4 oct. 2017

Art En Quelque Chose


Partition 
pour 
une Aile


Art pour ou contre
la vie au quotidien?
Et qu'est-ce que le Réel?
Insensé absurde
de cette fragile
perception du LÀ
et OÙ est pendue
l'infime minuscule
bibite vouée à la mort
et qui est consciente
du vertige du risque
à tout instant
d'être écrabouillé
par un milliard
de possibles
au moment où
ces mots s'inscrivent
ici dans le pétale
virtuel au vent d'atomes
déjà métamorphosé
en poussière
et reconduisent au néant
de choses et d'autres
aveuglant éborgnant
le soleil par sa mise
en tutelle disparue
lui aussi en banque
s'éloignant de rentabilités
devant l'insignifiance
et la raison perdue
Un rêve bien réel
LÀ en plein vertige
devant le vide
sidérant Mortel
et incontournable
de Vérité
Après le tri
combien en seront
rescapés?
Mais rescapé de quoi?
Petit dessin
Oui mais après après?
D'autres petits dessins
Au début il était une fois
pas deux une foi
transportant des musées
imaginaires
mieux que bourre bourre
content peau ben
en rire et qu'importe
va bien falloir sauter
sans guide Michelin
passer ou crever...
Passé crevé?
Oui hors le vertige
d'Alzheimer
de l'avenir...de quoi???
Musique alors Zoltan
jouant Cage
et la mer sans arrêt
reprend la mise
oh lalà chérie
C'est sans mots!!!!
...

Des forêts
de diagonales
obliques à voir
où tant de mères
veillent sur la Nature
avec misère en prime
pour des inventions
de fou...
Trop tard tout ça
beaucoup trop tard
Allons posthume
admirable...
cette parenthèse
Bach en finale
C'est de cela
de ces histoires
faussant le réel
de Kafka à l'extinction
par Jimmy Durante
lors de son union
avec la Poune
du gros orteil
aux gros nés des saints
Ici c'est près du Réel
ce n'est plus politique
la déflagration a eu lieu
livré à la plus facétieuse
entourloupe
rocambolesque
manipulation
de lui-même le UN
le moi je des uns
poussière de géant
bon à toutes les sauces
pour tous les couronnements
enrobant l'élévation
des enfers
Ça va...
UN en UN instant éternel
Art sans début sans fin
mort ou vivant
gueux ou roi
Créer s'inventer
des contes des mots
en mitrailles
communiant
épiphaniques
quenique nique
ou Dieu en drome
de monde
pitonné par des artistes
de vaudeville
pour ce qui est des génies
savants des bollés
de l'édition
héritiers des révolutions
aujourd'hui jaunies
et maomotnétaires
balayés flochés
bien nourris
logés mais ridés
fichus fichés
oubliés...etc.
Post-Atchoum
tenir tu voies
cette danse de nuit
du trou l'autre
qui sait encor
la lumière la dire???
Ce UN lumineux
en flash luciole
d'univers en boom
partout la FIN
on voit effroi
Effroi de quoi?
Ici débute
l'histoire caduque
à crever en couleurs
formes et rythmes
qu'importe dissonances
discordances
Cézanne débusquant
le nombre abject
d'enfants de nanane
en civets de lapins
Effroi de quoi?
Du froid
des tremblements
de vérités
des abattoirs
des agonisants
anesthésiés dopés
du foin arraché
des ruminants
dévorés des hommes
grignotés de virus
manipulations
génétiques O.G.M. en sus
Bref...
Effroi
devant l'infini
de Nature natures
Art d'offrir de petits
dessins une ligne
à l'Ogre Univers
des festins de coeurs
tendres sensibles
comme des chiens
Léautaud (...quand
on est aussi bas c'est la vie...)
diversions paradoxes
miroirs sens insensés
contradictions
Bacon en innocent X
et mort aussi
d'avoir été éternel
Art devant les dents
du UN des uns
sans tous sang tous
sanctus en sacer
à la poursuite
du Dieu leuleux eux
Nietzsche Bataille
Cioran Caraco Artaud
aux suiveux etc.
tralala lala
canonisés aux temple
des bien-aimés du saint
des seins...arts
de se la mourir
ivre mort...
de la mort morte
Art qui pense
qui peut.




