Traits

Fugue

Céleste

De ce côté

ou de l'autre

en fait 

de tout bord

tous côtés

RIRE

Lettres volées

en pot virtuel

d'us et coutumes

au dos 

des couteaux

à troupeau 

...Voici 

le tri sourd

apocalyptique

l'attente 

en final 

dantesque

Dehors tu vois
le poumon
meurt s'agrippe
Regarde
allez essaie toi
marche
danse
vole envole toi
Blocs de bois
d'oreilles
bien placées
à sa place
et l'écoutille
l’œil de bœuf
rosace aujourd’hui
en rose des vents
Là exactement
toujours
sans pourquoi
nothing to do
Tranquille
dépérissant
sénile
de naissance
désirant
de LÀ
tu vas...
reviens de LÀ
retourne LÀ
de de de...
part et d'autre
jeu esprit
en corps encor
...
Métamorphosante
embellie d'en faire
du voir...

Lignes 

d'attrapes 

Haut Ô
MMMM
carnivore
aux herbes
de Provence
de sans sûr
certain
tu écarquilles
les cuisses
de Jean
restant
des wawarons
aux cris d'air
glaciale
des virus
virant capot
inscrits
à l'abattoir
du temps
d'amour
à jamais plus
et toi aussi
LÀ ICI MÊME
TU SAIS
Attrape
ligne t’attrape
TOUT

Toque
D'Émotions

Allons 

partons 

sans bruit

s'éteint

s'allume

la mort

de blanc

frappé

de plein front

étouffant

des nourritures

inassimilables

et en fin

l'assiette emplie

se casse

temps passe
l'illusion
d'avoir été
quoi que quoi
cul cocufié
du bon dieu
sein t'es pris
d'ainsi trillé
séparé
à gauche
à droite
gauche droite
droite gauche
muse à musée
de la Joconde
à Després
Brueghel
à Lamarche
Goya
Lestié
Ingres
etc tce cet
Enfin des fins
l'idée au logis
en noir croche
grotesque
des grottes
guidées par les étoiles
ami lui le même
UN des uns
garnements
dictant dictée
du se doit
mais cela aurait pu
être et ceci fut
plutôt que ça
et qui sera
finira par être
régnant bonheur
pour ce qui
pénètre tout
l'Invisible

Guillotine 

À 

Dessein

Avec pour servir
la folie du jour
des corps morts
pourtant le cormoran
vole conduit
in serviam
aux choses
en joie devant
ce qui vient LÀ
EST LÀ
l'heure de la finale
fléchée d'ignorance
Nullement
rationnelles
ces choses vraies
du sang des larmes
tu crèves...d’abîme
C'EST le MOMENT
de toujours
à perpétuité
en coups comptables
Hors PAS LÀ
du chantage
par peur de quoi
koku que quoi
que ce soit...OÙ VERS OÙ
qui? Pourquoi
tout est sans pourquoi?
Pour quoi que...
L'effroi n'a pas bougé
ATTEND...
BOUGE...
c'est le leurre
pas...si cela vient
Bien voilà
l'autobus
un métro
encor des chairs
racrapotées
de Camille
en souliers
de Satan
feuilles de vignes
Donatello
ceci pareil
pour l'horrible
oubli de belle
l'avenir
au hasard
du chemin
Don Quichotte
...Verrous
l'amouir
où maintenant?
Irréalisable
oeil à lumière
tenant les fleurs
encor corps
d'oiseaux dégringolant
les buildings
d'air froid
Sans force
au vol assassiné
d'argents
ouvert de monde
à piller...
Bref

Qui

Se Voit

De fleurs
moyenâgeuses
parfumant
le diable
à quatre voix la date
mémorise
en suite depuis
cela s'éteint
la conscience
s'apocalypse
devient cri
de Munch
Deuil en oeil
soloeil...
Nerval...
Temps d'un songe
et cauchemars
d'amouir
Quoi?
C'EST QUOI?
VRAIMENT?
LÀ cela vient
...Un microbe
virus...
des poussières
et l'oubli...
Comme tu vois
...La fatigue
la mort...
MORT quoi?
Freud Hegel
Bataille...
Tant de temps
en sablier
de cimetières
précipitant
le squelette
à la nuit
insensée
La mort cachée
appelle plus fort
les survivants
exténués
Guerre vous dites?

Point
du Cœur

Ça Y ESt
ce LÀ
Se PrEND
poinT
vers ta joue
chérie
OUI
ça élève
et delà
si bas que soit
devenu
le Cœur
pas toi
non TOI!
Toutes les larmes
de la Mer Veille
entre dévoration
et adoration
en un tour
d'amouir
aux vols
captés
du noir
tremblant
d'Attente

Attente

MaquisArt
en sa langue

Tenant
contre
venant
au diable
dieu
seul
en Tri
des hommes
D'ici
lignes
repliées
de tranchées
À seule fin
des mots
contre
silence
des voleurs
d'âmes
Ici tenir
proématique
du jour en pleine
nuit
Pas pour tous
question
de triage
Et l'Art
d'attendre
l'élection
de la beauté
La violence
des batailles
du ciel
et de l'enfer
l'écart
à main tenir
l'Attente
après maux
et abysses
LÀ fatigué
le roi gueux
dissout
en son odyssée
pris de sa lumière
s'endort tranquille
chemin semé
d'Effrois
à l'horizon
de guerre
pour verticale
montée
vers la couleur
des trêves
pour une ligne
de sortie de case
et d'images

