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15 mars 2024

Mise En Scène


Mot en verbe
cerné
du temps
et du passage
conscient
de la
MORT
en
JEU
d'instants
fugaces
et
 d'OUBLI
infini
Alors 
histoire
contre avec
le
Conte
racontant
le
VERBE
au pouvoir
lumineux
sur ce lieu
d'uni-vers
perçu
et tenant
la présence
en forme
paradoxale
de mortvie
VERBE
et ses écrits
cries et claudications
d'un sens insensé
sensé
avoir raison
(mathématique
musical
ou
mystique
gnosique... . )
et d'où
 l'ART
alimente son
intuition
d'insaisissable
et indicible
DONNER 
DU
SENS
par l'image
du RÉEL
en visible
visible
C'est à dire
esthétique
en vérité
et par quoi que qui
quo cul
NATURE
natures
en ce lieu
de la conscience
du donné
par la sensible
éclosion
d'empathie
pour l'innocence
Histoire
et ses affects
Schopenhaueriennes
ou
pascaliennes
encor
habermassiennes
philololots
sur l'eau
héraclitienne
en la
VÉRITÉ
 la
MORT
qui dit
TOUT
par le
VERBE
qui donne à voir
le
vivant
hors la horde
épelée
pas appeler
Alors
l'ART
force
le forçat
à peindre dessiner
graver
sculpter
et le porte au cri
où 
en sort
l'évasion
fugitive
sortant
de l'enfraire
des affraires
d'affres 
et de coutumes
sur le radeau
de la mésuse 
Donc 
VERBE
et tous ces adjuvants
adjugées
en sectes
 et en baudruches
Alors
le
VERBE
verbillant 
dit ne fait que dire
le rond rond
ronronnant
en sa ronronade 
Mais
L'ART
n'y 
EST
PAS
Pas là
D'AILLEURS
en la 
MORT
morte
et la confrontation
éclairant
la phase
du passage
vers
l'AILLEURS
ICI 
MÊME
en pure
perdition
d'errance
transfigurée
 douces
embellies
de
NATURE
natures
à l'arrêt
fixe
du temps
sot saut sceau
sauf 
 gardé
tenant
la main en 
vive mémoire
sur la parois
le chameau
passant par le trou 
de l'aiguille
d'Esther
Lapointe
ou encor
la réunion
des femmes
d'à la guerre
comme au grégaire
de la meute
mise à mort
en lieu 
du
VERBE
retour éternel
et 
ART
d'abandon
vers l'amour infini
montant dans l'âme
C'EST CETTE
QUÊTE
qui à... .et conditionne
l'ART


Les larmes
contre armes
et massacres
en l'Axe-D' Abraham
et les télécommandés
de la
MORT
Tristesse
de l'agonie
des mortelles
par d'innocentes
folies
des mises à morts
en 
TOUT
tragique
et sans théâtre
de mise en garde
TOUT
en sacrifice
pour le mur
murmurant
le pas lui l'autre
l'animal sur l'étalage
quotidien
des mises à morts
et sa fin
en retour
aux atomes
néfastes
destin
suicidaire
commandé
par
la
MORT
ce maître
d'EFFROI



L'obligation
( je ne conduit pas
je suis conduit )
dit
Matisse
ou encor
Art d'aller
libre
en
TOUT
et le travaillant
en labour
esprit
ne faisant
qu'obéir
au plus que 
dedans dehors
et de 
les larmes
venant de la lumière
souffrante
de ce qui
EST
dans la
MORT
se débattant
pour le 
VIVANT
tant que la main
dessine
ne tue pas
suspend
ce qu'elle connaît bien
et se maintient
au dessus
de
 l'AMOUR
créant



