28 janv. 2025

Pour L'Image

 


Créer
et sol y taire
antre-nous
tenant l'amour
en otage
et 
en chimère
nervalienne
ou venue des îles
lumières
Alors changer d'optique
il y a 
la
Joie matissienne
découpant au ciseaux
la matière
Rimbaud et le bois
devenu violon
ou encor 
la fatigue
d'Alain 
à sa fin
là où 
la fleur bleu
terreciel
gracieuse et respectueuse
on imagine
Qu'est-ce que 
L'ART
encor
osant main tenir
malgré
l'usure
du temps et du lieu
Ithaque 
sans
 Ulysse
Milles façons
de dires
Poétiquement
proématiquement
ou encor
pour ne rien dire
c'est à lire
par la création
en acte
là où l'esprit
de la lettre
va s'insérer
dans les mots
et en faire
quelque chose
de positif
Ce rendre à l'image
et ce serait réussie
que ce soit-elle
Faire 
VOIR
par l'outil
la main pensante
sans pensée
(Socrate)
sur le non savoir
se sachant tel
Les images
se parlent
se signifient
s'imprègnent
et deviennent
de vives mémoires
Elles puisent
dans l'émotion
la perception
et l'intuition
Ne prend parti
que de 
l'être artiste
(chaman sorcier ou encor
l'obéir
à la création
son principe de créer)
Et des goûts
et de ce que doit être
sa mise bas
et bien c'est le temps
qui va en découdre
avec ou pas
Bruegel
jeune ou vieux
Arcimboldo
Le Douanier
Varlin
encore
Rouault
Villeneuve
Millard
chromos
kitchs
et tout ce carrousel
au passage
captant du
Fautrier
du Bacon
and egg
et etc 1000 deux tonnes
d'artistes
et la tête unique
jouant
sérieusement
avec la mémoire
des aimé(es)
ou pas... .
so watt... .
L'ensemble pictural
dicte les chemins
vers
Nulpart
espérant de la lumière
avec Goethe
Klee
Lestié
Lamarche
et là aussi
la quête
de nouvelles planètes
au-dedans 
dehors
boussolé
d'AMOUIR
Ce qui se nomme
tenir
Hors ces avenues
les
Rembrandt
Rubens
 Goya
Watteau
sur des musiques
de 
Monteverdi
Bach 
Mozart
et bien on peut toujours 
attendre
Qu'est-ce que
L'ART
ce peuple qui manque
justement
et espérant
qu'il manque encor 
longtemps
Le mystère
de sa présence
après tant de cataclysmes
de Lascaux
à
Lascall
et bien
des petits dessins
d'attente
après une culture
décadente
et bien... .



Texte
qui prend cette allure
et qui distille
de la pensées
très subjectives
toujours
et pourquoi
fermer
le vivant sur le dehors
sans la présence
de 
l'ART
humain trop humain
des partances
et que la main
à l'oeuvrage
va corriger
emportant la liberté
main tenue
par le geste l'acte
(actelier)
en signes qui s'offrent
à la fusion
corps esprit
et qui deviendront
épris l'un de l'autre
Liberté
consentie au devenir



Boeufs Écorchés
 nature morte
et toute la panoplie
d'images
de la mythologie
aux faits réels
du quotidien
Le Radeau de la Méduse
ou
la folie
chez Géricault
Varlin et sa critique
sociale
sans fins les motifs
de
L'ART
Jeu jouant
avec les aimé(es)
de la pensé
ou des présences
aux quotidien
ART
éponge
épongeant
le déficit
émotion
sans prétendre
à lui pas celui-ci
l'autre
à moins que
Jeff ne soit pas d'accord
cela est une autre
patente
Texte pour
L'IMAGE


Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025


Pas Dire


De la poésie à la mise
en mots proématiques
ce mélange
éclectique
littéraire et de faits divers
(commun)
dedans dehors
la subjectivation
des faits philosophiques
 sociologiques
sans parti pris autre
que la mise en forme
de l'espace
pictural
qui est aussi 
la résultante de l'ouvert
rilkéen
sur le vivant en tant 
que présence
donnant par don contre don
la possibilité
de la beauté
retrouvée
par le désintéressement
de la donation même
qui est
ce qui ne peut pas
en être autrement
Mozart
ou 
de l'innocence
rimbaldienne
encor
chez 
Wittgenstein
le bout des mots
qui de la culture
au rouet chez le
mahatma 
ce 
TOUT
du monde
d'où on vous attend
(avec une brique
et un fanal)
ou encor
de la misère
qui chez 
Van Gogh
pour le plus connu
mais encor
l'union
du coeur et de l'âme
à son élévation
hors du commun
vers la splendeur
élevée
au dessus
du terrible
advenu inattendu
et 
humain trop humain
de la pulsion
devenue redevenue
l'innommable
(Beckett)
sans nom et hégélienne
maître 
MORT
Alors qu'est-ce que vivre
veut dire
sans l'art
et sans la perception
pathique
de la souffrance
des aimé(es)
en ce qui compose
l'ensemble
du monde
D'où où vers où
ou verrous
Qu'est-ce que les suicides
d'artistes
ou encor 
chez 
Camus
le tenir de Sisyphe 
L'ART
et
LA MORT
chez 
Goya
où la représentation
du sujet humain
dans le contexte
du vivre ensemble
est inséparable
de l'image
et de la pensé
en quête
de solution picturale
et qui n'est que le possible
se réalisant
(humainement)
par la main à l'oeuvrage
Le suicide
ce qui pourrait être
la fatigue
du peintre ou du vivant
en phase terminale
un contre nature
devenu 
NATURE
natures
par le désir de lumière
s'inversant
en retour à l'indéterminé
infini
et terrible
indicible
silence infini
de la terreur
( avec les petits on est
grand et l'inverse)
Gogh
Rothko
Staël
et les milles autres
ayant choisis
d'en finir
avec le non sens
supposé
ou encor une désespérance
du tenir
contre mort
qui est la perte
des aimé(es)
de
 l'AMOUR
qui de la prédation
(vallée ducharmienne)
à la conscience
fragile
et responsable
du vivant
jugé par l'insaisissable
appartenance
à lumière
de 
l'IL Y A
Artaud 
(le bien est voulu,
il est le résultat
d'un acte, le mal
est permanent)
Enfin 
ces mots qui sont 
dedans dehors
qui viennent
de partout
en ce
TOUT
du monde
et qui des multiples
us et coutumes
tantôt ceci cela
où bouge la vie
du passage
en la conscience
du mourir
et pourquoi... .
comment... .
dedans dehors
Suicide
ou métamorphose
incontournable
ou encor
le désir désirant aimé
qui 
EST
sans nom
et l'impossible
fait possible
Et les suicides
appartiennent
à eux les libres
(à chacun sa mort)
Rilke
Ces mots viennent
seuls
en synthèse
du moment
cela aurait pu
en être autrement
ART
de l'inquiétude
pour ce qui 
EST
et veut être
hirondelle ou christ roi
L'ART
de la nature
à la
NATURE
morte
fait voir
par corps esprit
infiniment
en fable conte
histoire
et attrape joie
d'aimer
au risque
de 
Marie Uguay
de l'effroi
d'impuissance
devant le manque 
à retenir
ce qui ne veut pas
mourir
ART
ou encore mieux
la nature
aimée
en tout ses secrets
bien gardé
grain de riz
iris
asperge
pin 
oiseaux
fleurs
ce livre
hors la porté 
des apprentis sorciers
à leurre du t
et du jeu
innocent
naïf
et d'admirer
ce qui devient
malgré toute prétention
ce qui
EST
Au fond 
où tombe
L'ART
en volant
J'ai mis dans ce tableau
tout ce que j'aimais '' *
et du trait à la sortie
du
TERRIBLE
et de
l'EFFROI
qui n'est en somme
que l'indifférence
et le simulacre
de la froide
démission
se donnant à la mort
contre nature
Ceci vu
 en tant de possible
à dire
pour ne pas dire
l'égarement
la perdition
des aimé(es)
après
TOUT


Alors la proématique
du tenir
attente 
et la souffrance
infini
montant dans l'âme
avec les élues
du coeur
par la nature
heureux où les étants
gisent
aimé(es)
ressuscité(es)
sur la paroi
du sens insensé
de la vérité
des choses et d'autres
de la
Poune
et ses souffrances
à Mozart
en requiem
de la réussite
antithétique
du vivant
en particulier les quatuor
ou encor
Le Douanier
vu et aimé
par 
Gaspar
Antoine
et le gang de nonefs 
sur une musique
de la
Bolduc
endossant ce qui va
qui vient
en ce cache ton dieu
de
Valéry
offrant des beignes
à 
Woody
pour son acquisition
d'oeuvres d'arts
Ô
passage
d'en
Barthes
on iras pas vite
à la
MORT


