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2 avr. 2025

En Mémoire


'' La liberté s'allume
dans les ténèbres '' *

De cette manière
plutôt
que celle de lui l'autre
et pas de... .
 préférant
le sans idée préconçue
en forme
de dire obéissant
aux anglicismes
et aux fautes de bases
pour... .
etc cte tec
En fait autres langues de feux
et de circonstances
d'ailleurs
étant toujours le colonisé
de quelqu'un
et celui-ci
en le triturant... . un peu
pour minimum
ouvrir
l'espace temps
à d'autres lieux
et misères
souffrances
inévitablement
y retrouver
les perceptions
à l'origine de la création
du monde
tel qu'il devait-être
avant l'apparition
de la phrase
 sujet verbe complément
Alors
la main à l'oeuvrage
des circonstances données
univers
par on ne sait trop 
qui et comment
( poussières d'étoiles
dieux déesses
extraterrestres
Dieu... .)
et l'histoire
dans le ciel à soir
en ses multiples
partitions sur la boîte
à musique
du call de l'orignal
Et de l'oubli
et des reprises et des à peu près
de ce qui à ou aurait pu être
Alors
il était
là ceci cela
de la mort
et ses convois
milliards trilliards
et des zéros
sans fins
par la terre et les songes 
mensonges
par encor ceux de Franco
mais de l'Atlantide
Ithaque
et du triangle des Bermudes
ou encor
chez les Guermantes
avec le temps perdu 
et retrouvé
le temps de lire
les phrases
du
Conte
et ses premiers arrivant
sorties
tout droit
de la main... .
Et tout cela
va se multiplier
en mémoires et oublis 
(avec e ou pas)
Alors
le livre
et la mémoire du monde
s'inscrivant
avec les mystères
retenus
et graver
dans les synapses
que va révéler
les mythes et la pensé
Et l'écrit sur pierre
papier
et mémoire adn
l'adaptation se codifiant
prenant en compte
le
Conte
histoire
d'à peu près
quelque chose
encor grosso modo
car un éternité
ne serait pas suffisant
pour le raconter
Bref
Dieu
littérature
en ses contes
et histoires
qui se donnent
 à vivre
dans la lumière
de l'esprit
tête étêtée ou pas
de toutes manières
vouées 
à disparaître
Après
TOUT
ces épopées
fresques
du temps perdu retrouvé
et réarranger
c'est selon
ou pas
en cet
IL Y A
il était des civilisations
disparues
et des fins
par 
NATURE
natures
croyances
ou conquêtes
de tribus tributaires
du oui dire
de lui l'autre
et pour 
TOUT
dire
atteindre
le cache ton dieu
de
Valéry
et déjà
voici l'homme
en ses amours
ayant passé outre
aux héros
antiques
et passés dates
et les points forts
virgules compléments
directs indirectes
alors ont repasseras 
comme le chinois
Mao
ou le très bas
avec des préférences
pour un farci
de fautes
servi par
bob et bobette
plutôt qu'une langue
roulée derrière le dos
TOUT
ça
pour dire
enluminer le dessin
de la vérité
en dessein de
dessiner
plutôt
que jamais
l'émotion
action sur le fait
d'aimer
non pas le motif
ou le geste trait
ou les couleurs
au plaisir enfantant
d'enfanter
l'aube et pine
hors de ses gonds
mais pour
la magie
qui se donne à 
VOIR
autant par un gigantesque 
murale
qu'un petit motif
des cyclades
ou wattever on the flow
Enfin 
quoi cette poursuite
du peuple qui manque
et là en ce jour
du très grand doute
du sens de son insensé
quoi que qui
des misères
et terreurs
et
l'EFFROI
que d'être
là-dedans
la
MORT
mortes
et ses folies
mortificatoires
du temps
encerclé
par le
et pour le
Conte
sociopoéticomomique
de la fulgurante 
question
LA LUMIÈRE
variable et dès le début
de cette 
faille dans la nuit 
exaucée
de ses extrêmes
d'infiniment
univers
et là les spéculations
Et bien
trilliards et sans fins
les zéros
et les poussières
de
 l'ART
et ses ajouts
d'inventions imaginaires
qui à l'image
donnée 
d'où où vers où
sur la paroi
des murmures de la vie
qui 
en un souffrir mourir
grave
le conte escomptant
tenir 
ce qui semble bien
ÊTRE



