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20 août 2023

D'Ailleurs



Après
TOUT
au
Fond
du très fond
pas très-bas
TOUT
en
bas
lourd des cailloux
Commençons
comme ça
et puis la suite
sans trop savoir
sachant que même
en résumant
ce qu'ils
appellent
la vie
Ceci cela
et des drôles de choses
croyant bien
qu'il en allait
ainsi
mais en fait non
ou bon... .
Oui
un style 
en pour qui sait
sans mesure
 à l'anglaise
pas de ... .
en vain
le rabâchage
du début de quoi
d'obéissance
spinoziste
à dieu
sait quoi
Quelque chose
s'élève
en
 TRI
en maître
TOUTe
puissance
au-delà
de l'Apocalypse
télévisuelle
Des têtes se disputent
la
DISPARITION
et 
UN
ART
exaucé
ICI
D'AILLEURS
voltige
SEUL
coeur
imaginant
tenant
LIEU
oasis
et des amours
infinis
ÎLE
antre-nous
qui sait


Barque 
d'ICI
MÊME
d'AILLEURS
au noir
de toutes les couleurs
céleste
et des parfums
de brûmes
oiseaux
juste 
à nous
tantôt la
MORT
et pas pour elle
tenace
et par tempéraments
de lumière
aidante
PAS d'ICI
pas piéger
léger de poudre
d'escampette
et vers
NULPART
allons



ART
et pas autre chose
inponctuation
en forme
de faire
 voir
la Joie
de créer
TOUT
autour
la lumière
au feu
sacré
d'intuitions
perceptuelles
de la mise
en dessin
d'AILLEURS
ICI MÊME
par l'esprit
posthume
postulant
son échos
passé
de futur antérieur


16 févr. 2023


Fixé des signes
et puis bien fait
du
 ET
unissant
le
SILENCE
du
DIRE
l'encor
d'Antre Nous
à dessein
savant
d'avant
TOUT
c'était
le vent 
des hurlants
des cris aussi
Saïs
OUI
nouvelle
par leurre
qui vient

juste
et


Temps
de passage
au voyant
de lumière
jouant
du
RIEN
où 
porte
l'admirer
chez-nous
semblable
à la traversée
de la
Joie
que 
d'Être
pas 2
trois
vers
 4
chemins
des seuls
avenues
où tant 
de cendres
ont passées
La résurrection
de pas passer
à l'acte
en final


Le 
SILENCE
de 
TOUT
les
maux
des cris
des poules
boeufs
des êtres
ayant compris
LE
SILENCE
des dires
sous la lame
assassine
spinoziste
 triage
pour la fin
des décapités
de 
l'ART
en somme
et pour quelques sous
en lubies
pour
Charron


Chant
de 
traverse
et de l'autre bord
ICI
MÊME
tenant
sachant 
l'ATTENTE
céleste
et bleu
les feux
du centre
et d'au-delà
de prétentaine
le soleil
éteint
de
Malevitch
au 
s'Oeil
de l'équation
du cercle
infernal



De signes signe
au compositions
fautives
en 
Seul
si d'eau
des mers
salées
des sots mûres
de fonds
percés
d'illusions
menés
appâtés
pour la baleine
des boniments
du lot
au marché
raisonnable
de la fin
de l'histoire
de lui le même
UN



Barque
vers 
 Pourparler
en
SILENCE
tenant
des froids
brûlant
les mers
gelées
où des rives
pavanent
pour
Personne
mais


 

7 oct. 2022

Pas Là





TENIR
et contre
TOUT
la
MORT
de ce qui se devait
eu lieu
de 
PAS
ayant...
par tant de mensonges
rusés
vécus
malgré tout...
la vivance
 ayant été
tellement
plus!



Crayon sur Papier
(2020)

Posthume
tout autour
de la diversions
(lettre volée)
Poe
Élévation
au-dessus
du gouffre
par les chauds courants
du four
et de l'abattoir
toujours
si éloigné
de la véritable
détresse
du silence
en maux
dit
De travers
enfin comme se peut
l'anecdote
en face
de l'appeler
à l'instant
 métamorphose
pour sa fin
au dernier
moment
perdu d'avance
en la gueule
de la grande dévoreuse
'' Nous rêvons
de voyages
à travers 
l'Univers
mais l'Univers
n'est-il pas
en nous ? '' *
Et le
SILENCE
de la vrai vie
exaucée
de l'Amour
à sa pleine grandeur
la Beauté
épiphanique
toujours
Hors alors
les facéties
prétentieuses
d'en Somme
et du
UN
des uns
et pour 
TOUT
dire
c'
EST
TOUT
alors et bien
de la lumière
Il ne s'agit pas
de faire un dessin
de la vie
mais de la rendre
vivante 
enfin
quoi?