da Silva *

27 janv. 2025

Ensemble Proématique


De ces perditions
de ciboulot
cela arrive
et l'imprévisible
profite de cet état
pour non pas tabula rasa
mais pour inverser
les valeurs en cours
là où 
la rude résistance
à la
MORT
mortes
puisait en ses dernières
ressources
le peu de joie
restante
à la poursuite
du jour 
L'inattendu
rossettien
là et en surveillance
perpétuelle
saute sur l'occasion
pour en détruire
l'innocente
et bienheureuse
enfance que d'être
en la lumière
et les jeux
d'adaptations
à l'enfermement
des faits
pour l'abattoir
du temps 
sous la surveillance
de la lettre 
de Poe
à ses amours mortes
Cage
encageant les encagés
attendus
d'avant pendant et après
le
JEU
cercle où la déchirure
mortelle
atteint la limite
du vivable
Étouffement
et râles
dedans dehors
 impossibilité
de transcendance
et de la poursuite
des us et coutumes
que du retour
au mêmes
effets 
de catastrophes
et de guerres
par autant de justifications
d'histoires
d'il était avait été
seras
de la misère
au hasard
du cercle hégélien
en l'insensé
répétition
boomerang
de la pulsion
suicidaire
pour en finir
avec
RIEN
Aveugle
passage
 en des abandonnés
d'amours
innocents
sommés
 sur le champ
sans prévenances
au jamais plus
le lien
de la communauté
des semblables
happés 
par la
MORT
mortes
en ses infinis
diversions
basiques
de l'histoire
et ses données
tombantes
vers sa
DISPARITION
temporelles
Il était... .
Maintenir
le pathie
sur ce qui n'en est pas
programmé
( le devenir animal
deleuzien)
et son attribut
de nature
et vu par le Douanier
lui hors
NATURE
natures
et qu'est-ce que
L'ART
d'où vient il et par quel
atout arrive t-il
à main tenir
le distance essentielle
permettant
à la lumière
projetée
sur la souffrance
de la vrai vie
visible visible
de l'autre luttant
contre la
MORT
et finir
dévoré
par l'usure
et la fatigue
VISIBLE
VISIBLE
en la
MORT
mortes
passagers
de la terre à besoin
de son sang
Élevage
élevé par l'adn
de l'attendu
d'aussitôt né
aussitôt
oeil de guerre
pour la
MORT
ce grand maître
Alors nous avons
L'ART
pour ne pas mourir
de la vérité
nietzschéenne
Mais qu'est-ce que
L'ART
la vérité
la
MORT
et 
L'ART
ce qui échappe
en signes
portés
sur la paroi
du sensible
à main tenir
la distance nécessaire
à l'arrêt
des mises à morts
(Axe-d'Abraham)
d'infinies
perditions
au hasard
circonstanciel
de l'insensé
vallée de larmes
des avalés
ducharmiennes
de l'histoire
forclose
sur l'insensé sensé
faire sens
mais qui n'est que
la
MORT
que
 l'ART
donne à
VOIR
sans pouvoir changer
la vérité
aperçue
sur la fresque
au passage
de lumière
des apparences
dantesques kafkaïennes
ou 
mieux de la peinture
et ses thèmes
revenants 
sans cesses
sur la
MORT
en action
main tenir en vie
in memoriam
LA MORT


Toutes sorties
du langage
qui est l'histoire
telle que donné
des mots
emprisonnant
en elle-même
le ce que doit
du maintient
d'après
lui c'est l'autre
et des confrontations
avec l'apparence
des perceptions
conceptualisées
et fixer en lois
de comportements
légiférés
par lui
le même
UN
des uns
en ce qui se nomme
les faits de la vie
telle que perçue
par le sens de l'histoire
d'au début
était le
verbe
La mort de Dieu
et ses préceptes
d'espérances
de foi de charité
au 
TOUT
est permis
en la soupe universelle
du néant
innommé
innommable
et 
L'ART
pour main tenir
la catastrophe
terreur
de vivre
en la vivance
lumineuse
insistant
sur le tenir amour
nature
de la création
donnée 
juste 
ICI
MÊME
D'AILLEURS
pour les aimé(es)
de la
CRÉATION



Alors proématiquement
tenable
en ces mots déterminés
et fixés
d'insaisissables
sens en tous sens
devenus l'insensés
de l'histoire
à la fermeture
des contes
littéraires
et la fin de l'odyssée
et de l'envoûtement
linguistique
remplacé
par ia 
qui n'est pas
l'internationale
anarchiste
mais l'inverse
bloc de marbre froid
des faits 
humains
 trop humain
et qui mènent
 à sa conclusion
d'apocalypse humain
venu posthume
au 
Dieu 
assassiné
(...c'est nous qui l'avons tué... )
pour la liberté
du marteau sans maître
qui est la création
ou pas 
de la main tenant
l'AMOUR
des aimé(es)
exactement 

ICI
MÊME
D'AILLEURS
pour l'image
oracle
du tremblé
d'AMOUIR




Dire après 
TOUT
par le résiduel
linguistique
proématisé
par le hasard
terrifiant
du donné pour tel
morts d'innocents
( les enfants
les animaux
les aimé(es))
et la suite alibabatienne
de la banqueroute
du 
UN
de l'artiste
en dieu sait quoi
de la mise errante
et suicidaire
clos
au dernier temps de la valse
chostakovitchienne
brellienne
des mises bas
pour la
MORT
Qu'est-ce que l'artiste
après
TOUT
et les applaudissements
à une main
et l'autre agrippée
à la paroi d'abysse
Après
l'il y a plus d'apprès
béartien
sur le bord du trottoir
des cd
de l'aura
sans amour qu'est-ce que vivre
veut dire
Jacques 
dormez vous
et laissez le vivant
en chacun sa mort
rilkéenne
ou martinetienne
encor wattever
on the flow
les larmes de la mer
ABANDON


