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15 juil. 2024

Lestié Sur La Voie


... .et le marquis
bien saisie
sur le bbq
de qui que quoi quo
cul
c'est l'image
de 
DIEU
sait quoi.
Dessiner
tenir
depuis très
longtemps
et le temps si court
et si long
le parcours
jusqu'à 
 la main
tenant
l'air l'amour
et les rêves
au passage
avec les pairs
et le monde
à aimer
en bloc
et en masse
dantesque
friction
éclairant
la
MORT
morte
et de là
VOIR
juste un petit peu
et puis
quoi... . 
des larmes
qui vers la rivières
au fleuve
et le retour
à la mère 
nature
et encor
l'ART
et 
Dieu
chez Hegel
Nietzsche
Artaud
alors
la mort
de lui le même
UN
des uns
diantre
le diable
vivant ou mort
et comment
 en à t-il été décédé
ou bien ou bien
RIRE
avec
 George
déployé
( je ne suis pas
 un philosophe,
mais un saint
peut-être fou)
enfin
peut-on tuer un
DIEU
et l'absence 
lapsus
et la 
MORT
morte
en jugement dernier
qui sait... .
Alors soit
attendre
VOIR
et prions que Dieu
qu'il nous veuille
absoudre
et
Villon
et l'apocalypse
de
Guerne
Alors voilà
Qu'est-ce que
l'ART
Dora
et 
le temps à la lumière
de l'errance
et de du roman
de la prière d'incéré
et cette histoire
de folie
fureurs
et bruits
qui va finir
Alors oui
L'ART
ce qui est plus près 
du bon dieu
et la catholique
France
Sade ce dépravé
mystique
et un saint-homme
là quand
il s'engouffre
au plus bas
du
CAMP
NATURE
natures
naturellement
l'en faire 
est pavé de disparitions
sur l'autoroute
des lemmings
et
le
Dieu
du
SEUL
UN
DIEU
ou encor
main tenir 
ce qui se maintient
sur le socle
au dernier mot
du verbe
penser
IL Y A
et la guerre 
de religion
intestine
pour lequel
dieu
celui là
l'autre
bref 
blanchir les vies las
et bien mieux en rire
que disparaître
après
TOUT
Ces mots de lui
ou encor
le
Personne
de
Celan
et le diable au vers
la piscine de k
ou le désert
 l'exode
et l'offre
de tous les royaumes
d'il était
suites aux idéologies
quoi... .
après l'histoire
de sous le soleil
des bernes
à l'os
sur le bbq
du réchauffement
de l'astre
débridé
et sortie 
de son or bite
Les mots virtuellement
bogués
par le triage
et la passoire
de la
MORT
morte
et insidieusement
sang sure
et figuier
séché
alors 
qui que quoi... .
de
 L'ART
ce dernier bastion
de la mère morte
après
TOUT
L'ART
censuré
par les dictats
du modo
baudelairiens
là où brûle 
les lires
malgré
TOUT
avec 
Philippe
et 
Roth
et le gang
de l'amourachement
à la terre
l'air et les dantesques
fait pas rires
de la
JOIE
à maintenir
L'ART
la main à l'oeuvre
forme de prière
dit le peintre
tissant 
lux calme et volupté
ou encor
après 
Sade
après
TOUT
faut ce qui fôte
et pour le dire
autrement
Dieu
n'est pas
pour
TOUT
et faut savoir
de quoi il retourne
ou encor
se détourne
de l'or et l'art
des gros lots
garnementiel
de la chance
ayant fait
CROIRE
que le supérieur
appelé
jamais épelé
et bien
le repentir
de la
MORT
morte
du verbe
demeure
et les chéri(es)
après 
la
MORT
morte
entendue
et la résurrection
jésuitique
de
SADE
Nietzsche
en retour
du sacré
pan de mur jaune
et la tête du petit chien
au bas du tableau
de Frenhofer
et
Tucker
rodant avec 
Rosso
le
MAÎTRE
et les cires
de 
LAMARCHE
mon maître
pour le faire
chier
et surtout rire
avec 
Després
du temps antre-nous
et une valse
avec 
Chostakovitch
au 
cerc'OEIL
de Malevitch
après la
MORT
du 
sol'OEIL
être con-pris
alors priez pour nous
pauvres et pêcheur
de gens foutres
ou encor
L'ART
après
TOUT
IL Y A
et puis au fond
bien au delà
du très profond
et dantesque
affraire
où 
Kafka
se rend 
à la piscine
jacassant 
et oui 
et les marquises
pour
go gain
et la gangrène
atomique
Pas un homme
pas un vrai
homme
drose
là où 
TOUT
est rose
Sélavoie
et surtout
TOUT
après
socles et poussières
pour
Alain
mais c'est pas
et n'a jamais été
que 
LA MORT
de mes aimé(es)