Offrande
A
L'ART
qui
abstient 




7 mars 2023

La Voilure


Courte
 pointe
tu tue 
tuant
il
EST
tué
et sans
conscience
s'en va
indifférant
les artificiers
employés
du spectraque
de la
FIN
du peu
calfeutrée
de sinistres
Anthropophagie
du
SILENCE
masquant
la création
du donner
s'inventant
à la sévérité
du
dessin
main tenant
la vrai vie
absente encor
sous couvert
de bruissances
mimant
le mime
du jour
en germes 
d'errances
infinies
et ce secret
a-blanc
de la
MORT
des bondieuseries
justificatrices
d'un troupeau
de
bombes
 anéantisés
de
TOUT
impossible
à venir
L'ART
et du ciel
perclus
d'Apocalypses
de la Poune
aux poètes
poétissant
les bruines
de saccages
poussières
abandonnées
du mal
et du bien
posthumant
LA MORT
dérivant
désemencé
de sa perdition
ICI
MÊME
placardé
de sa
FIN


Sous couvert
de
MORT
piégeant
les morts
ensanglantés 
donnant
assassinés
par la
MORT
en somme
d'insensés
préludes
à la résurrection
sans mot
servile
usinant
l'abattoir
où le tueur
que
JE
suis
d'être
vacille
au vide
ayant déchiré
le voile
de 
Saïs
pense on me panse
du chemin
pavé
de libres 
croyances
ne pas 
l'ÊTRE
Les balises du ciel
post fiel
des bombardements
du coeur
à 
TOUT
des croyants guidés
 l'ABYSSE
tombés
d'amours
MORTes
enfin
redonne
l'impossible
AMOUR
perpétuant
Saïs
vers
 l'ANTRE-NOUS
de la
MORT
d'ailleurs
ICI 
MÊME
brûlé
de
COEURs

19 oct. 2021

Temps Mort


Seul
d'enfin
SEUL
peut-on dire?
RIRE
du
RIEN
combiné
avec le
TOUT
du
MONDE
Petit
dessin
à dessein
de
d'autres
seuls
ou 
l'ABANDON
dans l'ensemble
du
Maître
de néant
d'absence
et en cache
ton dieu
de Valéry
retrouver
d'anciennes
âmouirs
quelque part
en dessous
de l'épaisseur
irrespirable
de tant 
de destructions
obligées
forcées
martelées
où le bonheur
est du plus
grand dénominateur
commun
du bonheur
juste avant
la peine de
MORT



Sans tenir
lâcher
quoi?
Les limites
le cadre
le corps
et qui est 
Petite pièce
en un acte
de ceci cela
un rôle
applaudie
ou pas
Donner du sens
à la vie
qui n'en à pas?
Comprendre quoi?
Les entourloupes
des meutes
en mots à maux
Tableau
conservant
son mystère
grain de riz
ou bien
le projet
sachant ou pas
d'en finir
de continuer
d'en finir
 détruire
et ce qu'il en resteras
Un job
précaire
ou plein temps
chômeur
travaillant
du travail
qui guérie
de tout
Un fourre
TOUT
avec conducteur
Meneur
en somme
ou pas
Sans fin
ou pas de fin
L'Infini
Nature
natures
UN 
des uns
ventriloqués
de quelque chose
de l'envoûtement
du règne de la mort
des mères
d'une histoire
idéologique
mondialisée
formant
le ROI
Formaticien
évidé
de son con-tenue
de choses
et d'autres
Bref
des idées
et des morts
tu erre
d'errance
affamé
sur le grill
du Diable
qui se paye
 la trette
Myrtilles
hommes
à la table
d'UN
au-delà
ra-dieu



Écrits
du sablier
pourrait-on
dire?
Le vide
évidé
de la roue
qu'il fait
tourner
Sans queue
ni tête
et des portes
ouvrant
sur les cendres
de lune
mars avril
mai
Mais quoi?
L'éternité
la mort
morte
éventée
devant
comme derrière
en un présent
rébarbatif
à toute forme
de quelque foi
que ce soit
sinon
au temps
présent
de quoi?
De la
MORT



De bord elle
à trépas
petits
bonhommes
des cyclades
guerroyants
sous des soleils
noircis
en plein jour
Attente
bleu du ciel
( aimer sans doute
est le possible
le plus lointain)
bataille
et de guerres
en tranchées
marchant sur le piège
à trappes
ou 
devine
 qui vient souper
dans
 l'Oeil
le sexe à la main
sur la parois
d'une stragédie
en toutes
ses fins
où 
l'Art
encor
qui sait
pour
combien...
du
TOUT



