6 sept. 2024

Mixe Média


ART
et que peut-il
après
TOUT
et qu'est-ce que
l'âme
et le spirituel
suite à 
Kandinsky
et le
GRAND
TRI
pour quoi que qui
quo... .
après la
technique 
bloquant fermant
le sensible
in memoriam
Alors
qu'est-ce qu'encor
la main à
 l'Oeuvrage
axe-d 'Abraham
contenu
maintenu
où l'antre-vie
passe
(Le mythe
est contre la victime,
alors que la Bible
est contre )
de Girard
enfin
ART
de la lumière
avant
TOUT
de la
BEAUTÉ
infinie
et toujours
sur le bord
de l'abysse
et éternellement
sans l'heure
ni l'instant
où la fin du monde
se produiras
Derrida
Henry
Sichère 
et tant.. .
Mais que peut
l'ART
contre la loi de la jungle
de la 
DISPARITION
de ce qu'il y auras
après
L'ART
terminant là sa distraction
de pas là
et contre
TOUT
redevenu
totalitaire
NATURE
natures
et ce libre consentement
à la
MORT
morte
le désir t-il
ou bien ou bien
kierkegaardien
et écrire
pour 
demeurer
avec les aimé(es)
et les larmes
de toutes les mers
ravagées
d'apocalypse
Alors


TENIR
et retenir
l'AIMÉ
et puis 
alors
persister
sachant bien
que ce ne seras
jamais suffisante
la dette
envers les aimé(es)
des mots 
pour pas... .
la fin du monde
dessiner
pareil
à une exultation
d'enfants 
errants 
pour que de meurt
la vie se propose
en vrai
et pour de vrais
l'amouir
manducation
semblable au peintre
mangeant ses tubes 
de peinture
et des métaphores
désirant le désir
infiniment
D'où
la vie
au risque de la perdre
dit 
Uguay
ou encor
après
TOUT
et tenir
croyant la voyance
qui s'objecte
à la poursuite
des grandes
odyssées
Qu'est-ce qu'encore
l'ART


Dessin sur papier
Fabriano
(mixe média)

Monde
 à sa transfiguration
ultime
et n'est pas... .
Qui de pas lui l'autre
en de la chance
malchance
et au destinées
destituant
l'esprit
même des pauvres bêtes
en l'en faire
infernal
de la vérité
qui 
EST
suite au
TRI
le déluge
des larmes
in memoriam
des aimé(es)
Il y à
ia techniquement
et les labos
et les misères froides
et infinies
du crie des enfants
aux mises bas
du terrible
Alors
L'ART
et la lumière
de quoi de la
MORT
morte
Delacroix
Ingres
des mondes
retenant
l'histoire
rebut et corriger
des lions des tigres
vers le
Douanier
à contre mort
et
Watteau
poussant Bacon
vers les îles
lumière
lubies 
d'ART
et pourtant
tenir malgré
TOUT
et qu'est-ce encor
que cet
ART
en la nuit des temps
TENIR
les coeurs ravagées
des passants
par l'enfer
et qu'ils le sache ou pas
ne change rien
à l'Enfer
 dantesque
hégélienne
de l'état des lieux
où pour en sortir
de l'enfer
des déguisés
simulant
à la va comme jte pousse
et aux bébelles
muselant
la part d'abysse
ICI
MÊME
D'AILLEURS
Alors 
L'ART
après
TOUT
qu'est-ce que
vous croyez?
Proue et pas de
lumière
sans
L'ART
chemin faisant
outragé
par la fin
terrible
qui échoit
échouant
d'AIMER



IL Y A
la joie des animaux
en la dévoreuse
et la
JOIE
de
Bach
en la
MORT
morte
ou encor
créer
c'est à dire
sans pourquoi
tenir
pour les aimé(es)
cet apprentissage
de reconnaissance
de
 l'AMOUR
donné
et par la libération
de la
MORT
morte
vers l'impossible
justement
d'un petit dessin
hors la horde
barbare
et 
NATURE
natures
ratifiant
le pacte suicidaire
avec la
terre qui à besoin
de son sang
Alors des épelés
et des bombes
et des mouches noires
et cries de dévorations
infinis
contre la nature
lumineuse
aimée 
de
L'ART