Nietzsche et la Danse
(bronze)
sur un air
de mots arts
et 
Bach
à l'abandon
de l'érection
pour la fin des temps
sous les arches
de la cathédrale
mise en musique
pour les oiseaux
d'Olivier
Messiaen
antre-nous
les aimé(es)
pas si seuls
Et pour
TOUT
ce qui rend 
visible
VISIBLE
contradictions
et la grosse
soupe
monde
va où elle va
à la va
comme jte pousse
au néant
de la terrible
dévoration
univers
Le reste et bien
les mots
des maux
et de la
NATURE
natures

11 nov. 2023

Art 1


Vent
de la pour
SuiTe
éphémère
du désir
échappant
les chéri(es)
pour le compte
de l'histoire
de folles
envoûtements
( Art-Ô)
ou dieux
sait quoi... .
de la
MORT
cultivant
de la culture
au jardin
de 
la mise errante
du pourquoi
l'ABANDON
des aimé(es)
aux oublis
terribles
d'à jamais
Alors
de
pour ne pas
mourir
de la vérité
nietzschéenne
et du principal
invité
la
MORT
et la réponse
étant le malheur
de la question... .
Blanchot
et le mystère
la question
et l'effroi
c'est la vie
la
MORT
EST
l'UNIQUE
VÉRITÉ
et elle tue
l'histoire
pour
le
CONTE
de 
L'ART



Tenir
dès le début
pour
Samsa
et l'approbation
des bêtes
contre
MORT
Donc 
Nature
de la 
BEAUTÉ
reprise
et en tenue
d'AMOUIR
et
RIEN
Nulpart
antre-nous
suspendre
laisser tomber
l'Axe-d 'Abraham
et sa fin
partons la mère
est belle
laissons
le
CONTE
OUVERT


À Gilles

Et de ce qui fait
fosse
comme
une
et du
OUI
nietzschéen
Arianne
ou bien
et les derniers
moments
pascaliens
du
CONTE
à suivre
de près
pour la fin
du
TEMPS
ce qui veut dire
l'OUBLI
la
DISPARITION
et 
après
TOUT
ce qui se feras
VOIR
à l'article 1
de l'ART
TENIR



30 avr. 2023

Oeil Pour D'Oeil


Nous y sommes
à l'Aube
d'ardeur nouvelles
aurait dit
pour en finir
de la terreur
par milliards
d'indicibles
zombi(es)
du modo
 baudelairien
dédoublant
la création
par d'infectes
particules
et des menteurs
Combien
de la vigilance
auront survécu
a l'infestation
d'un mal
subtile
 destructeur
de la vrai vie
ICI
MÊME
pas
UN
LIEU
le même
en une fissure
lumineuse
par les désastre
de la 
Guerre
contre
  le souffle
du petit jour
oiseau 
des décombres
dort dur
d'en 
SOMME
d'autres 
le coeur corps
sans crainte
y seront
de nouveau
TOUT
en chéri(e)
TRI
qu'ANTRE-NOUS
de la faim
d'en faire
et trop tard
Combien
de sang chaud
aux vues
d'une supposée
joie
qui n'est que le don
nourrissant
l'impossible
venue
de mouches
à ciel
perclus
de misère
Evidemment
cela ne veut
rien dire
ÊTRE



