Mot en verbe
cerné
du temps
et du passage
conscient
de la
MORT
en
JEU
d'instants
fugaces
et
d'OUBLI
infini
Alors
histoire
contre avec
le
Conte
racontant
le
VERBE
au pouvoir
lumineux
sur ce lieu
d'uni-vers
perçu
et tenant
la présence
en forme
paradoxale
de mortvie
VERBE
et ses écrits
cries et claudications
d'un sens insensé
sensé
avoir raison
(mathématique
musical
ou
mystique
gnosique... . )
et d'où
l'ART
alimente son
intuition
d'insaisissable
et indicible
DONNER
DU
SENS
par l'image
du RÉEL
en visible
visible
C'est à dire
esthétique
en vérité
et par quoi que qui
quo cul
NATURE
natures
en ce lieu
de la conscience
du donné
par la sensible
éclosion
d'empathie
pour l'innocence
Histoire
et ses affects
Schopenhaueriennes
ou
pascaliennes
encor
habermassiennes
philololots
sur l'eau
héraclitienne
en la
VÉRITÉ
la
MORT
qui dit
TOUT
par le
VERBE
qui donne à voir
le
vivant
hors la horde
épelée
pas appeler
Alors
l'ART
force
le forçat
à peindre dessiner
graver
sculpter
et le porte au cri
où
LÀ
en sort
l'évasion
fugitive
sortant
de l'enfraire
des affraires
d'affres
et de coutumes
sur le radeau
de la mésuse
Donc
VERBE
et tous ces adjuvants
adjugées
en sectes
et en baudruches
Alors
le
VERBE
verbillant
dit ne fait que dire
le rond rond
ronronnant
en sa ronronade
Mais
L'ART
n'y
EST
PAS
Pas là
D'AILLEURS
en la
MORT
morte
et la confrontation
éclairant
la phase
du passage
vers
l'AILLEURS
ICI
MÊME
en pure
perdition
d'errance
transfigurée
douces
embellies
de
NATURE
natures
à l'arrêt
fixe
du temps
sot saut sceau
sauf
gardé
tenant
la main en
vive mémoire
sur la parois
le chameau
passant par le trou
de l'aiguille
d'Esther
Lapointe
ou encor
la réunion
des femmes
d'à la guerre
comme au grégaire
de la meute
mise à mort
en lieu
du
VERBE
retour éternel
et
ART
d'abandon
vers l'amour infini
montant dans l'âme
C'EST CETTE
QUÊTE
qui à... .et conditionne
l'ART
Les larmes
contre armes
et massacres
en l'Axe-D' Abraham
et les télécommandés
de la
MORT
Tristesse
de l'agonie
des mortelles
par d'innocentes
folies
des mises à morts
en
TOUT
tragique
et sans théâtre
de mise en garde
TOUT
en sacrifice
pour le mur
murmurant
le pas lui l'autre
l'animal sur l'étalage
quotidien
des mises à morts
et sa fin
en retour
aux atomes
néfastes
destin
suicidaire
commandé
par
la
MORT
ce maître
d'EFFROI
L'obligation
( je ne conduit pas
je suis conduit )
dit
Matisse
ou encor
Art d'aller
libre
en
TOUT
et le travaillant
en labour
esprit
ne faisant
qu'obéir
au plus que
dedans dehors
et de
LÀ
les larmes
venant de la lumière
souffrante
de ce qui
EST
dans la
MORT
se débattant
pour le
VIVANT
tant que la main
dessine
ne tue pas
suspend
ce qu'elle connaît bien
et se maintient
au dessus
de
l'AMOUR
créant
Offrande
A
L'ART
qui
abstient