4 sept. 2024

Vent D'Où


 

( ...Je n'ai jamais pu lire
en moi lequel est le meilleur,
celui qui donne? celui qui justifie?...)
de Redon
De ce je qui en ce temps
pouvais ce dire je
mais aujourd'hui
peut-on le dire sans honte
et pourquoi je
il est là
sans et avec mon consentement
et remis en question autant de fois
que le soi le veut 
et mieux quand un dessin
se présente de là
seulement
et pas ailleurs
le je peut dire
qu'il est mais sous
la surveillance
du plus grand que
je et que soi
Il y a là 
de vieux signes
et des nouveaux
qui forment
la terrible 
perdition
des aimé(es)
devenus universels
Comment dire... .
l'indicible
et les larmes invisibles
de l'antre-nous
C'est ce qui fait tenir
et dit d'insister
se retrouver 
tous partout
dès qu'un point d'appuis
se fait percevoir
au-delà
de l'effroi
de nos perditions


De l'art après
TOUT
et tenant
de 
RIEN
ce qui du passage
des écourtés
du moment
là en d'impossible
semblables
qu'à distance
d'un dessin
et la vérité
du réel
au quotidien
qui roule vers 
sa finitude
et son dernier mot
capitalisé d'ia
qui boucleras
le dernier retranchement
des créations 
trop humaines
les csos
et la fermeture
de la faille
en sa lumière
exaucée
de la langue de feu
la langue
qui est la maison du lieu
d'accueil
de l'étrange
et du très différent
là lui l'autre tous
ce donner passant
par la part 
des amants
et des captivés 
de la terre
seul cela qui reçoit
et qui tolère
l'antre-nous
des pauvres bêtes
et terribles
du saccages
Mais 
du silence
des enferrés
des justifications
des maux
jusqu'aux sans limites
 limitant
le jeu 
du vivant à devenir
de venir
venir de
en ce qui 
EST
octroyé par le peu
le pas 
au-delà du bien du mal
après
TOUT
qui murmure
en main tenant
le mot de 
l'ICI
MÊME
D'AILLEURS
jugé et entendu
et de meurt en sa
part de non dit
secret
se dévoilant
au dedans dehors
art de la
présence
du sujet
assujetti
à la mort supposé
d'un dieu
humain
et suicidaire
de lui 
le
UN
 des uns
en son abandon
fatal
Enfin
quoi le
Dieu sait quoi
de
 l'ART
après 
TOUT
point d'appuis
l'ABANDON
et de la grande
DISPARITION
et des mots en maux
de la
MORT
morte
et
 L'ART
au après le
CAMP
technique
ia
atomique
ou encor
le sens insensé
des maux
pour le dire
sans fin
l'arrivée des départs
et sans pourquoi
retour 
au sujet de 
L'ART
qui est le corps
à l'oeuvrage
en son corpus
que 
d'ÊTRE
le vérité
en faits et gestes
ou encor
main tenant le peut-il
il ne le peut pas
de là la persistance
à devenir
le difficile
oeuvrage
Et dire de cette manière
sans maniérisme
et pas de ponctuation
et des fôtes
en passant par
l'histoire
du verbe
où est pogné
la fin des temps
Alors
oui 
l'ART
dans l'antre de bébelles
technique ia
et de la
MORT
mortes
de 
l'ART
après le théâtre 
des atomes
terrorisant
le jeu des entrailles
spéculant
sur la valeur du don
de soi
et fini les mots
polissant
la douleurs
de l'uni vers
la nature
à aimer
la beauté terrifiée
par la
NATURE
natures
pulsion de la
MORT
morte
et ses composantes
simulant
l'en vie
d'amour
pour un
Jonestown
chez
 Disney
congelé
en la froideur 
de son permafrost
ou encor suicidé
par l'aide à mourir
deux fois plutôt qu'une
IA
du chapeau de 
Bosch
L'ART
est cet teneur tenace
de la vivance
et du créer
en la
MORT
de la mort
morte
depuis le début du monde
Alors
spéculant
de l'histoire
des héros de la méprise
du compte en banque
quêtant la liberté
d'être en vain
de la vie impôsable 
proposant le lard
contre
l'ART
de l'amour
après 
TOUT