L'Aile
 d'Utérus (2009)
Plâtre de Paris

Quoi que et puis
TOUT
passe
le roi enfant
épuisé
s'endort
dormiras
sur le bateau
d'os et poussières
d'errances
en
RIEN
d'autre
que la suite éternelle
univers
à sa fin
lui aussi
sans l'autre
le signifiant
en qu'importe en apporte
l'instant
d'éternité
qui sauras
après la fin
l'atrocité
des amours
abandonnés
pour
RIEN
TOUT
qui sait
malgré
TOUT
encor... .


 Noui 
et Saïs
et les nommés
échappant
a la tirelire 
et au  sablier
comptant
le temps
du mourir
repus
paradoxalement...
au tombeau
décomposé
de ristournes
noircies
des derniers
baisers
d'hypocrisies
Bref
Poursuivre
ce monologue
afin
qu'il produise
ce qui vient...
et porte ces mots
en quelque part...
pour
RIEN
En conte
d'il était
l'onirisme
 l'embellie
d'un déroulement
heureux
par la glaciale
réalité
des faits
comme dit le diable
au bon dieu
à la fin de 
TOUT
'' Rien ne sert 
d'être vivant
s'il faut 
qu'on travaille '' **
Et le travail guérie
de tout...
et en vain
 vain-art
en pour qui sait
...


Plâtre de Paris
( 2017)
La Vague à L'Œuf
Île
dedans
dehors
désenvoûtant
le...
quoi...
Quelque chose
mais quoi?
'' Je parle autrement
qu'il n'y parait '' ***
et perdu
retrouvé
dire et tuer
le temps
enfin point.
Points
oings
ou où
ICI
pas
à dessin
de... .

Novalis *
Breton **
Nerval ***

12 sept. 2021

De L'Autre Côté

 


Prison
cents portes
et sans sorties
tous ceux
qui des morts
restés 
las d'attendre
QUOI?
De la lumière
quelque
chose
ATTEND
et prend l'envol
d'en 
FIN
des rires
exaucés
Qu'est-ce que
tu crois
les oiseaux
de Saint-François
s'assemblent
et signent
l'espace
épiphanique
du jouir
en pleine nuit
du jour
qu'il fait
d'ÊTRE
de dire
aux oreilles
cassées
des bruissances
la folle 
envie
de vivre
entre les nids
de Vincent
et la vigie
d'Abraham
ce plus
 de lumière
encor
entrouvre 
ce qui 
se présente
main tenant
L'Oasis
infortuné
d'inutile
présence



Des froides
années
aux chaudes
amours
graciés 
de l'autre bord
perdus 
d'intransigeantes
beautés 
de fleurs bleus
cachées 
sous les décombres
d'ignorances
aux plaintes
infantes
Et bien
de ce côté
le soloeil
éclatant
de la
 nuit noire
profonde
des enfants
aux cheveux 
gris
 blanchies
des nuages
apaisés
d'orages
apprivoisés
avant le long
sommeil
du bonheur




Outre
à larmes
chuintant
la chouette
en la noirceur
profonde
 novalienne
douce
apaisée
de la bonne
tempête
des verts laines
chaudes
des prés 
nouveaux
âme(s)
seul à seuls
juste
et pour nous
sans eux
la horde
des fossoyeurs
de l'Amour






11 oct. 2017

D'Ailleurs


Menant Mené
Par La Main
Maintenant De mains
Sans Lendemain
de Cosquer
tripotant
quelques traces
de l'oeil
aux doigts
dévorant
l'érection
par diversion
de petits dessins
inventant
le monde
comme Bach inventa
Dieu
et son cortège
la divine comédie
humaine
à l'air des moulins à vent
et Omer
et les notre pères à tous
et des sorciers
magnifiques
au fond des tombes
gisantes
férues
de personnages
imaginés
d'amour et d'eau
fraîchement
cueillie
dans les hauts
des savants
bombant
ivres extatiques
d'atomes crochus
de prix pétards
pour fin
de sévices
rendus
au quotidien absolu
insaisissable nuée
évaporée
dissolue
"...entre une poubelle
et métonymie..."*
Mais Mort?
Quoi?
Alzheimer
bouillie pourrie
damier
pour caméléon
d'étoiles éteintes
bâillantes d'arrimages
du Dieu
athée du ciel et de l'enfer
Ici avec ses mots
ailleurs avec ce qu'on voudra
à contre nuages larmés
d'ivresse sans faim
volage emportant
l'inutile enfance
vers ses vérités
imaginées
en contes
soufflés des doigts
Hors l'histoire
de la nuit des booms
glacés ben dur
du down jaune
là où Boileau
Jouhandeau
à la langue
un peu partout
sans prière d'inséré
dans les deux mains
du maître mot
roué enroué
ruant du tombeau
perdu de silence
retraité du cerveau
détaché de la paroi
sa main continue
faisant des signes
pour d'autres
s'envolant
de la cage
au sortir
du Camp
de la MORT



