Des rôles
et puis...
des coquelicots
et des gens
des tonnes
Monde
Des poètes
peintres
sculpteurs
et des musiques
de maux
d'offrandes
et des
RIENS
TOUT
au bout
du chemin
du SEUL
chemin
Des abricots
des asticots
et puis mon coeur
qui ne bat
que pour
TOUtS...
La littérature
et le droit
à la Vie
des suite en dos
sur la portée
du vent
aux bons
des voilures
sur la mer
méditée
fanée
et des morts
en saumures
poissons
infinis
prisonniers
tombeau
poudres d'os
des fins
d'espèces
par nous
par eux
Des carapaces
et des rapaces
cachés en masses
sous zéros
le fruit
illuminé
des entrailles
entaillés
des forêts
d'étoiles
Tenir
il en va
de la Beauté
du JOUR
en plein
coeur
du TEMPS
mauvais
pire ou mieux
Tantôt
trop ou tard
suivre le corbillard
mouvant
des métamorphoses
Terre
mars
avril
mai...
et des applaudies
d'une main
en sommes
d'impasse
rond saint
en croix
St-André
empêchant
le ciel
de s'écrapoutir
sur l'en faire
des affaires
affairant
les affres
de la folie
des rats du sol
protocoles
et suite en dos
du cirque
encor enclos
parqués
en négatifs
rythmant la fin
du souffle
proématique
du pas aime
mais une part
certaine
de larmes
sur la mer
des déluges
d'encor
et en corps
en reste de la
MORT
'' Nul n'à jamais
peint...'' *
ou bien
Ta place Saïs
si tu savais
tu sais...
errante en somme
de TOUT
et pas fragile
PAS
de lieu
hors la Nature
et des natures
Le tigre va où il veut
et de l'art
d'enfer
la liberté
'' L'homme s'effacera,
comme à la limite
de la mer un visage
de sable. '' **
et des milliers
de cheveux sauvages
pas tondus
pas pas
et d'autres encor
milliards
de Vincent
milles
d'enfin
VOIR
deux fois
le même visible
devenue
Visible
inventant sa vie
avec d'autres
ICI
MÊME
L'an nuit
soleil
tombé
de pas savoir
d'errance
résistant
à passer
des enfants
rescapés
détruits
des pas vus
( l'ignorance tue)
de Cro-Magnon
à
La clarté
d'abats
jours
du karma
sus le tas
d'amens
et d'abandon
sur la plage
où
agonise la mémoire
De mots à maux
en corps
arrive l'éternité
de la
MORT
celle
d'Hegel
et aux inventions
ventriloquantes
ou à chacun
l'inattendu
du hasard
du coup final
à la question
de l'Art
et de la vérité
tenant la réponse
bien protégé
d'y Voir
près des chiens
chats
d'animaux
sorties du sort
de l'invisible
guidant
au sang des chairs
ravagés
la splendeur
de la
LUMIÈRE
alloué
Rescapé
du Camp
des misères
et pour
RIEN
donnant
main tenant
sachant bien
la créature
obéissant
à l'impermanence
d'Héraclite
poussières
sur socles
poétiques
d'hommes
aux mains
de regards
devenus
un peux plus
qu'objets
de faïences
et pollens
univers
survivants
de pacotilles
et de pas perdus
et d'enfins
Quoi?
Torse
(Bronze 2008-9) ***
...des matières
dansantes
sur la nuit
des temps
et des choses
s'arrêtant
un moment
de Sisyphe
et vital
pour un Amour
nommé
et puis faire dire
passant entre-eux
les sans peuple
qui sait
sans savoir
Allons....