Après
les froids ennuis
schopenhaueriens
et la poésie
du cacaforant
les mots
pour subjuguer
la vrai vie
de sa part d'insaisissable
vivance
tremblante et absoute
de la
MORT
piégeant
dedans dehors
les aimé(es)
et en trait d'union
l'antre-nous
proématique
ayant terminés
le chant des morts
du dedans 
des larmes
et de la splendeur
in memoriam
ICI
MÊME
D'AILLEURS
après 
TOUT

Sentier


... . de toutes 
les misères
et le dire
c'est trahir la trahison
d'en mentionner
l'état
hégélien
de la présence
en la
MORT
morte
qui n'est pas
cette lumière
sur l'abysse
et les tortures
qu'inventent 
l'histoire macabre
du temps qu'il fait
sur
la 
BEAUTÉ
seule
portant la vérité
hors d'état de nuire
et hors le coeur
à l'oeuvrage
créant main tenant
la mémoire
des larmes
et des misères
terribles
du don des aimé(es)
pour la
vrai vie
après
TOUT
ce tout du simulacre
et du faire semblant
que lui pas celui-ci
l'autre
enfin la tragédie comédie
des variétés
consuméristes
marchand 
vers compostelle
changé en pétrole
à la pompe
les pieds dans la marre
à wawarons
en
TOUT
ni queue ni tête
aperçu
et bien vu
par Cézanne
cucubant
les térébenthines
à totomaobiles
Alors
Mais où aller
après
TOUT
et en vérité
suite à la
vérité
en peinture
avec les oiseaux blancs
d'a-blanc
et du 
BLANC
non pas Ryman
que d'Agnès Martin
ou encor
les soleils noirs
d'Artaud
citant
Vincent
citant le corps et ses misères
de
Grunwald
et de ses poursuites
au-delà
de 
TOUT
avec les moyens
 sur le bord
de tous les abysses
avenirs
 Alors tenir
L'ART
qui ne veut rien dire
et ne dit pas
n'à jamais dit
quoi que qui quo
q
le médium
au centre
et ajuster
aux en faires
de la
MORT
morte
et ne tenant que par
un dessin
à dessein de... .


