous
d'amour/une jeune
étoile apparut
dans le halo d'échos
sur la peau vieillie
des saisons veuves...'*
Des lunes
d'imagination
pour le retour
à Itaque
du fleuve
à la mer rouge
Si ce n'est l'étrange
joie de lumière
du nord juste
et SEUL entre nous
en des oiseaux
qui se protègent
de la glaciale
ce ne serait là
qu'un vaste chant
de larmes qu'émet
ce ne serait là
qu'un vaste chant
de larmes qu'émet
la dévoreuse
de sang chaud
corsetée
de breloques
et cadeaux
de la vie bébelle
entre ses cuisses
pour cette remise
des partances
en la nuit abyssale
de toutes les morts
de toutes les morts
de voiles déchirées
de leurs aurores
de leurs aurores
injustes de coeur
sans jouvence
des Gabrielle
à parfum
sans résurrection
des pestiférés
Mourir en FIN
ta fleur de printemps
ayant de mémoire
bien vue...la rose
l'épine...
mais crucifiant
au col l'épi émondé
en sa flamme
d'amour vrai
veines fendues
des cadavres anciens
qui exultent
en corps la marche
du tombe haut
à la faim dévorante
de chairs tremblantes
du désir pervers
de disparaître
FIN
Cercl'oeil
un pays d'amour
à chaque vague
des sels saupoudrés
de souvenirs
pour les longues nuits
à rêver de nos amours
Il n'y à que ça
allongé d'un petit dessin
à dessein d'éternité
ancestrale
Tantôt reprendre
ces petits morceaux
de sang sure
entre nos pattes
entrecroisées
d'orgies ces sales
petits secrets
qui font la vie dure
aux créations pures
des mains propres
écrivant en spermes
la plûme dans l'encrier
l'en faire
de l'éternel retour
du cerveau créé
pour ce servir
de lui le même
et ce jouer des tours
tentant la grande
diversion
pour éviter ce qu'il
ne peux éviter
lui le MÊME
UN des uns
Ceci est une pipe
prose proématique
tu voie flotter
les mots pierres
ou encor le pire
ce saut où les anges
s'écrasent
avant le devenir
éternel dans le dos
d'un conte
d'effroi à ne pas croire
parce que vrai
et permette
à l'imaginaire
de raconter
ces sornettes
C'est repartit
quoi?
Hors la sortie
à faire voir
passant
la tête toute faite
l'amener
LÀ ICI MÊME
par un petit dessin
à ce qui EST
Où d'Où verrous
qui que quoi LÀ
...et puis...
vais me coucher
et de mises errantes
obéir au corps fatigué
et là du repos
la mer avec Saïs
jusqu'à l'Oeuf
des mares...
Comme ceci
Du barbo composté
du mourir d'être...
vous savez...
transmuté loin
en de vagues
vapeurs d'eau salée
qu'accrochent
des vents formant
des nuages
d'infinis tristesses
FIN
C'est quand ciel
d'hiver
sous les tropiques
palpitantes du coeur
Walser la vaisselles
essuyées en quelques
microgrammes
petit dessin du frère
sur la neige des pas
un prince ferme
ses yeux du dehors
la horde aux grappins
Là vers une série
de petits tableautins
de mer à boire
genre pas maniéré
mais genragé
du toujours pareil
jamais pareil
rien ne se perd rien
RIEN
De là les ribambelles
de tout ces mots
qui cries ça suffit
et c'est bien assez
en cette masse
de fracas tracas
Ici des milliards
de soleils se sont
éteints...
Là...
FIN
à parfum
sans résurrection
des pestiférés
Mourir en FIN
ta fleur de printemps
ayant de mémoire
bien vue...la rose
l'épine...
mais crucifiant
au col l'épi émondé
en sa flamme
d'amour vrai
veines fendues
des cadavres anciens
qui exultent
en corps la marche
du tombe haut
à la faim dévorante
de chairs tremblantes
du désir pervers
de disparaître
FIN
Cercl'oeil
un pays d'amour
à chaque vague
des sels saupoudrés
de souvenirs
pour les longues nuits
à rêver de nos amours
Il n'y à que ça
allongé d'un petit dessin
à dessein d'éternité
ancestrale
Tantôt reprendre
ces petits morceaux
de sang sure
entre nos pattes
entrecroisées
d'orgies ces sales
petits secrets
qui font la vie dure
aux créations pures
des mains propres
écrivant en spermes
la plûme dans l'encrier
l'en faire
de l'éternel retour
du cerveau créé
pour ce servir
de lui le même
et ce jouer des tours
tentant la grande
diversion
pour éviter ce qu'il
ne peux éviter
lui le MÊME
UN des uns
Ceci est une pipe
prose proématique
tu voie flotter
les mots pierres
ou encor le pire
ce saut où les anges
s'écrasent
avant le devenir
éternel dans le dos
d'un conte
d'effroi à ne pas croire
parce que vrai
et permette
à l'imaginaire
de raconter
ces sornettes
C'est repartit
quoi?
Hors la sortie
à faire voir
passant
la tête toute faite
l'amener
LÀ ICI MÊME
par un petit dessin
à ce qui EST
Où d'Où verrous
qui que quoi LÀ
...et puis...
vais me coucher
et de mises errantes
obéir au corps fatigué
et là du repos
la mer avec Saïs
jusqu'à l'Oeuf
des mares...