Artaud *
Foucault **
Lavoie ***
Des sons
Messiaen
ou du Mont-Chauve
entre Abraham
encor
les rugissants
En voguant
au grés
d'intervalles
tranquilles
sur le bord
de l'île
de l'eau
des têtes
étêtées
couronnées
de girouettes
du temps propice
LÀ
souvenances
Ce qui donne
à vivre
pour peu encore
on y étaient
ficelés
et autrement
cimetière
côte des neiges
oiseaux
renards
L'Aile
portée
par le vent
camarades
Délester
l'ouragan
lieu
devenu
en reste
sur la ligne
de tous les départs
l'indécidable
avenue
d'usure
Lui ou l'autre
et de
SEUL
et plusieurs seuls
en tous
dans l'Arche
du vacarme
des condamnés
Géricault
sans mot dire
tu passe
tu sait ils savent
l'orgueil
des finfinauds
huluberlus
au jardin
des Délices
Ainsi
exactement
pareils
égaux
en sommes
morts
au Tri
De bonnes
nouvelles...
Patience
conscience
tergiversant
avec les joies
de sapiences
Passé
Cap au Pire
après les rugissants
et l'espace
dantesque
où tout
dépérie
et s'envole
l'illusion
sceptique
des amours
d'avenirs
nouveaux
C'est sans référant
remplie
de silence
et d'effrois
qu'heureux
Homère
pris Ulysse
dans ses bras
en feu
de lumière
sur l'île
des fins
dernières
que Sancho
remis en selle
l'homme de la Manche
Walser
Varlin
vers le Balzac
de
Rodin
voir et
Voir
en corps
et encor
la Nature
natures
et à jamais
Pas de quatrain
alexandrins...
bois l'eau
des mots
et dire
comment
le bout des sons
sans passer
par des balbutiements
et du vent
Enfin
persister
à murmurer
A ou À
et b ou B
des aàaaaààààs
Encor
Les mots
tombant
tomber
en tombe
haut
ou bas
grognement
des Ô
oh...
Et mot si on
si tant va la cruche
Tant bourre
bas tant
que la possible
voyage
au trou de l'ennuis
des touches
vers un château
et des morts
crédités
du ciel
de la terre
Meudon
et des suites
toutes en grilles
et puis sot
Watt eau
tout
de cap au pire
et des baleines
Jonas
qu'en pense-tu
de Moby
la patte ficelée
au radeau
des mésuses
du temps
à déposer
la Nature
Quel chose
inatteignable
que cela
EST
Dedans dehors
dort
mon petite
avec ou pas euh...
enfant
Le roi gueux
tout nu
et dans la rue
page blanche
et la disparition
d'alzheimer
par arrêt
du rêve
d'être
sujet verbe
complément
d'une histoire
en suite et poursuite
de quelque chose
plutôt virus
que variant
le monde
pas de Garp
mais des spermes
apeurés
dégoutant
des égouts
du cancer de la terre
pour tout dire
des maux
de la faim
5 leurres
Paris s'éveille
alors que par ailleurs
pas grand monde
à la place de l'étoile
du berger
embouteillage
encyclopédique
toto platanes
et baobabs
Tentative
échouant suicidaire
de l'homme trop
fatigué pour...
Giacometti
lever le bras
lourd de lourdeur
écrapoutillé
de rouler
Sisyphe
qu'en roulant
sa boule
en filant
le hasard
des citées
avec Valéry
Paul
et tous les autres
en sommes
et les dix vies
dansent
pour enfer
un pas
avec le temps va
la mère
t'attend
Parade
sa t'irait
l'attirail
des couleurs
pour qui voit
les jeux
de lumières
dans l'entraille
du
Dieu
fait univers
SEUL
et indifférent
des faits
d'hiver
et des saisons
silencieusement
il recrache
sa création
jusqu'à
Rome
là où De Sica
entre
Sophia Loren
et
Antoine
près du fleuve
embrasse
la Vita Romana
en câlant une pizza
à l'américaine
dans le cirque
arène des crétins
À tu l'heure
oui qu'elle est leurre
d'Ulysse
attaché
au mat des oliviers
sur la mère
de la dispersion
du TOUT