Main De Tête

Entre Tout 

Cela

Lambeaux
proématiques
quelque chose
mais quoi?
Grande farce
marquée
des premiers
seront attendus
par les derniers
aux écueils
du désastre
qui mettra fin
à l'ensemble
s'attardant à compter
ceux qui partent
...
C'est terminé.

L'Art petite
toute petite
épave de liberté
dans le tout
du trou a déposé
la verge peinant
d'en ressortir
le pinceau
trempé dès le début
du monde
des traversées
par mères rougies
aux mois gavés
de foi grassement
payées à la fin
par la décapitation
des têtes tombant
dans le seau
Par devant derrière
les petits plaisirs
frugales au cachot
de tant de mourir
pour...
"A-t-on trouvé
que la volupté
et la santé
soient plus savoureuses
à celui qui sait l'astrologie
et la grammaire?"*
ou téléguider jouant
le citoyen urinant
aux urnes
de la monnaie
vivante...
Sortir de l'en faire
dessine-moi un
ou deux petits
grappins dsus...
prends la poudre
bleu rouge jaune
allume cette traînée
derrière le sujet
de l'ennui
déchire le vent
de toute manière
le cochon va crier
peint des fruits
des viandes
aux abattoirs
nature morte
laisse tout ça
prend l'espace
qui s'ouvre
peu à peu
encor en corps
d'infimes morceaux
du souffle de l'esprit
fout le Camp
met fin au contrat
de cela qui fut
cet inéluctable
saisi dans le piège
à anguille pour un devenir
andouille au cimetière
d'une histoire
au père la chaise
en mont par masses
applaudie par les feuilles
d'automne à l'appel
de l'effroi qui gruge
du cadavre portes fermées
fait paye par petits traits
le trou dans le trou du filet
piège pour piège
en ceci est vraiment une pipe
pirouette hors du rang
des vampires suçant l'écu
de n'importe quoi
pour traverser vers l'au-delà
endimanché de blanchiment
des coeurs un ensemble
de menteurs
Ciel  bleu rougie
de jaune à venir
blanc qui est noir
et l'inverse...
Tralalala...la l'errance
De Solitude
à SOLITUDE
plus grande encor

L'Art est un Silence
oeuvrant sur le tableau
des percepts
rendant Visible le visible
pourvoyant à ce qui EST
en don sans contre don
tenant lieu d'un monde
à l'image de son désir
va vers plus de lumière
lentement patiemment
sans histoire
cartographiant
les coups de sondes
qui font voir les points
d'appui de palpitations
d'amours diffus
donnant souffle
au RIEN auquel va s'ajouter
le Tout Autour de l'L




Montaigne*

Trot'Art

Traits Art

de Silence

Transmutation
des organes
de tous les partis
disparus
préparant
la planète
pour la venue
des wawarons
otages en sommes
du cosmos
en faux triés
des mises
tombant pile
au marécage
d'OGM
des tournesols
de vingt gogos
portés à la virgule près
aux désastres de la guerre
des molécules
téléguidées
des sous-coupes
forestières a-blanc
cerveaux apprêtés...
Terminons ceci
en queues de poêlon

"Au sortir d'un rêve
agité, Grégoire Samsa
se réveillera transformé
en une véritable vermine"*
mangeant tout ce qui
respire en mots dits
dessinant l'âme brûlante
de la condamnation
fruit assassins
pestiférant les affraires
du crache en l'air
sur la terre des hommes
à vol d'oiseau de proie
Terminons de manière
cavalière...
sous carapace

M'agrippe
onirisme
tard love qui
pour Dieu
sait quoi
coalescence
copies...
inconformes
d'élévations
corps rongés
des labos
alimenteurs
cannibales
cérébrales
Qu'est-ce que?
Qui que quoi...
De l'eau delà
d'ICI tantôt là-bas
tout en bas
champion de jeûne
du K pour tous
o cas où...
Moreau
Redon danse
à danser danse
en corps...
Friedrich...R
s'abandonne
aux corbeaux
du RIEN

En faire
des affraires
d'innocents X 11 12 13
violettes à bicyclette
mais or des fois
quelques bons coups
de dés pipés
et un bunker
pleines de grâces
ratatinées de naïfs
captifs décapités
voués aux veaux dorts
tu voies la guéguerre
éternelle du là pas là
mort pas mort pas fort
pas trop mais plus
de RIEN came a rade
vers la mère
Nature natures
troupeau de viandes
organisées du monde
des cellules à volonté
calculées rodées rotées
jeu de lui le UN des uns
le même partout
mort ou vif tralalala l'air
de RIEN




Kafka*

La Raie De Mort

Petit Dessein

(en bijoux de famille)