 


26 juin 2021

Tantôt La Mort



Il est mort
le soleil
de Kasimir
atteint en plein
dedans
la joie
d'Être
Au puit
tant elle va
et plus
mais mieux
déjà
le savoir
fort
de la promesse
pour longtemps
encor
L'Infini
malgré
et même
d'avantage!
D'autres
sans cesser
sertis
d'aventures
d'ailleurs
et qui donnent
envies
de partir
sortir
de l'enfer
de celà 
qui
EST
et c'est ce qui
ne veut
se penser
alors c'est la mort
d'Hegel
Art
Dieu
et Marx
La Mort
de la 
MORT
C'EST
TOUT
RIEN
La vie cette
maladie
 de la Mort
'' Être dépasse
l'entendement
être fait peur '' * 
Enfin 
quoi?



Où d'où verrous
des choses
mais quoi?
Et s'il est mort
mais qui EST 
mort?
Et le Christ
abandonné
Qui abandonne?
C'est quoi quoi?
Alors allons
au bois de l'éternité
indifférencié
des poussières
promises
et cendres
le jour de gloire
est fatigué
Et l'extrême
caputaliste
discursive
De l'infini
dans le fini
BOOM




( Plâtre De Paris
Lavoie 2015 )

Oiseau
Apocalypse
et sans titre
Et d'autres
effets
d'affects
post-je
tenant lieu
de point
d'appuis
pour une autre fois
la création
d'un sens
ahurissant
à l'instant
de la
 MORT



(2017)
Autoportrait
aux carrés

Conte 
anecdotiques
et balivernes
sur la fin
des fins
pour ce qui reste
des ressources
en compte
gouttes
et d'un avion
de chasse
en rase-motte
au-dessus
de la disparition
des morts
Intérieur
en cris
apeurés
Enfin
ce qui se lève
ce qu'il en reste
de ce quelque chose
d'exister et que d'être
sur le théâtre
de l'abattoir
des faux airs
du père Lachaise
en partance
vers le dernier
mot du souffle
qui ne s'écriras
JAMAIS


Cioran *
(A vérifier)  Lévinas **



9 févr. 2019

Les Mille Et Une Vies




La vie
payant
la mort
en échange
de la certitude
de mourir
pour de vrai
Mais nous avons l'art
pour ne pas RIRE
plus rapidement
du show de boucane
pendu aux falaises       
de marde
faisant fleurir
la coupure
mise en peaux
des bouts de ciarges
éclairant le gourou
prêt chie sur lui
le même et son clone
de clown devant
la raie des mangeux
de clous restants
du cercueil composté
par la multiplication
des peines au cachot
de la poupée russe
finissant son temps
pour mieux
s'y retrouver dedans
à corder du brin de scie
débosser des vitres
et finir la tête
dans l'arrêt du bon Dieu
par la Nature
heureux unique en sa propriété
d'asperger du déluge
déserté par l'art de cogner
au miroir de la grosse
femme d'à côté
est en sainte
de du pareil au même
et la chance
de créer ou pas
dépendant de RIEN
libre en l'air de ceci
n'est pas une
mais ceci peut être
qui sait où meurt
le nez de la clé
au plâtre tombant
en poudre à Paris
une porte s'ouvrant
dans le bain
d'un hôtel du câlisse
en langue en feu
chantant frère Jasse
endormie d'éther nuitée
passant éternel et mort
pour de vrai
pour des peanuts
et des tas de citations
avalent d'autres
justifiant tout
s'adaptant à tout
même à l'Art
de ne jamais mourir
d'y croire en étant
mort de naissance
le style ici se prend
pour l'homme
sans la honte
de prendre ses pètes
sans tuyaux d'échappement
reconnu en fin
à la caca démie
de ses ponctions
ombres erres etc...