Comme ceci
Du barbo composté
du mourir d'être...
vous savez...
transmuté loin
en de vagues
vapeurs d'eau salée
qu'accrochent
des vents formant
des nuages
d'infinis tristesses
FIN
C'est quand ciel
d'hiver
sous les tropiques
palpitantes du coeur
Walser la vaisselles
essuyées en quelques
microgrammes
petit dessin du frère
sur la neige des pas
un prince ferme
ses yeux du dehors
la horde aux grappins
Là vers une série
de petits tableautins
de mer à boire
genre pas maniéré
mais genragé
du toujours pareil
jamais pareil
rien ne se perd rien
RIEN
De là les ribambelles
de tout ces mots
qui cries ça suffit
et c'est bien assez
en cette masse
de fracas tracas
Ici des milliards
de soleils se sont
éteints...
Là...
FIN
Haïr par le mal
déjà fait
alors et bien
le contraire
un tout petit oiseau
plus haut
que gros cailloux
et l'air le grand air
à son gré
le temps libre d'aimer
Très tard
le temps n'est plus
éternellement
pas LÀ
Tout perdu
tout retrouvé
perdu retrouvé
que des trouvailles
Perfection
du monde
imperfection
perception
conception
trafiques
d'influences
La pomme
use l'Adam
tellement
crÈve en meurt
7 pommes
et une 8 ièmes
pour la Sainte-Victoire
Aux faits
des imbéciles
marchandes des pertes
de ressentiments
contre de la vrai vie
qui est ailleurs
bien entendue
Voilà la mer
des nuages
David Friedrich
un conte celui-là
en séquences
un rêve douloureux
pieux dans le coeur
accident d'autos
d'éclair...
Cancer cela plutôt
que ceci la Mort
L'inverse...La Mort
la même.
Des chéries
d'autres
grains de sables
au désert
de Solitude
oasis mirages
illusions...
Cela...qui Est
De l'autre côté-ici
à voir
Le réel et son trouble
la mer et perd
la maladie la mort
Aimer a ce point
Entre deux morts
2 planches
voir exactement
où tu EST
Impossible
cela EST
Suspendu
à l'abysse
séché
par le soleil
Fait Voir
Où et c'est quoi
ce petit moment
lucide...
pas brillant
en sa nuit morte
de ce savoir là
en bien ou en mal
...Petit dessin
Seul à seul
entre nous si seul
Ce bruit
qui va trouver
sa fin...
la Mort ayant encore
beaucoup d'avenir
Survivre
à cette Chose
Nature natures
comme à d'autres
des mises en formes
à l'oeuvre
Sur le guet
en bout de piste
couloir des moins
prometteur
...sur le pont de mémoire
ancestral...
sur socle et poussières
et RIEN
Enfin plusieurs
à la maison
il y à longtemps
qu'elle n'avait pas
été aussi habitée
que maintenant
qu'elle est seule
Hier ma chérie
en bas rouges
m'accompagna
jusqu'au fleuve
de la nous marchèrent
vers la mer
que des mers vieilles...
Il n'y à pas de bonnes
manières de tout quitter
Jamais la lâcheté
ne seras la bonne
Langevin *
déjà fait
alors et bien
le contraire
un tout petit oiseau
plus haut
que gros cailloux
et l'air le grand air
à son gré
le temps libre d'aimer
Très tard
le temps n'est plus
éternellement
pas LÀ
Tout perdu
tout retrouvé
perdu retrouvé
que des trouvailles
Perfection
du monde
imperfection
perception
conception
trafiques
d'influences
La pomme
use l'Adam
tellement
crÈve en meurt
7 pommes
et une 8 ièmes
pour la Sainte-Victoire
Aux faits
des imbéciles
marchandes des pertes
de ressentiments
contre de la vrai vie
qui est ailleurs
bien entendue
Voilà la mer
des nuages
David Friedrich
un conte celui-là
en séquences
un rêve douloureux
pieux dans le coeur
accident d'autos
d'éclair...
Cancer cela plutôt
que ceci la Mort
L'inverse...La Mort
la même.
Des chéries
d'autres
grains de sables
au désert
de Solitude
oasis mirages
illusions...
Cela...qui Est
De l'autre côté-ici
à voir
Le réel et son trouble
la mer et perd
la maladie la mort
Aimer a ce point
Entre deux morts
2 planches
voir exactement
où tu EST
Impossible
cela EST
Suspendu
à l'abysse
séché
par le soleil
Fait Voir
Où et c'est quoi
ce petit moment
lucide...
pas brillant
en sa nuit morte
de ce savoir là
en bien ou en mal
...Petit dessin
Seul à seul
entre nous si seul
Ce bruit
qui va trouver
sa fin...
la Mort ayant encore
beaucoup d'avenir
Survivre
à cette Chose
Nature natures
comme à d'autres
des mises en formes
à l'oeuvre
Sur le guet
en bout de piste
couloir des moins
prometteur
...sur le pont de mémoire
ancestral...
sur socle et poussières
et RIEN
Enfin plusieurs
à la maison
il y à longtemps
qu'elle n'avait pas
été aussi habitée
que maintenant
qu'elle est seule
Hier ma chérie
en bas rouges
m'accompagna
jusqu'au fleuve
de la nous marchèrent
vers la mer
que des mers vieilles...
Il n'y à pas de bonnes
manières de tout quitter
Jamais la lâcheté
ne seras la bonne
Langevin *