Le Do Sur La Clé


Petit Dessin
sur orbitre


Cette traînée
de mots
mis en accord
porté hors
le Camp
des disparus
créés fabriqués
frankensteintisés
sur la portée
dénotent
la monnaie
de la pièce
Champs disparus
des militaires
pour ruminants
des villes
démoncratiques
sur une valse
de Shostakovich
en clé pour sortir
le do droit
des courbatures
de mouvements
répétitifs
de l'histoire
de crève le mur
du son en hymne
à la joie
pièce pour sourds
et muets
sans solde
au Vivier Dion...
et du jeune homme
à l'époque
jouant Rachmaninov
pour de riches mouvements
émotifs et de passions
pour voix étouffées
aux vents du jamais plus
Peindre sculpter
graver griffer
user lentement
à la vitesse
de la lumière
encor du peu de jeu
entre le souffle
et l'impossible
autant dire poussière de ton
arythmie phrasé
"d'humoresque opus 20" *
de là en l'élévation
des abattoirs
vers des cieux de danse
d'amour et d'eau fraîche
au vieux des os
de mères rouges
en repensant
sans le génie dernier
de Ravel vers tous
les embarquements
le final n'aura jamais eu lieu
Rien à dire
oui à redire
qui comprend comprend
que de joies retrouvées
en de vives vivances
malgré TOUTE
l'incomplétude
d'une bizarre de manière
à cueillir accueillir
recueillir
ou c'est ...
Tenant la note jaune
du peintre
pour faire danser
le jour inaccueillant
de la décrépitude
de l'univers
le crépuscule
du TOUT
pour petite musique
hommage à Monteverdi
cassant sons
temps sur la ligne de l'ouïe
sur l'étrier sans maître
pour un marteau
le aime du haut
des mots maux
aux glossolalies
des silences
sans LÀ où
"Parler pour ne rien dire
est fini" **
Bonne mère
Nature natures
Que dirait le JE
si je pense donc je
suis Descartes
de trop près
on peut douter
d'en venir
à quelque chose
de plausible
Le je pense qui?
Pense je qui
le qui de Dieu
créa l'univers
le début et sa fin
Comment le savoir
là où tout au fond
les disparus
se reconnaissent
À quoi peut bien
servir de savoir
ce que goutte la patate
assimilant le TOUT
sans vérification
possible d'un côté
ou l'autre du miroir
Patate irlandaise
faire patate
patates frites
en robe de chambre
patate chaude...
Seul au Walden
Motel N.Y.
avec un paquet
de bon sens
qui arrive posthume
pour l'émission
de gaz du dernier
Camp
Pas grand-chose
à comprendre
que de la Vraie Vie
d'AILLEURS arrive
ICI MÊME