Stragédie
multipliant
chiffré
Un
des uns
enténébrés
limbiques
En cela
SEUL
en
 mirVOIR
vos yeux dévoreurs
niant néant
du
TOUT
du cul
assassins
des coeurs gros
ces misérables
donneurs de
VIE
Et puis 
quoi... .
auras des allures
de quelque chose
en ce vaste
et malheureux désert
un pas et c'est foutu
 terminé
un verbe
maux dit
Vent 
d'AMOUR
flagellé
d'avoir cru
cuit
d'être né
de l'eau de là
du
 VRAI
le reste 
va suivre
le dictat
infestueuse
 phase
terminale
compostée
disparition
de la 
DISPARITION
du
 fourrage
au chant
beuglant
d'infâmes
ignorances
anémiques
niantologies
du courage
et du bonheur
lumineux
d'être en vie
simplement
QUOI
SOUS PEU
des corps noircis
calcinés
roussies
d'insensé
obéissance
à la
MORT
TOUT
en
douce
vers ce qui est
le
SOUHAIT
MOURIR
en
LA MORT
comme la
NATURE
natures 
en sa destinée
la rose
aux oiseaux
disparus
avec la splendeur
du
RIEN
qui socle
la poussière
perdue
en sa 
DISPARITION
(amour
dévoré
par la prédation
au passage... .)




6 janv. 2021

Seul(E)



Pourquoi faire?
Quoi?
Seul alors
les mots
de tous
employés
dits
Et dire qu'ils 
sont 
(de la cochonneries)
ou encor
maux du spectraque
encor
comment dire?
La Peur
bleu
rouge
jaune
et des secrets
que l'on trouve
dans un bol
de céréales
et sur les monts
nuageux
des intempéries
N'importe quoi
la VIE
et la vivance
la petite
pleine
de grâce
d'Amour
portant
le TOUT
pour 
quoi?
A dessiner
les résidus
de ce qui passe
ne revient plus
Retour de quoi?
Intelligence
artificielle
UN des uns
pour un piton
sans le malheur
d'Être
un cimetière
monde
en FIN
graciée
de vivre
et ce qu'on
ne peux dire
il faut le redire
autrement
s'éteint
le conte
d'il était
etc cte tec
Enfin
4+4 
le cinq
en descendant
sur les vallées
verdoyantes
de la bêtise
et
 de Rimbaud
à Witz et Wit
et l'art une
sottise
a larme


Pas de bouteille
pas de mer
que des aprioris
de ceci qui peux
qui sait
que...
BREF
oUI wIITGENSTEIN
(âme nue)
QU'IMPORTE
le v des oies
des outardes
des vies
vivantes ou pas
EST
à 
ÉTÉ
seras
retour
éternel
ou 
PAS
Amour
ou 
PAS


Autres choses
tenant
qu'à ça
ceci
et cela
être
ensemble
seul seulement
toujours
seulE
en jours
de lumière
de LuMiÈre
Si tant et
que 
OUI
Qu'est-ce qui croasse?
à quoi?
Qu'est-ce qu'elle
fout?
Sous
le vent
de mer
des rivages
moi 
et la chienne
en souvenances
'' Le vrai péché
c'est de ne pas
faire le bien'' *
Et nous serons
de l'élévation
du possible
envoûté
le coeur
 s'attache
à la mort


À l'orage
chiffré 
d'angoisse
l'esprit
d'amour
aux pierres
d'érections
sur le
 magmas
insensé
des guerres
d'aux larmes
citoyens
parcelles
éphémères
sous haines
d'entre-nous
d'enfouis
sous la première
vie
Combien
d'os
de chairs
encor
de ce si peu
quelque
chose



Pasolini *



 


14 juin 2020

Art


.

Conte
ou l'évasion
de quoi
d'où
d'ICI
pas des modes
d’existences
des jungles
darwiniennes
des rôles
là donnés
par poupées russes
Nature natures
mimétismes
de ce qui passe
ICI
lieu ou attend
la résilience
ou tu crève
oui mais l'Art
est ce qui
résiste
en se cramponnant
a ce qui s'y refuse
ayant compris
la loi
du triage
pour et vers le UN
et son règne
sur la fin du temps
Alors 
sortir de l'enfer
c'est de cela
qu'il s'agit
chez Van Gogh
mais pas seulement
tous
et cet enfer
élevage
pour et sacrifier
a la MORT
(usine a tuer)
dans les faits
la lumière du jour
exige des frais 
a l'entrée 
a la sortie
la vie
Une asperge
ou un ballot
d'asperges
Manet
pour tout dire
le secret ce scelle
dès le début
et a la fin
ni vu ni connu
L'Art
a vu
voie
insiste
veux en sortir
( un peuple manque)
mais ce peuple?
Peuple
peuple 'd'élues'
hors cela
et là c'est du politique
de l'emprise
qui attend
l’enrôlement
a l'Histoire
Mais l'Art
en sa cage
saccage
ou menant
a la fin du moyen
un suicide différé
comme tous
et comme personne
il est la poursuite
entêté
cherchant
ou trouvant
Désir ou
la 'Chose'
ce qui ne change 
pas l'enfermement
d'être
( l'âme prisonnière
du corps
ou encore le sans organe
etc etc)
un melting-pot
un fouillis
de percepts
infini
sortant des concepts
a distraction
a volonté
et bien ou mal
Es muss ein
et...
Alors
un conte avec ça...
Une histoire
il était avait été
seras...
et d'autres ou pas
IL Y A