Ce soi
et le tenir
pour la
BEAUTÉ
du passage
en toutes trahisons
et abandons compris
des aimé(es)
IL Y A
et pas que pas seulement
l'ART
les animaux
ces savants
du lieu
et de toutes les maltraitances
stigmatisés
par la
MORT
morte
contre cette chose
dedans dehors
à moins d'un petit dessin
ne demandant rien
ayant eu la mort né
qui est la vie
au quotidien
et sa lumière
la faille où va passer
l'esprit
celui qui du passage
remettant les pendules
 à l'heure
où les aiguilles
passent par la bouche
du chameau
ou encor
ayant décodé
leurre de leurs simulacres
debordiens baudrillardien
artaudien 
et du silence
des appelés
de 
l'ART
et de se terre
à dire
ce qui ne peut 
que ce voir
et celui 
des tensions 
d'à chaque mort
la fin des temps
l'à une guerre
une chasse
assassinat
là une mise à mort
d'exténuation
en la cage
imposable
par le mandater
des troupes
ayant votées
pour lui le même
UN
des uns
ou encor les milles 
et une facette
des déguisements
du vous d'où 
la chose
mortelle
attend son obole
mimant la sortie
pour en finir
avec la misère
de la
MORT
morte
et ses assujettis
aimant les chairs
molles dures
tremblantes
bleuissantes
rougeoyantes
cuites ou crus
du Gourhan 
sur le bbq
des en faires 
des affres et des affraires
du
TOUT
à toujours été foutu
en somme
et en boucle de bouclage
de la souffrance
de 
l'ART
qui pour en sortir
n'à trouvé
qu'un petit dessin
vers 
Nulpart
au secret
initiatique
des trépassés
dès le début
de
 l'ART
de la main ensanglantée
sur la parois
avec les bêtes
dévorées tremblantes
et les cris dantesques
des condamnés
de la 
MORT
morte
et rebelottant
le temps des leurres
autant
que la recherche
de Marcel
la cherche
là où
écrire construire
déconstruire
ou encor
mourir en peignant
la Sainte-Victoire
autant de fois
que veut l'exigence
du passage
vers
Nulpart
où il n'y à jamais
eu de mi-chemin
que milles millions
de tropiques
sur la mer en furie
des mots à maux
L'ART
EST
cette conscience
dont la
MORT
morte
ne veut pas entendre parler
Alors ils elles
eux tous
simulant
les règles du jeu
de la
MORT
morte
et ce
TOUT
et ses fins
d'attrape la
MORT
et ses pulsions
redondantes
au passage
avalant les avalés
de l'art contre
ART
et ses dix versions
main tenant
ouverte la faille
du trou 
d'EFFROI
où l'on peut mourir
éternellement
à moins qu'un petit
dessin
avec les aimé(es)
de la
BEAUTÉ
posthume
à Fiodor
sortie du jeu
et de l'emprise
du
Goulag
et posthume 
à la technique 
IA
du 
Camp 
de la 
MORT
morte emportant la mise
à terre
de l'os de la surproduction
de la machine
à
MORT
Alors
qu'est-ce que
L'ART
et depuis toujours
et main tenant
le jeu sérieux
de l'affraire
des atomes
des camps
 dit rat on
des sans noms
innommés
de la reproduction
du terrible
la mort
infinie des
aimé(es)
en des ruses
et mensonges
là où 
Ulysse
de James
vont tenter le 
Grand Coup
sans dessin
ce qui va maintenir
la
MORT
en lumière
une nuit en plein
jour
Histoire de dire
avec Artaud
les mots
et la cochonnerie
de l'état
des lieux
silencieux du
bourreau
LA MORT


1 sept. 2024

Sur Papier


De 
l'ART
 où
l'actelier
rend la terreur
de 
voir
 mourir
les aimé(es)
qui passent  
avant de crever
la main
sur le murmure
de la parois des signes
rendant très
près
le corps
tremblants
que d'être
et d'avoir été
Amoché
effiloché
de la perte
des essentiels
et puis
l'en dessous
et toujours
là 
passant 
aussi
(on peut mourir
d'être éternel )
Nietzsche
tenir alors
avec le silence
du bruit
des mots
redondants
de la marche
en dire
en rond rond
triangulant
 du carré
et main tenir
le pourquoi dlà
chose
de sauve qui peut
où personne
ne se sauve
de la création
du terrible
à voir malgré
TOUT
la grande dévoration
monde
bête lumineuse
ou pas
de prédation
universelle
des mises bas
où de semblables
t'attendent
avec une brique et un fanal
et en voilà fait
du rêve
un soir d'été
Que ce soit
des chamans sorciers
yaqui ou pas
le grand manitou
de la margoulette
ou encor
alors outre la misère
qui ne finiras jamais
de
Vincent
ou je pense donc je croule
tombe
et aucun enseignement
guide maître
ou je ne sais quoi
du philosophe
dans la dévoreuse
laisser tout espoir
de la sortie
avec 
le cso
concept ou percept
et le seul un dieu
des grottes
pyramides
buildings
tour de Babel
bébelles
Alors
toutes croyances
en quoi que qui
du pot de pisse
abattant les idoles
pour créer
le lui de l'ennuis
et de l'insipide
nomenclature
des idées mortes
inutiles
coups d'épées dans 
la marre à wawarons
de la souffrance
et bien
que de la
MORT
morte
L'intelligence
littéraire
n'est que la fin
du mot
le pot pisse
renversé sur la tétête
étêtée
de la
MORT
morte
et bien... .
Alors voici
venu le temps
d'aimer... .
ou
le
TOUT
est foutu
du petit dessin
d'errance
la main à l'oeuvrage
la nuit en plein jour
sans le
Magritte
de l'ennui
mieux un 
Varlin
en vérité
et que dire sans les maux
terribles
des aimé(es)
et en empirement
emmieuter



