Et des barques
sur autant
d'appels
à passer
des tas de gens
sur des radeaux
sans sépulcres
épaves
de libertés
aux directives
à tous vents
Contradictions
paradoxes
justifications
adaptations
à la Disparition
des corps
monnayés
Poésie
de quoi
quelques qui...
se sauve
avec l'alloué
de lumière
Entre encré
de mots
des squelettres
du temps
jadis
sur la scène
de William
sous le soleil
de Bernanos
au château de K
et de Louis Ferdinand
bagatelles
Épuisement
d'énergies
fossiles
nids
sans oiseaux
et des projets
lunatiques
pour une dernière
chance
dans l'infini
détresse
du souffle court
Instinct destin
l'immensité
LÀ
mort ou vif
le sachant ou pas
L'Arche
la mère
et les eaux
usées
du Titanic
vers des terres
pour
l'UN
le dernier
d'enfin seul
ou deux trois
choisies
triés
sur et à partir
vers
Nulpart
UN
parfait
TOUT
prévu
téléguidé
par la base
et le sommet
des uns du
UN
pour lui le même
UN
ou encor
en corps
combien
de bien pensant
de têtes
toutes faites
au par coeur
sans coeur
des mouches
à la trappe
des vessies
pour des en thèmes
Un Jour
qui sait de main
ICI
MÊME
Sortie
du Paradis
pour l'en faire
des choses
pleines
de ruines
imaginées
des peintres
sculpteurs
musiciens
petits et grands
sur l'échelle
de la grande
débandade
de l'érection
imaginante
du corps
emporté
d'exultation
d'ayant eu lieu
de quoi au juste?
Ça meurt aussi
le génie
sans cortège
SEUL
aussi
Oh! doux verrous
main tenant
le Jour
monte et verdi
sur la portée
du vent
qu'emporte
un corps
dansant
Grain de sable
machine
enfin quoi...
Rendre visible
le Visible
ou encor
faucheur
d'étoiles
en portrait
du Voir
pour de vrai
sous les masques
lorsque le matin
enfin...
Devoir porter
la lumière
les spots
sur la scène
de la dernière
mise
sur le plus
Grand
que soi
sans y mettre
la bûche
au bûché
des pauvres gens
Tenir
ta main
celle de la révélation
d'Amour
sur l'Axe-D' Abraham
sur la suite
de ce qui reste
du champ
des signes
Instants
sur le fleuve
Héraclite
et des pauvres
baleines
des mères
sirènes
d'Ulysse
Ô mer
où flotte
l'agonie
de passage
cherchant
Ithaque
ou les Indes
encor
que devient
le maître
UN
des uns
suite à son retour
de
l'Odyssée
Où d'Où Vers Où?
Flottant
flottille
à la rose des vents
rose de personne
rose c'est la vie
Rose
Rilke
Rodin
erre
r
R
On n'y étaient
et puis
les vagues
sur la bouée
d'Amour
où
les jours
les nuits
s'arrêtent
SEUL
condamné
sur une mer
en furie
sifflante
La limite
atteinte
là où se glisse
partout
la MORT
Des tonnes de gens
sans cercueil
ni urne
que pensées
incertaines
s'accrochant
aux têtes
de garde
dans l'urgence
le cap
vers la lumière
promise
pour qui se sait
responsable
Prison
cents portes
et sans sorties
tous ceux
qui des morts
restés
las d'attendre
QUOI?
De la lumière
quelque
chose
ATTEND
et prend l'envol
d'en
FIN
des rires
exaucés
Qu'est-ce que
tu crois
les oiseaux
de Saint-François
s'assemblent
et signent
l'espace
épiphanique
du jouir
en pleine nuit
du jour
qu'il fait
d'ÊTRE
de dire
aux oreilles
cassées
des bruissances
la folle
envie
de vivre
entre les nids
de Vincent
et la vigie
d'Abraham
ce plus
de lumière
encor
entrouvre
ce qui
se présente
main tenant
L'Oasis
infortuné
d'inutile
présence
Des froides
années
aux chaudes
amours
graciés
de l'autre bord
perdus
d'intransigeantes
beautés
de fleurs bleus
cachées
sous les décombres
d'ignorances
aux plaintes
infantes
Et bien
de ce côté
le soloeil
éclatant
de la
nuit noire
profonde
des enfants
aux cheveux
gris
blanchies
des nuages
apaisés
d'orages
apprivoisés
avant le long
sommeil
du bonheur
Outre
à larmes
chuintant
la chouette
en la noirceur
profonde
novalienne
douce
apaisée
de la bonne
tempête
des verts laines
chaudes
des prés
nouveaux
âme(s)
seul à seuls
juste
et pour nous
sans eux
la horde
des fossoyeurs
de l'Amour
TOUT
donne à rire!
Dedans
les pâquerettes
vite dehors
s'en éloigner
et de là
aussi
n'y point rester
Que de la laideur
en boîte
et des prétentions
pétants
bretelles
d'au bout
la respiration
sifflante
compostant
des râles
et des étoiles
sans fins
au confins
perdus
signant le temps
de cendres
et poussières
Et cela consumé
écrire
ici
JUSTE ICI
aux froides nuits
de l'automne
des souvenances
la mère
la main
à la mer
RIEN
apostat
et du temps rêvé
à se dire
que tout s'en va
et
qu'os chair esprit
ensemble
capté
pour un dessin
une proématique
de Seul à seul
entre-nous
(ses seuls)
se dessiner
se dire
et
LÀ
Se faire la part
tranquille
du rêvé
Après exaucé
entre-nous
les choisies
pour transcender
la réconciliation
sachant
SEUL
qu'une histoire
changée
en conte
jouant un tour
aux voies
d'atrocités
d'enfers
L'embrassade
des amours
choisies
chemin faisant
ses rondes de nuits
à redire
OÙ?
Main tenant
d'abandon
au sol gisant
des morts
pour le
Verbe
Et sur la route
les élues
tremblantes
jusqu'à la moelle
poils cheveux
crins...
l'architecture
d'emmurement
en larmes
de trahisons
de meurtres
aussi
Abattoirs
sans noms
sans lumières
affres
dans l'assiette
des jours
TOUS
pour la
MORT
dans la mer
des yeux
à l'oreille du vent
des pleurs
à l'odeur
de l'aile
disparue
et
TOUT
AUTOUR
Tenace
le rêve
rêvé
QUI VIENT
LÀ
EXACTEMENT
enfin.
Misères
des chéries
et coeurs moisies
des pleures
noyant
et des mémoires
passées
Vivantes
au livre des heures
sans début
sans fin
chez-nous
toujours
RIEN
L'assassin
assassiné
de respirer
Après vous
laisser devenir
le venir
au
LIEU
de tous
les mystères
Chaque
geste
par un petit
dessin
à dessein
d'Axe-D 'Abraham
coupable
des cris d'abattoir
en somme
par l'oiseau
massacré
des violents
d'arrachent
langues
de fourres en poches
sur bien après
l'Esprit
du
SANS
Fête à la nuit
en plein
Jour
Des oiseaux
pleins
les misères
d'Amours
Les mêmes
en sort celé
des langues
accrochées
au ciel
de tous
les désirs
exaucés
d'en Fin