'' L'insolite
est inséparable
 de l'amour, il préside
 à sa révélation... '' **

Que ce temps d'arrêt
cette technicalité
cruciale
et terrible
de la prise technique
du monde
en son conte histoire
au prix
du pris
et sans prière d'insérer
les aimé(es)
de la frayeur
d'abandon
de nos seuls liens
possibles ses affects amoureux
et divins
par des retrouvailles
scellant les coeurs
en des raisons responsables
de nos avancées
mutuelles
vers le plus
d'AMOUR
à la source du
CONTE
maintenant
en se toujours
l'EFFROI
que plus jamais



Ce qui seras
et sans le sens
attendu
qui n'est pas
idéologique
et se donnant 
en timidité
dedans dehors
corps esprit
c'est de cela 
l'ATTENTE
en ce qui bouge
à la bougeotte
héraclitienne
des milles et un souffles
en formation
céleste
bien au-delà
des efforts inutiles
mais nécessaire
obligé
en son
TOUT
de la 
MORT
mortes
des choses
innommées
mal vues
mal dites
quelque chose de la souffrance
d'accouchement
des fausses couches
de tant de quêtes
avortées
déviées
qui sans la disponibilité
apathie
et de reconnaissance
obligeant
la respectueuse
apothéose
du sans problème
de la question
être ou pas
EST
devenu devenir
infiniment
glorifié
par le 
l'EFFROI
doucement apprivoisé
en la vérité
d'élection
somptuaire
posthume
aux abandon
terribles
des aimé(es)
ATTENDRE
ou déjà élu
qui peut savoir



La pensé du temps 
donné
en ses diversions
rythmant
les dansent quotidiennes
de ce que
Rosset nomme
le déni
du réel
et l'art lui y étant accolé
dedans dehors
en toutes parts
reconnues
qui en son soi
est cette lumière
sur la quête du plus 
d'amour en symbiose
avec l'adéquation
du vivant
et ses beautés
d'âmouir
et d'abandons
sous les retours
consentant
à la contrition
des contraires
Enfin
L'ART
EST
ce par quoi
les mots sont en silence
et de coeur gros
main tenu
in memoriam
dans la faille
 pathique
de souffrances