L'Aile
chérie...Bach
vives mémoires
délarmées
en tes transports
moléculaires
on n'y est plus
si...on y était
mais pas d'ici
route coupée
construisant
des passerelles
en toutes sortes
de belles choses
maintenant
sachant bien...
Cela réussie
ont les a eu
la folie des éléments
les ravages
bourrasques
sociobio juste amour
ananagogaumai68
mamaota mafémini
nisation des maux
il y avait aussi
la Lili Brik et d'autres
contes pour RIEN
Ici les vieilles ratatines
de plus en plus
ordures compostées
retapées par La Poune
écomomies de pirates
ayant invisibilisé
tous les morts
il n'y en a plus...
Tout est là
mais invisible
peut-être peux-tu voir
les vraies choses
là où tu...?
Qui peut savoir?
Allons cachons
le secret encor!!!

Dépeindre le RIEN
de la chose
du moins tenir
à tenter de la signifier
Qui va là?
L'acceptation forcée
du faire avec...
Enfermement
piège...Rapt
labyrinthe spirale
avalement...
Dégustation du mal
par le bien...inversement
paradoxe pour au-delà
du passe-temps qui grignote
ce OÙ...qui aurait pu être
autre chose qu'une quête
qu'un passage stoïque 
par mille et une vies
décrites par...lui le même
UN de uns plus mort
que vif avec le temps
des nuits de l'Esprit
illuminant le Grand RIEN
de ceci plutôt qu'autre chose
...Enfer Paradis
 Il en ils seul ou avec d'autres
cela l'ICI même
art de se donner LÀ
au prix de l'Enfer
où la fin
la terrible
perte de lumière
sur...Et puis comme veut
le voyageur...





27 déc. 2014

La Nuit D'À Cotée


Le Mot Des Barques
Secret d'amour
infime pas là
absout du je
antre acte
comme un art
au chant ancien
de mémoire vive
s'aimant en tous vents
le mât qui
en pleine guerre
d'ère d'os et de feu
Courbet pour Louise
anar schisme
s'élevant des gaz
anciens
proue peu piano
au noir Manet
des couleurs
sans espoir en avant
cap au pire en avançant
follow the poète
don inclusion empathie
en langue dans le vinaigre
pour traits
sans traîtres mots
pour tout dire
du silence
entre nous armé
de tintamarres
Oui ton ciel
est partout
dans les cheveux
d'Abbott et Costello
ou dans une gargouille
de Notre-Dame
mais en vain
tu es ivre ce sont des mots
inversés et déserteurs
Bleu n'est exact
qu'en peinture
et au ciel autrement
ce n'est que des maux
et il en est ainsi
du tableau
comme du paradis

Ténèbres
voyez-vous tu
instants précis
de Rien
quelque chose
devient
va éclater
la mort d'une tension
le noir à la lumière
en mémoire
Les rafales
le temps sombre
avec les feux
d'artifice des
dernières fleurs
papillon de l'enfermement
du gain capital
en passe-griffes
des prisons de têtes
sans culs
et mains de glaces
Lugubres barricades
chair aux vautours
euthanasies
aux mille raisons
asperges Manet
pommes de terre
sardines
surveillant l'agent
du R de l'autre
ratatouille ensevelie
entre deux roublards
pour deux sous
taire au chant
des broutteux
apocalyptiques
apeurés au miroir
atomique
du dernier Bunker
de Jaunestown

Lui ou lui?
En fin des pièges
à pillages à péage
art de se faire
faire le syphon
du pur du pas fait
cru ou cuit
du roi qui te mettra
au courant
pour quelques sous
main dans la main
le président
te taxera d'imbécile
seul ou en masse
Lui ou lui?
Te le dira
c'est lui
mais tu ne le sauras pas
en fait trop tard
lui l'idiot du pays
ou toi qui le masses
en mite errant
de Hollande
ou d'ailleurs
Ici c'est la place
où Courbet
peignait la mer
qui connaissait
les culs-de-sac
des mises au monde
en diarrhées
au Palais de Cristal
sous surveillance
chromosomique
d'où viendra le messie
en forme de poire
vu par Daumier
sur Rossinante