Mourir de sa mort
passer rapide
car en avançant...
Seul par cadavres
les uns les autres
en UN point mort
de fleurs arrachées
de lumières rêvées
Errances
t'entend sous les pas
atomiques parmi les
mitrailles sociales
des menteurs aux survies
des pas ici qu'ailleurs
aux milliards de noms
virtuels puis de oui disparus
à la table de sang séché
de camps à Camp
en musaques
d'oublies de festifs
écosystémiques
naturalisés de bonnes
chairs dévorant
la dent d'Ève
et une contre TOUTE
en nothing to do
pour le petit dessin
SEUL pour SEUL
tenant de cela
créer par une folle
position sur l'escarpement
du ciel et de l'enfer
et de la perception
de l'horreur infini
comme vérité
à moins qu'un signe
signe la FIN du texte
ce qui vient sera
l'effroyable sentence
Art pour ne pas mourir
de la vérité
dit le chercheur...
Et quoi?
L'Art n'est qu'une
pierre tombale
dans la marre
à wawaron sidéral
une grotte
un cul-de-sac
à bon Dieu
Certain ce sera
le retour de TOUT
la place est vide
et ce qui demeure
est la répétition
du même UN
Tyran par la queue
la quincaillerie
pour ne jamais
en sortir du pourquoi
de la désorientation
de l'amour vers l'idée
d'une violence salvatrice
toujours darwinienne
à bout portant
la poésie à s'exiler
hors de l'apprivoisement
d'engourdies maosmonétaires
tapis au fond des rizières
nihilistes mimant écho
conforme du Grand Camp
des disparus
dernières couleur Jaune
soleil des camps
pour Personne
et Vincent la maison
le E du soleil à offrande
au sang gelé
des congélateurs
Égaré c'est certain
et sur les gardes
à la proue du néant
de LÀ ce sera
encor...et en corps
Jaunes à 3 millions
chez Bacon
en ratatinant les chairs
amenées aux rives
des truands
Allez multipliez-vous
ou passer à UN la FIN
Oui sortir des contradictions
du sens insensé de la
déraisonnable raison
des parfums sabotés
des composts atomiques
de la disparition
des amours terrestres
oiseaux abeilles à penser
aux nuages au floue
calculé des nourritures
biopharmaceutiques
de la recomposition
par d'apprentis sorciers
bouffant la mort à prix
qui croyait prendre
Jaune passé au rouge
jusqu'aux froideurs
des gels de février
en des musiques
de Bartok tu voies
Cage ces silences
et toutes ces notes
aux oreilles coupées
des Disparus
les mêmes ayant
donné leur langue
au chant des guerres
d'extermination
Appelés d'abracadabras
t'es plus là
tu reviens pas...



Shumann *
Artaud **


28 sept. 2017

Sans Titre




L'Art
que de L'Amour
pour de la lumière
qui fait dire
le chat le chien
l'homme la fleur etc.
Et quand tout
sera usé perdu
devenu absent
il en restera bien
quelque chose
Comment se percevra
alors la beauté
redécouverte?
Évidemment
ce sera le Paradis
des signes
de la couleur
des formes
animaux
insectes...
Et arrivera le diable
et l'ennui
la distraction pour en sortir
la politique
la chaux business
la mémoire historique
la religion par la bombe
s'imposera
la fin du monde
annoncée...

Le  Christ revenu
avec le règne de Dieu
il y aura sans conscience
ni bien ni mal
les choses seront
telles quelles sont
la Palestine Israël
la Chine la Russie
le père Noël
Par contre tous les ans
jours fériés rémunérés
tout en travaillant l'ennui
l'alimentation le corps à deux bras
et les têtes sont interdits
Il y aura augmentation
des salaires
les pauvres à 500 piastres l'heure
les riches à 5 sous
les pauvres auront l'obligation
de prier nourrir habiller les riches
En Fin la promesse
d'une Terre au paradis
et le diable très brillant
dans son éclairage la nuit
incitera les pauvres etc. etc. etc.

Art de nettoyer
ses rêveries
voir où pourrait
se loger la faille
et s'y tenir
jusqu'à comprendre
le pourquoi du pourquoi
d'une aussi dégradante
décâlissante situation
où l'Enfer le Paradis
gesticulent attirant
d'autres mal pris
obéissant à L'Un du L'UN
des uns et s'éteindre
en masse et puis seul
encombré du cadavre
de la pensée
dévisageant l'esprit
d'avoir laissé le corps
l'émotion la perception
le désir...
Se prendre au piège
de  l'immonde
cette chose d'orgueil
d'insignifiants déchets
nuisances en une machine
technique devenue
nature pure et simple
de matières innommables
insondables choses béantes
ouvertes à tous les effrois
comme un jugement
une condamnation
sans culpabilité
cauchemars insondables
d'où l'esprit n'a pu
prendre son chemin
ériger sa forme
(je suis sein d'esprit
je suis saint esprit)
de Vincent
et son suicide
devenu collectif
sur qui prend conscience
de l'état des faits...ou
du cul-de-sac
de la Nature natures
Marionnettes
guerrières nourries
couchées logées
sexuées de la petite
à la grande MORT
Suicide des maîtres
fuyant l'ignorance
qui tue extermine
contrôle l'apport
de possible
ayant fait du social
une geôle ou le cadavérique
étouffe la vivance
Culturellement
c'est posthumes
socles et poussières
création en attente
d'un emportement
vers le bonheur
la joie de désirer l'avenir
en la Beauté du pourquoi
de la Vivance
et de l'autre côté ICI
solide comme un papillon
éphémère comme du marbre
etc. etc..... ...

