Des sons
Messiaen
ou du Mont-Chauve
entre Abraham
encor
les rugissants
En voguant
au grés
d'intervalles
tranquilles
sur le bord
de l'île
de l'eau
des têtes
étêtées
couronnées
de girouettes
du temps propice
LÀ
souvenances
Ce qui donne
à vivre
pour peu encore
on y étaient
ficelés
et autrement
cimetière
côte des neiges
oiseaux
renards
L'Aile
portée
par le vent
camarades
Délester
l'ouragan
lieu
devenu
en reste
sur la ligne
de tous les départs
l'indécidable
avenue
d'usure
Lui ou l'autre
et de
SEUL
et plusieurs seuls
en tous
dans l'Arche
du vacarme
des condamnés
Géricault
sans mot dire
tu passe
tu sait ils savent
l'orgueil
des finfinauds
huluberlus
au jardin
des Délices
Ainsi
exactement
pareils
égaux
en sommes
morts
au Tri
De bonnes
nouvelles...
Patience
conscience
tergiversant
avec les joies
de sapiences
Passé
Cap au Pire
après les rugissants
et l'espace
dantesque
où tout
dépérie
et s'envole
l'illusion
sceptique
des amours
d'avenirs
nouveaux
C'est sans référant
remplie
de silence
et d'effrois
qu'heureux
Homère
pris Ulysse
dans ses bras
en feu
de lumière
sur l'île
des fins
dernières
que Sancho
remis en selle
l'homme de la Manche
Walser
Varlin
vers le Balzac
de
Rodin
voir et
Voir
en corps
et encor
la Nature
natures
et à jamais