Asiles
en créations
des peintres
aux temps
froids du Gellée
Turner ou Constable
d'accueil en écueil
de lumière
brassé des scories
et des boues
torchons de chaos
en havres absous
d'en fins de ceci
de cela...
Cathédrales
de barques
renversées
de voiles en toiles
sans bergers
de verts vagues
sans étoiles
en qu'est-ce que
cette maudite idée
de voir en tête
de Cocagne
ces flots du tout
du monde
rescapés
de fragiles luttes
avec l'insaisissable
horreur d'Achab
Clarté de néons
de la white star line
de morts subites
radeau de brumes
d'ombres beurrées
marchant sur l'eau
d'air et d'avant Jonas
piraté de caméléons
en nefs de fous
alliés aux Pharaons
pour la traversée
d'englouties
Tables
ovoïdes
et rases
pour Rien
et tant pis
les images
usées
d'ennuis
C'est sans
main tenant
métis
et perdu
d'os jaunes
sans moi
sans tu
ni vous
d'ayant vu
l'amour
en guerre
par un
par tous
en disparition
et fin
d'arriver
qui sait
sans savoir
les larmes
du silence
Et des songes
des mensonges
en dépôts monde
d'un vice
de présentation
milliard d'alignés
pour des ruines
de fosses aux rats
de tires lignes
de géométries
de calculs
au doigt et à l'oeil
aux impasses
de vire monde gps
à sauve qui peut
aux funérailles
des autres
en trompettes
m'as-tu-vus
en tambour
sans mémoire
pas d'oubli...
C'est pas Rien
c'est capital
Mal armé
de Rien
et des mots
de vents
derrière
le froid
départ
subjectif
voir être
le naître
des disparitions
Et des poètes
encor oh là là
Des fucks
de banquises
à la couche
des supplications
des semences
de biologistes
arrangés
avec le gars
des vues
Et pourtant
la montagne
en gravois
de dunes
pour des chats
mots de langue
de mise ère
en Silence
du pire