Petit dessin
de lignes
pour main et oeil
ayant vis-âge
affairé
osant
tentant
profane
et sacré
non enfin
seulement
qu'entre
Fourrier
fout rien
et fou tout court
pas de nouveau
sous le soleil
de s'éteint
Arracher
de la MORT
la vrai vie
qui reste
pas pour tous
et pas de statue
de la Vivance
a fleurir
tenant lieu
pas contre
pas pour
pas là
mais ICI MÊME
partant du Poussin
sur Nature
d'une Sainte-Victoire
devenue
ce coeur volcan
au pied
d'Amour
partant
donnant suite
contre-mort
par le percept
Beauté
de la merveille
en ART


de RIEN
de faits
anecdotiques
divers
et d'été
de sous zéro
aussi
d'une grande soupe
monde
bruyante 
qui va finir
imbue
orgueilleuse
ingrate
profane
disparue
en misère
du gros orteil
ou encor en un cri
''Je ne crois pas
avoir haï 
rien autant
que la poésie'' *
et écrire
que ça?
'' Une monstrueuse
aberration
fait croire aux hommes
que le langage
est né
pour faciliter
leurs relations
mutuelles'' *
 Alors la vie
sans but...
tu voie
RIEN
ou l'ENFER
c'est ce qui va ce voir
après
TOUT


Que ça
quoi?
Et bien
l’inexistence
au doigt et a l'oeil
tout ce passe là
Oui
ou non
c'Est ou pas
en fin
attendre
les pâtes
maux
mal aux dents
et pour de la boucane
un cancer du poumon
La poésie
tout TOUT
ce qui fait
que la vie vie
fait vivre
pour des restes
dans sa Disparition
pas de haine
pas besoin
Allons
il est l'heure
de changer de leurres
Tragédie
comédie
pas lieu d'être
EST
Avant ce fut
DIT
après c'est fini
FINI




22 nov. 2019

Venal Et Séquentielle


Treillis 
Pour 
Veuve Noire


...'Puis terre et mer
conjuguèrent
leurs appels
en doux remous
d'amour/une jeune
étoile apparut
dans le halo d'échos
sur la peau vieillie
des saisons veuves...'*

Des lunes
d'imagination
pour le retour
à Itaque 
du fleuve 
à la mer rouge
Si ce n'est l'étrange
joie de lumière
du nord juste 
et SEUL entre nous
en des oiseaux
qui se protègent
de la glaciale
ce ne serait là
qu'un vaste chant
de larmes qu'émet
la dévoreuse
de sang chaud
corsetée 
de breloques
et cadeaux
de la vie bébelle
entre ses cuisses
pour cette remise
des partances
en la nuit abyssale
de toutes les morts
de voiles déchirées
de leurs aurores
injustes de coeur 
sans jouvence
des Gabrielle
à parfum
sans résurrection
des pestiférés
Mourir en FIN
ta fleur de printemps
ayant de mémoire
bien vue...la rose
l'épine...
mais crucifiant
au col l'épi émondé
en sa flamme
d'amour vrai
veines fendues
des cadavres anciens
qui exultent
en corps la marche
du tombe haut
à la faim dévorante
de chairs tremblantes
du désir pervers
de disparaître