Cercle 
et les cas pris
en amas
hors le champ
du leurre
après 
TOUT
tenir 
et puis s'estomper
vers.. .la fissure
de cruauté
avec ou sans le théâtre
où 
la comédie
tragique
du festin de bobette
et la
Castafiore
culturellement
au père
de la vieille peau
désossé
sur le bbq
point final bâton
Alors créer
qu'est-ce que ça dit
mort et atterrer
de la terre mère
en somme
en ses mises bas
sans amouir
irréductiblement

comme la mort
l'amour
L'ART
et la seule et belle
nature
ce qui veut dire
se tenir respectueux
de cette création
splendide
au-delà du bien du mal
qui n'est pas le mal
ni le bien
qui
EST
avec
 Blake
mais en vain
TOUT
ce qui concerne
et dans tous les sens
Qu'est-ce alors
que
L'art
aux millions
de simulacres
subjugués
épelés
disparus
avalés
par milles facettes
de la 
MORT
morte
Altamira
là 
Rembrandt
et bien entendu
Lavoie
oui qu'est-ce qui
décide
et qui permet
la durée
de la cote monnayée
contre la valeur anonyme
des cathédrales
ou que le diable 
l'emporte
ce qui est en ce jour
où 
TOUT
s'égal
et ce rien
du malheur
nietzschéen
au désert
de
 l'ART
atomique
Qu'est-ce que
L'ART
qui comme l'amour
la
 MORT
sans ce réel
fixé du
CAMP
des morts
du pris en prix
sans prière
en je vous tue
et bien
qui sait un petit
dessin
à dessein
tenir
ICI
MÊME
D'AILLEURS


Cézanne
ou 
comment sortir
du piège
de Bachmann
ou encor
de la folie
de
Vincent
d'Artaud
de Nerval
encor
d'une vie
monnayée
de lui l'autre
non celui-là
ou encore
des dés pipées
de la pipe
ceci n'en est pas une
Alors un matin d'hivers
déblayant l'auto
la part de combat
se crisse
en cardiaque
vers le
Nulpart
en plein noir
dévorer
dévorant dévorer
et dévorant
dévoré
sans fin
éternel
sans dieu
et l'horreur
infinie
montant dans l'âme
criant d'sos
RIEN
Alors on s'en fout 
de ta détresse
car
LA MORT
morte
tu voie
Est-ce que
tu est
ou pas
Et pourtant
de là
et seulement!


En fin
...'' qui n'envahirait plus
que par admiration ou par pitié...'' *
Alors 
du réel
de la mortvie
au s'oeil
de l'abysse
et des désespérances
tantôt tranquilles
tantôt impossibles
et plus la
DISPARITION
se fait rapide
alors
presse
la suite infinie
du terrible
TOUT
autour
LA MORT
morte
et ses ravages
terrifiants
d'enlaidies
et ce n'est pas 
de l'ignorances
LA MORT
morte sait ce qu'elle veut
et le maître 
MORT
le sait plus qu'eux
avec les petits
avec les grands
en chaise musical
à la courte paille
atomique
Qu'est-ce que
L'ART
et bien une proue
dans le noir
vers la lumière
du coeur
et très naïvement
ICI
MÊME
D'AILLEURS
Cézanne
(C'est effrayant le monde)
Alors
la terre frémie
devant
LA NATURE
natures
sans l'art pour
l'embellie
Tenir 
la nature
aimée
TENIR



Encre et crayon
sur papier
Fabriano


Redon *