Léautaud *


30 déc. 2016

Là Pas Là


'...Personne là
Tous ici'*


D'abord ceci
Ici mains froides
monétaires 
enfouient 
sous les dalles
du capital
clic haut hisse
la débandade
cap tourmente
tout se justifie
main de ruse
à pouvoir
pour tous
de Bosch
à Friedrich
de lui à l'autre
d'eux...
Le bonheur
d'être ICI
au givre
de cinq ailes
sa plûmois 
Semer serré
Amérique
Chine 
suffocation
des esprits
pareils aux douchés
des gaz
à la roulette
Russe
Noir non
blanc laiteux
entre guerres
la fin et le silence
sur le sel
de toutes les terreurs
Seul les mêmes uns
eux ressuscités
d'entre les vivants
Tyrans le diable
par le UN
pas LUI
le Leurre
le polie gentil
pas LÀ
à la contemplation
éternelle du plus grand
que TOUT
transcendant
le fruit des entrailles
encorné par le peu
de réalité de la sottise
de la bête affamée
en fusion bridée
par le politique
ennuyeux et nucléarisé
pour une fin des faims
idéologiques
d'Apocalypse
Les pas là les Là
et ceux-LÀ
tous concernés
par le feu de leur enfer
démoncratique
ICI l'extase appelle
l'intensité de la passion
des résurrections
sans nom sans peur
les seules
portant la vraie vie
hors de son oxymore
survolant les dictatures
et les bonnes intentions
des ponts à péage
pour sortir du cri
des brûlots
dantesques de la maison
d'édiction des savants
collabos payant
pour un nom trop tard
passé estompé coupable
plus d'ICI
Peindre sculpter
tendre tenir
encor agrippé
le vide
plein de signes
pour Rien
absolus cristaux de neiges
accumulations
souvenirs
exténués
morts-nés
poésie
dans l'R
de l'L
Sans trick
magie
qu'insipide
création
résiduelle
sans aura
qu'auréole
OEUVRE
de passage
en ruine
Trace en chiures
de moustique
même pas
Absence
par disparition
récit proche
SILENCE
chismique
chaos bruyant
cris d'oiseau
des bêtes
forêts qui crissent
hommes
d'agonies
céleste
Penser
si ce faire
se peut
Main
sans figure
jaune
dévorant
l'astre tête
percept
cri d'errance
ischémie
des opinions
réminiscences
débâtit du rêve
aux mots
de noir perdus
litanies
Histoire
pas drôle de rire
kaki des booms
évanouies
sanguinaires
Mer amère
sans ordres
terrifiantes
de tantôt
Espace
d'impossibles
amours
triste en vérité
abandonné
d'inaccessibles
géométries
Dissipation
du conte de vie
effacement
vertigineux
de quelque chose
De ce côté
ou de l'autre
même bateau
des morts
LUI l'UN les autres
les mêmes
éternels
PAS LÀ
naïvement
ICI LÀ
Qu'est-ce qu'ils croient?
RIRE a partir
de RIEN

Oiseau
fret glacé
de feu
passé
Phoenix
sous vide
sol-air
des cendres
vole tige
assistée
des noms
fleuris
du sang
au Camp
d'offrande
en eau
d'os cassées
perdues
du temps
pour RIEN
à répétition
mise en attente
pistils à dessins
sculptures
gravant
de chaudes
memories
de vents
brises
brouillards
brumes et rosée
de chances
en dévastation
cadrée des cages
d'argent
d'ennuyeux
pouvoir
d'emprise monde
mirage en fin
l'UN tyran
de bloc froid
jadis la même
rebelotte
maître du monde
en masse
suffoquée
sans mystère
plombée
d'atomes épars
effet mère
et veines
séchées
du fard
de Rose
des vents
Une ligne
en rondo
mondo
au fond
du mensonge
des mots
que temps passé
à forniquer
dlà la Nature
nature des morts
en pertes rouges
blanches jaunes
noirs brunes
bleus vertes
roses des pertes
des failles
de lumière
de faillite
Tant de dévorations
avant pendant après
demeure lettre morte
est cru qui croyait
croyant en le LUI
L'UN celui LÀ
qui va bricoler
le plus grand maux
des mots
niaiseries fixés
sur l'infini
où tout se passe
de TOUT
LÀ où se joue
la grande fugacité
des luttes
entre LUI
le UN et
le MÊME
TOUS UN
ICI-là
Pas LÀ
dans le neutre
indifférent
des espaces
infinis pascaliens
OÙ?