FIN

Cercl'oeil
un pays d'amour
à chaque vague
des sels saupoudrés
de souvenirs
pour les longues nuits
à rêver de nos amours
Il n'y à que ça
allongé d'un petit dessin
à dessein d'éternité
ancestrale
Tantôt reprendre
ces petits morceaux
de sang sure
entre nos pattes
entrecroisées
d'orgies ces sales
petits secrets
qui font la vie dure
aux créations pures
des mains propres
écrivant en spermes
la plûme dans l'encrier
l'en faire
de l'éternel retour
du cerveau créé
pour ce servir
de lui le même
et ce jouer des tours
tentant la grande
diversion
pour éviter ce qu'il
ne peux éviter
lui le MÊME
UN des uns
Ceci est une pipe
prose proématique
tu voie flotter
les mots pierres
ou encor le pire
ce saut où les anges
s'écrasent
avant le devenir
éternel dans le dos
d'un conte
d'effroi à ne pas croire
parce que vrai
et permette
à l'imaginaire
de raconter
ces sornettes

C'est repartit
quoi?
Hors la sortie
à faire voir
passant
la tête toute faite
l'amener
LÀ ICI MÊME
par un petit dessin
à ce qui EST
Où d'Où verrous
qui que quoi LÀ
...et puis...
vais me coucher
et de mises errantes
obéir au corps fatigué
et là du repos
la mer avec Saïs
jusqu'à l'Oeuf
des mares...
Comme ceci
Du barbo composté
du mourir d'être...
vous savez...
transmuté loin
en de vagues
vapeurs d'eau salée
qu'accrochent
des vents formant
des nuages
d'infinis tristesses

FIN

C'est quand ciel
d'hiver
sous les tropiques
palpitantes du coeur
Walser la vaisselles
essuyées en quelques
microgrammes
petit dessin du frère
sur la neige des pas
un prince ferme
ses yeux du dehors
la horde aux grappins
Là vers une série
de petits tableautins
de mer à boire
genre pas maniéré
mais genragé
du toujours pareil
jamais pareil
rien ne se perd rien
RIEN
De là les ribambelles
de tout ces mots
qui cries ça suffit
et c'est bien assez
en cette masse
de fracas tracas
Ici des milliards
de soleils se sont
éteints...
Là...

FIN

Haïr par le mal
déjà fait
alors et bien
le contraire
un tout petit oiseau
plus haut
que gros cailloux
et l'air le grand air
à son gré
le temps libre d'aimer

Très tard
le temps n'est plus
éternellement
pas LÀ

Tout perdu
tout retrouvé
perdu retrouvé
que des trouvailles
Perfection
du monde
imperfection
perception
conception
trafiques
d'influences

La pomme
use l'Adam
tellement
crÈve en meurt
7 pommes
et une 8 ièmes
pour la Sainte-Victoire

Aux faits
des imbéciles
marchandes des pertes
de ressentiments
contre de la vrai vie
qui est ailleurs
bien entendue

Voilà la mer
des nuages
David Friedrich
un conte celui-là
en séquences
un rêve douloureux
pieux dans le coeur
accident d'autos
d'éclair...
Cancer cela plutôt
que ceci la Mort
L'inverse...La Mort
la même.

Des chéries
d'autres
grains de sables
au désert
de Solitude
oasis mirages
illusions...
Cela...qui Est
De l'autre côté-ici
à voir

Le réel et son trouble
la mer et perd
la maladie la mort
Aimer a ce point

Entre deux morts
2 planches
voir exactement
où tu EST

Impossible
cela EST
Suspendu
à l'abysse
séché
par le soleil
Fait Voir

Où et c'est quoi
ce petit moment
lucide...
pas brillant
en sa nuit morte
de ce savoir là
en bien ou en mal
...Petit dessin
Seul à seul
entre nous si seul

Ce bruit
qui va trouver
sa fin...
la Mort ayant encore
beaucoup d'avenir

Survivre
à cette Chose
Nature natures
comme à d'autres
des mises en formes
à l'oeuvre

Sur le guet
en bout de piste
couloir des moins
prometteur
...sur le pont de mémoire
ancestral...
sur socle et poussières
et RIEN

Enfin plusieurs
à la maison
il y à longtemps
qu'elle n'avait pas
été aussi habitée
que maintenant
qu'elle est seule

Hier ma chérie
en bas rouges
m'accompagna
jusqu'au fleuve
de la nous marchèrent
vers la mer
que des mers vieilles...
Il n'y à pas de bonnes
manières de tout quitter
Jamais la lâcheté
ne seras la bonne


Langevin *