Berdiaev *
Breton **

28 janv. 2025

Pas Dire


De la poésie à la mise
en mots proématiques
ce mélange
éclectique
littéraire et de faits divers
(commun)
dedans dehors
la subjectivation
des faits philosophiques
 sociologiques
sans parti pris autre
que la mise en forme
de l'espace
pictural
qui est aussi 
la résultante de l'ouvert
rilkéen
sur le vivant en tant 
que présence
donnant par don contre don
la possibilité
de la beauté
retrouvée
par le désintéressement
de la donation même
qui est
ce qui ne peut pas
en être autrement
Mozart
ou 
de l'innocence
rimbaldienne
encor
chez 
Wittgenstein
le bout des mots
qui de la culture
au rouet chez le
mahatma 
ce 
TOUT
du monde
d'où on vous attend
(avec une brique
et un fanal)
ou encor
de la misère
qui chez 
Van Gogh
pour le plus connu
mais encor
l'union
du coeur et de l'âme
à son élévation
hors du commun
vers la splendeur
élevée
au dessus
du terrible
advenu inattendu
et 
humain trop humain
de la pulsion
devenue redevenue
l'innommable
(Beckett)
sans nom et hégélienne
maître 
MORT
Alors qu'est-ce que vivre
veut dire
sans l'art
et sans la perception
pathique
de la souffrance
des aimé(es)
en ce qui compose
l'ensemble
du monde
D'où où vers où
ou verrous
Qu'est-ce que les suicides
d'artistes
ou encor 
chez 
Camus
le tenir de Sisyphe 
L'ART
et
LA MORT
chez 
Goya
où la représentation
du sujet humain
dans le contexte
du vivre ensemble
est inséparable
de l'image
et de la pensé
en quête
de solution picturale
et qui n'est que le possible
se réalisant
(humainement)
par la main à l'oeuvrage
Le suicide
ce qui pourrait être
la fatigue
du peintre ou du vivant
en phase terminale
un contre nature
devenu 
NATURE
natures
par le désir de lumière
s'inversant
en retour à l'indéterminé
infini
et terrible
indicible
silence infini
de la terreur
( avec les petits on est
grand et l'inverse)
Gogh
Rothko
Staël
et les milles autres
ayant choisis
d'en finir
avec le non sens
supposé
ou encor une désespérance
du tenir
contre mort
qui est la perte
des aimé(es)
de
 l'AMOUR
qui de la prédation
(vallée ducharmienne)
à la conscience
fragile
et responsable
du vivant
jugé par l'insaisissable
appartenance
à lumière
de 
l'IL Y A
Artaud 
(le bien est voulu,
il est le résultat
d'un acte, le mal
est permanent)
Enfin 
ces mots qui sont 
dedans dehors
qui viennent
de partout
en ce
TOUT
du monde
et qui des multiples
us et coutumes
tantôt ceci cela
où bouge la vie
du passage
en la conscience
du mourir
et pourquoi... .
comment... .
dedans dehors
Suicide
ou métamorphose
incontournable
ou encor
le désir désirant aimé
qui 
EST
sans nom
et l'impossible
fait possible
Et les suicides
appartiennent
à eux les libres
(à chacun sa mort)
Rilke
Ces mots viennent
seuls
en synthèse
du moment
cela aurait pu
en être autrement
ART
de l'inquiétude
pour ce qui 
EST
et veut être
hirondelle ou christ roi
L'ART
de la nature
à la
NATURE
morte
fait voir
par corps esprit
infiniment
en fable conte
histoire
et attrape joie
d'aimer
au risque
de 
Marie Uguay
de l'effroi
d'impuissance
devant le manque 
à retenir
ce qui ne veut pas
mourir
ART
ou encore mieux
la nature
aimée
en tout ses secrets
bien gardé
grain de riz
iris
asperge
pin 
oiseaux
fleurs
ce livre
hors la porté 
des apprentis sorciers
à leurre du t
et du jeu
innocent
naïf
et d'admirer
ce qui devient
malgré toute prétention
ce qui
EST
Au fond 
où tombe
L'ART
en volant
J'ai mis dans ce tableau
tout ce que j'aimais '' *
et du trait à la sortie
du
TERRIBLE
et de
l'EFFROI
qui n'est en somme
que l'indifférence
et le simulacre
de la froide
démission
se donnant à la mort
contre nature
Ceci vu
 en tant de possible
à dire
pour ne pas dire
l'égarement
la perdition
des aimé(es)
après
TOUT


Alors la proématique
du tenir
attente 
et la souffrance
infini
montant dans l'âme
avec les élues
du coeur
par la nature
heureux où les étants
gisent
aimé(es)
ressuscité(es)
sur la paroi
du sens insensé
de la vérité
des choses et d'autres
de la
Poune
et ses souffrances
à Mozart
en requiem
de la réussite
antithétique
du vivant
en particulier les quatuor
ou encor
Le Douanier
vu et aimé
par 
Gaspar
Antoine
et le gang de nonefs 
sur une musique
de la
Bolduc
endossant ce qui va
qui vient
en ce cache ton dieu
de
Valéry
offrant des beignes
à 
Woody
pour son acquisition
d'oeuvres d'arts
Ô
passage
d'en
Barthes
on iras pas vite
à la
MORT


da Silva *