Cercloeil

pour Poussin

' Je n'ignore pas 

que la guerre

est le domaine

du danger

et de la déception'*

Des joies
et de l'effroi
d'y mettre
la naïveté
des blancs
sur Nature
natures
ou des noires
Goya
Saturne
à-blanc
des tendres
coups
poignes
art
Tenir
retenir
mais pas ça
visible visible
cela qui SAIT
corps y va
en tort haut
si do ton cœur
assassiné
porté
par le traîtres
les mêmes
mouches noires
des booms
insignifiants
le mangeant
cru d’instinct
dans les sacrifices
et les partis pris...
dit Goya
Saccage

'Je ne vis

plus de bon coeur

et ne suis plus

rien' ***

Attendre
tout vient
c'est LÀ
ICI MÊME
chemin
'J'établirai
dans quelques
lignes
comment
Maldoror
fut bon pendant
ses premières
années,où il vécut
heureux; c'est fait.' **
du noir les couleurs
d'agripper
l’œil au gouffre
de pire en pire
les empires
de comédies
d'insignifiances
peaux de vache
déguisées en fleurs
bras seins George
et sainte  au christ
en putain respectueuse
cintrée d'échos momies
d'éjaculations
pétrolifères
des larmes
au bout du crayon
dessinant des bites
à bon Dieu pour Jacques
Mais enfin
les mystiques
la grâce en pleine
débandade...
la Joie ce danger
le plus grand
pour le diable à quatre
et si une ligne
se donne à voir
alors il crève
à la lueur du jour
en pleine nuit



Debord *
Lautréamont **
Holderlin ***

Point D'Os

A Trappe Mots

Verbe
d'à c'EST
à dire
mot truqué
marchand
d'os
contre UN
le MÊME
attendant
sur la toile
le corps sang
la tête
UN du début
et à la faim
sans fin
conte à croire
erreur de part
et d'Art
Art...SEUL
des parts
...

Diversion

D'Us Nature

LÀ EST
dans les peurs
l'effroi des froids
Attente...
Quoi les traits
passés
des variations
mouvementées
du corps
ICI MÊME
royaume
Bermamue
destradié
crame caquis
etc
Enfin verbe
en retour
d'un conte
de passe
à mourir
de boue
à moins
qu' un...
qui que quoi
ERREUR
pas d'arrière
devant bloqué
pendant tu meurs
Et conte
Art de bras cas
d'arbr à qu'à
déjà
Créer c'EST
LÀ

Nid Pour
20 Sans

Esprit qui sait
agrippé au vent
au vide à la
régression
de l'Esprit
sa dilution
Stase précaire
évanescente
présence
RIEN
une noce
nid de brindilles
vie de poussières
évanouissement
du conte...
Une fatigue
à bout essoufflé
d'amour...
et d'eau fraîche
Des primaires
pour un vert
de feuilles
à dessiner
des forêts
à dessein
de désir désirant
de désir...

La Ligne

De Gens

....d'autres
en cabane
au Camp
des héros
comme
les chevaux
les chiens
les chats
les poules
et les oiseaux
d'avant les arènes
des ravins à bison
à fruit merveille
de diamant
aux bleuets
de peignes
à poux
Lignes de fous
pour mettre la table
servir le buffet
froid...arrangé
avec le gars
des vues
revues
et corps rompus
à la chasse
aux 20 degrés
antarctique
et moins
Vincent
déglace les palmiers
le pied à l'aise
dans toutes les bottines
de tout est visage
au soleil éteint
des ragots
à ragoût d'égouts
pour tous les goûts
des boucs
de St-Rémy
au divan de là quand
Antonin gâchait  les couleurs
sifflait les peurs
traversait
les disculpations
les amendements
d'ignorance
de la mort de la MORT
Requiem assassins
suicidaires
et anthropophages
du dénominateur
commun la faim
de mange ta main
garde l'autre pour créer
quoi du vingt cent
milles millions
de tempêtes de tropiques
au point d'ossement
des buffets refroidis
aux tickets amusés
Nuit étoilée
de last call

Main De Ciel

Rideau

D'Escale

tantôt 

prisant 

des larmes

dit haut

moins 

en bâtit 

RIRE

petit

accroché

au pan

du conte

ayant

reconnu

pas pour 

tous

Une ligne

pas plus

des vagues

SEUL

VOIR

t'ai vue

de rosées

brumes

et fumées

aussi...

en FIN

main tenant

passer

pas besoin

tenir

c'EST TOUT

Repartance

y a pas de...

y avait

y aura

Zède aussi

pareil à Argos

et des chevaux

blancs dansant 

gitans à l'arène

des coucous 

déguisés 

en fleurs 

sans pétales

azotes 

rougies

de rage atomique

Art entoilé 

d’éphémères

UN des uns

c'EST 

cela est
Mais

sauvant le réel
visible visible

à tout bout de chant
retenant la bite
latin con servant
des muses
savantes..
conservant
le goût des enfants
et sûr ce conte

mon Amouir
Mes morts formant
des mers de peines!

Roches 

Ennuagées

Des nuages

sur les âges
antithèse
des matières
pavanes
bonnes à créer
Hamlet
mal arrangée
de la belle
car la laideur
n'attend pas
le nombre
pour s'arranger
des misères
d’autrui
Ceci ce n'est pas
des Sélavy
Pour ce genre
de choses
le sort en est fait
La création
est une rage contenue
d'avance
Du temps s'alloue
pour la joie
du coup s'amortie
le terrible
du jeu sérieux
avec des boules
aux trous
pains et eaux
avec le chagrin
des vérités arrangées

La Mer Va

Aller

D'autres
débuts
encor
En corps
et près
des odeurs
des dévores
la fin
Après c'est
à toi de jouer
dire Diable
... ' 'Mon Dieu!
Seigneur,mon Dieu!
faites que le diable
me tienne paroles!' ' *
Et des désirs
comblant
la mort des enfants
au premier souffle
devenant
mangeur
de peaux câlisse
NON!


Baudelaire *