Creeley *

6 avr. 2016

De Loin En Si Près Là


Là Ici Le Même
désert d'abandon
d'ailes en retour
d'infernal
revenant à la maison
le même ici même
un à un


Sans nom
ni durée
désert en signes
et des restes
...mon général le tien
...Au Roi mon général
Sans ou avec Dieu
à sa défense
athée...
Et où est Dieu ?
Où est le bon ?
Et qui est le grand Tout ?
Est-il ?
N'est-il pas ?
De qui
des guerres pour
en sacrifice
chiffrés
vers où tous ces goulags
écomomiques ?

Illusions
en paquets d'émotions
de fines bulles
éponges actives modernes
dit le poète
craquant la fin
en abandon
blanc transparent
entre vie et mort
l'éternité retrouvé
pas là ici éphémère
et des mots
envoûtés
en cochonneries
de conscience
d'écroulement
dévoré vivant
par le souffle
oesophagique
aux acides
brûlants
jusqu'à l'extase
et c'est terminé
La poésie
oeil du coeur
sans histoire
s'arrête ici
juste avant le retour
du Retour
du Tout éternel
et bien en dehors
du dehors
de tous les bords
Noir tout
est indifféremment
INFERNAL
tout a été dit
à l'Un du Un des Uns
dans la prison
du Un à un...
Avec la neige
sur San Francisco
des tombes
vietnamiennes
et du Paris
en fleurs
et les cimetières
des miens
des vôtres
des siècles
des siècles...
L'Aile !!!
De si près
aux suites
à massacres
et les autres
du dedans
du Un
des autres
des mots vides
de ce sens
néant tenant
de quelque chose
fini fin fine
imagine un rock
Magritte
dansant avec la reine
d'Angleterre
en une corrida
diabolique
pour Personne
ni cul ni tête
évaporation
du ciel de la terre
en Un éternel

Poésie pour le roi
Lear mieux des Lears
sur une parlotte
crevant face au Dieu
mort casse-pipe
pour offrande
génocidaire
à la venue
forcé d'attractions
de Brutus
à Fernandel
Staline et Frère André
de l'Amérique
à Saint-Dilon
à l'extermination
du verbe être
offrant la tabula
ras bol de l'art
à définir avant
et après
concrétiser
son inutilité
L'ennui est que
cela soit ou pas
cela est ou pas
Voir ou ne pas voir
voir écouter dire
Art de piéger
aimer nourrir
à casser le coeur
de Dieu
c'est n'importe quoi
c'est Tout
C'est aussi
ni Dieu ni maître
mais lui...
Là et pas là
et un livre
et des livres
et délivrer
la bibliothèque
par un mot...Dieu
et du dire sur le tableau
et des hommes
en Un homme
en millions de ventriloques
de tous dieux
créés et mécréants
lui le là
Enfin tu voies
quoi ?
Le dernier mot
pour en finir
de lire
l'autre lui là
le même le seul
malgré lui le là
seul à seul
entre tous
juste pour nous
tout ce que l'on veut
par lui là
en tout et rien
juste pour lui
tout...et même
là Rien du Tout

En venir venue
en statue
ta vue baisse
accroche
un nuage
à ton visage
s'envolent
les papillons
de Bonnard
de l'arbre à pommes
au jardin des délices
et Alice s'émerveille
voilà repartie la
machine à rond rond
Comment ne pas dire
et c'est beaucoup
trop encor
et trop tard
Combien ?
Pouvoir de vie
et de mort
ou en qualité
quantité
monétarisée
et où par vers
où chiottes mangeoires
et au bout du Dieu
à défendre
ou à pourfendre...
Et si il n'était pas ?
Ou s'il y était
là ou pas
qu'est-ce que cela
changerait  ???
Du doute...
Illusion...
et perfection
si près et si loin
...si LÀ