Le sourire de l'Art
derrière la matière
fragile ou dure
joie aussi de savoir
que le Secret
de ce qui EST
demeure bien gardé
protégé du dire
du signe protégé
contre la possession
du Dieu de l'Homme
mais LÀ
faisant cheminer
le FAIT de l'Émotion
épris du Jeu dans la sûreté
la protection de l'Amour
confirmé de-ci de-là
par les admirés
des matins des soirs
des jours en successions
du don contre-don
tout ça à la disposition
du désir de créer
ou d'aimer
tenue hors le vertige
par le petit point
ligné du dessin
tout en patience
dans un geste sans titre
risqué
responsable
de TOUT




Sang Mots


Tournis Sur Mots Mies
Graines


Tourbillon
de choses
monde
blessées
soignées
aussi
les larmes
des mers
en rire
d'aile
de vieux
souvenirs
des outardes
en grande
formation
vous entendez?
Encor
cette violence
que font
ces buildings
de verres
aux bâillements
des gens
exténués
du combat
des disparus
en plein vol
Oui comment raconter
quand depuis
très longtemps
il n'y a plus rien
à dire
Pourtant seul
un Dieu
qui tralala
sur des poussières
de sang séché
Hors la forêt
de galaxies
du corps
de la conscience
où Dieu se voie
un instant
pour s'éteindre
et là inlassablement
attendre
jusqu'aux limites
du désir
de nous revoir
plein d'espoir
attiré d'Amour
Pourtant ce ciel
si clair
l'astre si bien
découpé
Dessin chérie
que ça pour tenir
et ça tient
ne tenant pas
précisément
Admirer
discret
tout semblable
à Goya
Van Gogh
Varlin
toute la peinture
joie partagée
en Silence
tremblant
apeuré
esseulé
d'abandon
tenant
par petits bouts
de grâces
Gracié
d'infimes
petits souffles
de vivances
sang mots
cent sans
100 est son non!
des accords
des notes
de Bach
par Kocsis
trépassé
aussi l'Aile
époque si
sûre de la terreur
et des rimes
en belles-lettres
atomiques
sautantes d'alignés
du jet set
carré
des bedennes
à boom
quand de ce côté
posthume
un poste
important
chez Mort Aux Dents
du mon d'entier
Qu'importe
le vent saignant
sifflant
des maux
la vie
sous quelques
vers à soi
brodant
la couleur
du tantôt
qui peut voir
a vu verra
le vertige
l'abîme
le fond du vol
quand SEUL
OUI croire
à la paire
éparpillant
le père
en reste de mots
mis en gage
haut près
des mords
morts dus
d'avance
Être en crisse
ou en bondieuseries
des Dieux
pas drôle
mais on riz
plus on est de fous
Bref de saisie
par mots de tête
mai que du vent
camarade



