Duende et rectangle blanc
sur rectangle noir
Capitatas
sans têtes
à jaunir
le temps
des chaînes
appuyé
du monstre
à majorité
délavée
aux premières
loges données
Secte la Secte !
Pour finalement
à télé aux facéties
des destructions
massives
en disparus
à un autre
en Un
pour une coupole
de piastres
qui rend la liberté
du dernier repas
de Gramsci
et la fin du dernier
absent...
Toujours
c'est la bataille
Allons en précis
de décomposition
à l'extase d'en faire
des angoisses
de squelettes
etc. etc.
Mais qu'est-ce que
l'acte de peindre
sculpter
sculpter
graver
dessiner
dessiner
de main tenir
aux parois
où tout tombe
devient gouffre
abysse néant
d'être ici égaré
hors et dans
l'entre-deux
mort de deux mondes
l'inutile chose
en cris...
de toiles de fonds
du désastre
de toiles de fonds
du désastre
de la guerre
en parts
d'atroces perceptions
d'atroces perceptions
aux concepts
des redondances
du fait de faire voir
l'impossible beauté
inutile mais tenace
objection aux jeux
des folies
de la Nature natures
emportant
de la Nature natures
emportant
l'oubli de la mort
l'imperceptible
disparition
des cavernes
comme démonstration
de l'éphémère
à inutile à contre mort
du désir d'obéir
aveuglément
à déconcrisser d'ici
en branle du cul
et de l'élévation
à retomber encor
plus bas que bas
par multiples
de Un mystère
en tout et pour finir
...
Mais qu'est-ce que tenir
et où et qu'est-ce que
toutes ces scories
contradictoires
monde et univers
aperçus vut...
De quoi s'agit-il
en ce moment
d'une si infâme
misère d'égarement
seul et socialement
nombreux en Un
si peu propice
à produire de la durée
poussant l'air chaud
du gouffre
où brûlent les sacrifiés
qui font s'élever
le hasard au-dessus
du bien et du mal
et être un imbécile
en parfaite harmonie
avec l'univers
pour dire juste et vrai
sur ce qu'on sait très bien
ou d'éternelle
Mais à quoi ont rimé
les yeux de Xenakis
musiquant en revenant
de Rigaud ?
Mort du sujet
passer en mode disparu
En fin éternel
sans le savoir
sans le savoir
sans l'état
du garnement
du ciel et de l'Enfer
d'un art tableau
ayant tablé
le jeu de faire voir
en dire le Rien
qui reste de penser
qu'il y a autre chose
qu'Un Un
par autant qu'il voudra
écrire mourir la mort
passant par pour
en fin...
De pillage
en Pille Lolita
l'intention
est simple
mais jamais claire
La vérité tu voies
ensuite les mots
terminent la job
plus de cadavres
de tombeau
de traces
mort parfaite
Élévation suspension
un Silence
'La littérature
ce langage,
qui ne dit rien
et ne se tait jamais' *
En fin enfin
sans fin et pour de bon
aux confins
de l'histoire
celle-ci en pure
dire pour dire
avouons quelques maux
et la mort du mot
en ce sens du moins
Reprendre depuis le début
zéro joue avec le langage
c'est tout Un
avec ses tortures
ses morts
ses cimes taire
...Un tableau plat
en plein dans sa nuit
table encor
sur quelque poétiques
toute coincées
le doigt dans la porte
du même de la disparition
de la lettre a et z
fixant le tombeau
évidé en sa pulsion
freudienne disparue
sans prochain épisode
dire blanc
spermatique dans l'air
du temps
fermant boutique
écrit vain en Dieu
sait quoi attendant là
toujours son Isaac
le même poursuivant
sa résurrection
en création
de créations
et vivre que cela
être un peu fou
qui se prend pour Dieu
sait quoi et ne le disant
qu'à la nuit transfigurée
'...un tel esprit
est sans pourquoi' **
de là au-delà du Un
n'est pas je
ni moi ni l'autre
mais Un
autant de fois
qu'on voudra
demeure Un
en mille tableaux
cent visages
comme prière
d'insérer en passant
vers Pas Là
pas d'ici Mais Là
plus encor
vers le Grand Silence
qui bruit un peu
d'appaisement
pour Henri
Foucault *
Eckhart **
d'un art tableau
ayant tablé
le jeu de faire voir
en dire le Rien
qui reste de penser
qu'il y a autre chose
qu'Un Un
par autant qu'il voudra
écrire mourir la mort
passant par pour
en fin...
De pillage
en Pille Lolita
l'intention
est simple
mais jamais claire
La vérité tu voies
ensuite les mots
terminent la job
plus de cadavres
de tombeau
de traces
mort parfaite
Élévation suspension
un Silence
'La littérature
ce langage,
qui ne dit rien
et ne se tait jamais' *
En fin enfin
sans fin et pour de bon
aux confins
de l'histoire
celle-ci en pure
dire pour dire
avouons quelques maux
et la mort du mot
en ce sens du moins
Reprendre depuis le début
zéro joue avec le langage
c'est tout Un
avec ses tortures
ses morts
ses cimes taire
...Un tableau plat
en plein dans sa nuit
table encor
sur quelque poétiques
toute coincées
le doigt dans la porte
du même de la disparition
de la lettre a et z
fixant le tombeau
évidé en sa pulsion
freudienne disparue
sans prochain épisode
dire blanc
spermatique dans l'air
du temps
fermant boutique
écrit vain en Dieu
sait quoi attendant là
toujours son Isaac
le même poursuivant
sa résurrection
en création
de créations
et vivre que cela
être un peu fou
qui se prend pour Dieu
sait quoi et ne le disant
qu'à la nuit transfigurée
'...un tel esprit
est sans pourquoi' **
de là au-delà du Un
n'est pas je
ni moi ni l'autre
mais Un
autant de fois
qu'on voudra
demeure Un
en mille tableaux
cent visages
comme prière
d'insérer en passant
vers Pas Là
pas d'ici Mais Là
plus encor
vers le Grand Silence
qui bruit un peu
d'appaisement
pour Henri
Foucault *
Eckhart **