Encre de Chine
crayon
acrylique
sur papier
Fabriano
2025



Proématique D'Amouir


Il s'agit toujours
d'insensé
du sens paradoxal
et cruel de la création
par la nature
ou 
de l'art
 dedans 
dehors
le
JEU
tenant ou pas
en la
BEAUTÉ
que
 d'être
Et qu'importe les milles
et une tentatives
d'extorsions
du réel
visible visible
il est fixé
en sa condition
NATURE
natures
et matières
à créations
infinies
La partie d'échec
de 
Marcel
avec la nature
qui est caduc
par l'approche
combative
rusé et violente
geste 
inutile
insignifiant
infantile
Alors le ready-made
et les facéties
dadas
TOUT
pareil
au cubistes
vers
Noway
et 
Nulpart
sur la terre comme au ciel
On feras comme
le chinois
on repasseras
ou encor
feront monter le
thermomètres
des achats
du simulacre
et du
TOUT
est foutu
de Crément
Et le mal
est
infini
le bien faut 
VOIR
Artaud
attachant sa chaussure
vers le cso
ou mieux le transport
des molécules
suite à la multiplication
des doctrines
ignorants
la docte
et ses invisibles
passages amoureux
et le chemin
abrupte
et très dangereux
pour y accéder
pas pour 
LA MORT
mortes
et vie d'amants 
Alors
secret secrètement
secret
main tenue
par la pathie
et les larmes
héroïques
d'AMOUIR
 donné
pour les aimé(es)
stigmatisé(es)
assassiné(es)
dirait 
Antonin
de la société
lui l'autre
pas celui-ci
et de l'élection
terrible
en la lumière
visible visible
d'AIMER
et bien mon dieu
qu'elle affraire
à clouer la fenêtre
avec la chair 
des aimé(es)
QU'EST-CE QUE
L'ART
de la vivance
tenir hors le rang
 des assassins
Kafka
et le ronronds 
du cercle à lapider
(Y A T-IL DE LA VIE
AVANT LA MORT)
ou encor le constat
de la fuite de l'esprit
du monde
Esprit fuite
qu'est-ce à dire
où est le sacré
et qui encor
main tient 
l'âme
fragile et naïve
en la détresse
insurmontable
des aimé(es)


Tranquille
l'éternité
retrouvé
c'est
 l'AMOUR
et 
Jouvenciel
antre-nous
ce que le petit dessin
fait
VOIR
de la terreur
des pièges
sans limites
de la
MORT
mortes
trou noir
atroce et d'une cruauté
indicible
 pulsant
le néant et le suicidaire
Alors deviner qui vient souper
ce soir
Soyons heureux
et blablatons
sur une dernière
valse 
avec 
L'ART
d'aimer
qui n'à 
RIEN
à dire
et
DEMEURE
en son 
petit dessein



Que savoir sur le plus que 
sachant qu'il se sait 
savant de la teneur de ceux
qui en savent 
d'avantage
que lui
le même
UN
des uns
ce qui va donner
clair et net
le suicide
par le découverte
du voile
de
Saïs
De cela vivre et laisser
la mère tranquille
puisant sans cesse
en sa fatigue 
de création
( dicté par dieu sait quoi)
jumelée
à 
L'ART
depuis le commencement
du
MONDE
certain et assuré
par 
la
BEAUTÉ
et 
l'AMOUR
antre-aimé(es)
bizarrement
visible visible
délectation amer
 devenue
par 
L'ART
à mère
exemple
Gary
Barthes
et tant et tant
contredits
par les dévoreuses
mantes 
rimbaldiennes
et wattever on the flow
de la
MORT
mortes
en son
TOUT


ART
aucunement profane
main tient
Blake
au jardin du
PARADIS
et
Klee
la clé du peuple
qui manque
gardée protéger
par le douanier
Rousseau
contre les attentats
de la
MORT
mortes
en son
TOUT
qui n'est pas
l'Ithaque
de l'aimée
Allons sortons
de 
l'EFFROI
et ses nourritures
terrestres
gardons
 l'OEIL
sur l'abysse
et le 
s'Oeil
des feuilles se ramassent
à l'appel
et ses guides miches pains
de la niche
stigmatisant
les aimé(es)



Encre de Chine
crayons acrylique
sur papier
Fabriano
2025