Point Mort




Aucune idée
sans dessin
mieux idiot
Déjà IDIOT
libère permet
d'admirer
la Beauté
du fatras
d'avant pendant
après la création
du cerveau
transmis
temporairement
le temps
de la guérison
de la Tête
du coeur
et de l'âme
UN rebrassant
infiniment
toute chose
comme un peintre
épris passionné
reprenant
de toutes les manières
le jeu de créer
donnant l'énergie
propulsant l'émotion
en "kit" monde
donné
composer
l'inverse
remixer sans fin
sachant la fin
la Mort
du temps donné
au petit corps
temporaire
en l'Infini
du bonheur
de la joie
de VOIR
Tu voies
écrire au mort
entre deux ailes
risibles alors
autant rire
Ceci ce crie
dans le silence
où Tout n'entend Rien
Une valse
avec Walser
Toujours dessiner
peindre sculpter
cerise sur le pommier
blanc du A
du naufragé
de Fred
autant que Daumier
mieux que Poune
et bourre dieu
tralala
Oiseau qui passe
une fusée
Gould Bach...Dieu
en Fray...
des  passions
célestes en  sons
folie de la fois
où sans nombre
UN doute
et puis voilà
c'est terminé
Splendides
fleurs des choses
en Paradis...
seconde de joie
pour une éternité
de misère...
Il y a longtemps
que je t'aime
petit dessin
bien sûr bien sûr
pas pareil
qu'emporte le vent
d'Hokusai
en une ligne
main tenant
le vide agoni
du percept
Sans plus
ni moins
que marbre noir
et cendres
À reprendre
juste un peu
avant le début
LÀ Hégel et la Mort
celle contre Rilke
par l'unique
et jamais plus
quelque chose
Ici parenthèse
à sortir par en bas
ou par en haut
en mutation
des molécules
se déportant
vers un totalitarisme
pour Personne
Au début il créa
les a je nous
par les mots
qui conduisent
à l'aphasie éternelle
à l'heure du temps
de contrôle
depuis le cul-de-sac
de l'arrivée en masse
des gains capitaux
changés
du cru au cuit
et poussières
cendres des fours
fourrant bandés
sans parentés
l'UN du LUI
le MÊME
(Aehtydieuyjkuu
yjy6jkjZ...)
Petit dessin
fou de raison
sans déraisonner
pour si peu
de rêver
en couleurs
De là héritant
de cela
un tout petit
dessein
à peaufiner
par chemin
pris et que je
la ponctuation
au point
des roses
à l'épine dormante
apprivoisée
par les stellaires
Il le faut
comme point d'orgue
Shostakovich
Waltz
et des résidus
de tendre
malgré TOUT
et avec cette folle
conscience
d'une danse
cerclée de rouge
tourbillonnante
fofolle
extase se dévorant
de vivance

Avec sans doute
l'infernal
sans vivance
disparus
par les ruines
babines
sans clés de sol
entre les dents
des ennemies
de la violence
terrée dans l'assiette
de prédation
et en bleu a-1
de qualité supérieure
le pied le gros orteil
bras oreille coupé
etc. et le bec
alouette
Sans dire en bien
des mots
plus Personne
le Dieu sans je
tu vois
on n'y était plus
lui sans nom
sans dessin
un cave une frivole
pureté d'âme
de coeur
bonté d'Amour
tu ries
Une sacristie
farceuse
Comment
c'est quoi
s'thistoire là???
Liant lieu
à tous les coups
Il se prépare
une résurrection
du câlisse
Entendez-vous
les pas de la face
pleine de boutons
ROUGES
déguisées en jaune
mao monétaire
et bleu religieux
passé date
et dedans l'enfer
pour des siècles
et des siècles
pour en sortir
du Paradis
des crimes
de la farce à dinde
au mouton farci
au boeuf bourguignon
au poulet basquaise
à la tête de porc
au chien chaud
au chat errant
la tarte au lard
pour dire
c'est pas d'la tarte
la charcuterie
des champs
de bataille
en je vous salis
Marie...en Jésus
suicidé
en Dieu mort
de rire...Faut le croire
Et toute cette histoire
qui revient par
la porte du derrière
de madame
par toutes les pantoufles
triangles des mères
à boire
en ronrons de ronronades
ronflant en pète
de fèces par la bouche
essuyant sa dernière
larme à l'oreille
d'un hyper voyant
aveuglant les lumières
de la tour de bébelles
souhaitant pour Noël
un vrai petit dessin
pour calmer
le d'oeil qui s'affole
comme de raison
lorsque le vertige
de la grande
solitude vous incite
à dire oui
à n'importe quoi
Qui EST VOUS?
Non!
Point Mort
de LÀ c'est à VOIR