L'apostrophe
ailes du tant
d'aime passant
outre à la salle
des lévitations
transcendant
tout blablas
en rose devant
le gel des fins finots
des sorts éparpillés
aux quatre coins
de la ligne magie
no way
de l'île de Pâques
d'ailleurs
d'ICI pour en sortir
de l'erreur
du cul butant le mur
du chaînon manquant
la joie éternelle
au ciel ou en enfer
en Dieu plus grand
qu'un dé à coudre
quelque chose
d'un tunnel sans fil
par l'équation
du chat de l'aiguille
du moine zen nez
enz zne voie xyz
au-delà
pensant à paix
dans les brisements
d'en rire mi-froid
mi-chaux
et vie dament
la disparition
des dîmes au sort
inventions illusoires
chimères comme le veut
la Réalité du rêve
de passer tenant
l'illusion pour vrai
sachant bien garder
la clé du sol
sous les pieds du vent
Ici proématiquement
surréaliste un brin
Plus série eux se ment
la terre cet objet
sans tête pour cent têtes
s'entêtant tant
qu'elle finit par dix
paraître du chant
du possible en cons
postés vers mars
avril mai juin juillet
Où seul le Seul le sait
Freud en connaît
un petit bout
et Nerval l'inconsolé
un peu plus...
Qui parle
et de quel lieu?
Pas idée juste
tordre l'éponge
d'un mourant
les doigts ensanglantés
tenant agrippé
par la frêle ossature
d'un quelque chose
qui comment dire
ne dit RIEN...
univers du RIEN

La réalité dépasse
le feuilleton...
de l'évasion des puces
du cadre de l'imaginaire
au tableau de la Réalité
de toutes les possibilités
de l'univers perçues
comme un mot mit
en exergue d'une momie
vide de croyance
ou croyant croire
à quoi que ce soit
Voici ceci est mon port
de no way
vers l'embarquement
d'on n'ira pas vite
sur le radeau
de la mésuse
Titanic nique nique
où fornique
la nef Des Fous
de Jérôme
tout simplement
sans ciel que sel
sur les plaies de maux
de la grappe d'organes
de toutes les parties
du corps défendant
Jaune Tombe au vers
la lumière rouge
des atomes laissant
pantois le Dieu
ses vers de terre et sa pêche
aux miracles des patois
mais lui l'enfer
et ses hôtes
toi des chemins
qui mènent à la quête
sans jour et cent nuits
de l'histoire
ce vide notoire de la fin
de gomme l'or du temps
pour encor un peu
de pot-au-feu de l'amour
en prose c'est l'avis
de la nudité con pète
et répète au vent
de tous ce qui passe
ici en flair et en noce
et qui comprend
comprenne en FIN

Les Mille Et Une Vies

La vie
payant
la mort
en échange
de la certitude
de mourir
pour de vrai
Mais nous avons l'art
pour ne pas RIRE
plus rapidement
du show de boucane
pendu aux falaises       
de marde
faisant fleurir
la coupure
mise en peaux
des bouts de ciarges
éclairant le gourou
prêt chie sur lui
le même et son clone
de clown devant
la raie des mangeux
de clous restants
du cercueil composté
par la multiplication
des peines au cachot
de la poupée russe
finissant son temps
pour mieux
s'y retrouver dedans
à corder du brin de scie
débosser des vitres
et finir la tête
dans l'arrêt du bon Dieu
par la Nature
heureux unique en sa propriété
d'asperger du déluge
déserté par l'art de cogner
au miroir de la grosse
femme d'à côté
est en sainte
de du pareil au même
et la chance
de créer ou pas
dépendant de RIEN
libre en l'air de ceci
n'est pas une
mais ceci peut être
qui sait où meurt
le nez de la clé
au plâtre tombant
en poudre à Paris
une porte s'ouvrant
dans le bain
d'un hôtel du câlisse
en langue en feu
chantant frère Jasse
endormie d'éther nuitée
passant éternel et mort
pour de vrai
pour des peanuts
et des tas de citations
avalent d'autres
justifiant tout
s'adaptant à tout
même à l'Art
de ne jamais mourir
d'y croire en étant
mort de naissance
le style ici se prend
pour l'homme
sans la honte
de prendre ses pètes
sans tuyaux d'échappement
reconnu en fin
à la caca démie
de ses ponctions
ombres erres etc...

L'Aile
chérie...Bach
vives mémoires
délarmées
en tes transports
moléculaires
on n'y est plus
si...on y était
mais pas d'ici
route coupée
construisant
des passerelles
en toutes sortes
de belles choses
maintenant
sachant bien...
Cela réussie
ont les a eu
la folie des éléments
les ravages
bourrasques
sociobio juste amour
ananagogaumai68
mamaota mafémini
nisation des maux
il y avait aussi
la Lili Brik et d'autres
contes pour RIEN
Ici les vieilles ratatines
de plus en plus
ordures compostées
retapées par La Poune
écomomies de pirates
ayant invisibilisé
tous les morts
il n'y en a plus...
Tout est là
mais invisible
peut-être peux-tu voir
les vraies choses
là où tu...?
Qui peut savoir?
Allons cachons
le secret encor!!!

Dépeindre le RIEN
de la chose
du moins tenir
à tenter de la signifier
Qui va là?
L'acceptation forcée
du faire avec...
Enfermement
piège...Rapt
labyrinthe spirale
avalement...
Dégustation du mal
par le bien...inversement
paradoxe pour au-delà
du passe-temps qui grignote
ce OÙ...qui aurait pu être
autre chose qu'une quête
qu'un passage stoïque 
par mille et une vies
décrites par...lui le même
UN de uns plus mort
que vif avec le temps
des nuits de l'Esprit
illuminant le Grand RIEN
de ceci plutôt qu'autre chose
...Enfer Paradis
 Il en ils seul ou avec d'autres
cela l'ICI même
art de se donner LÀ
au prix de l'Enfer
où la fin
la terrible
perte de lumière
sur...Et puis comme veut
le voyageur...