14 mai 2024

Filant D'Art


. ...et qu'est-ce qu'un visuel
dit 
Ô
lieu
de la main pensante
à l'oeuvrage
Et que veut que dit
ces mots
données
en toutes erreurs
des us et coutumes
brigandant
des volutes
ou encor
obéissant 
à l'oeil et au doigt
par la nature
 rimbaldienne
et ses désastres
NATURE
natures
par temps techniquement
K.O
en plus des pirouettes
de l'esprit
d'éternel retour
du même
UN
des uns 
serviable et modélisé
au besoin
des us et coutumes
à se répéter
sans fin
quand la 
Chose
est jugé
et sans contrepartie
Voyez bonne gens
la vérité
qu'elle vérité
en
TOUT
des atomes
et des juges et partie
de la
Chose
et l'implication
socioeconomicus
de la prédation
ultime
et bioamalgommée
déficitaire
en vérité
du coeur donnant
mais 
parrêsia
et les arts visuels
aux muses
par quoi le désir
main tient
la beauté
que d'être
ensemble
séparés
par les coeurs 
esprits
devenus 
paradisiaques
en des osmoses
infailliblement
résolues
Enfin
en des citations
disquettes
et des coutumes
en ne pas mais si
qui peut-être... .
Bref 
Pascal
et la
MORT
en son néant
de 
VÉRITÉ
cézannienne
et les chaos de couleurs
en  bout de
 piSSe
Et toute vérité
n'étant pas bonne
à dire
par les mots qui eux
ne mentent
Alors 
Ceci par contre
n'est pas
de l'IMAGE
qui 
SEULE
alors après la fin
de quoi que qui
Qu'est-ce que
L'ART
ce mensonge pour ne pas
mourir de la vérité
qui
EST
chez le peintre
de la Sainte-Victoire
en trans-parence
devant la nature
et ses attributs
d'accueils
en toutes ses parties
constituantes
AMOUR
géométrie
toute émotive
en rose 
des vents
par le naufrages
Noway
et le temps
fixé en son rythme
de croisière
vers les 
Galantes
ou encor
Ithaque
en symbiose
pour la fin de l'histoire
et la vérité
du 
Conte 
de
l'ESPRIT
SAINT
qui sait peut savoir
IMAGE



... .de cela et sachant 
que cache
 ton point d'appuis
par la vanité
du lieu tripotant
de la guéguerre
ignorant la
MORT
qu'elle n'ignore pas
alors
le repos des gentils
prétendant
de la bastiflore
( basta et flore )
chimiqué
de l'hommerie
et bien la conduite
de la grappe
agrappant diantre
le diable par la queue
de qui fait l'ange
fait le diable
filant l'
ART
et les restes
en rebâtit
de l'esthétique
éthique
posthume
au pourquoi
NATURE
natures
naturant le récit
qui se termine
par 
Qu'est-ce que ça
représente
avec
Alain
et ses crayons 
de futur antérieur
ou 
Alain
Chartier
Émile Auguste
sur feuille papier
métissé
d'AMOUIR
Perdre la trace
effacer
et conserver
la 
LUMIÈRE
le lumineux
hors de 
TOUT
doute
À moins que 
'' Savoir c'est savoir
qu'on sait '' *
la main 
à l'oeuvrage



... . et certain que filant
L'ART
qui n'est pas
TOUT
bien entendu
comme le veut
le vent 
et autant en emporte
le main tient 
du gouvernail
vers 
sa nuit
légitime
et 
du noir 
(le même depuis le début
du monde)
les couleurs
dont avait très peur
Cézanne
que s'arrête
la vie bouffée
par le chiasme
des aquarelles de la
FIN
Rothko
réalise
mieux que
Malevitch
la mort du seul'Oeil
qui restait
après la sortie du paradis
Alors main tenant
refaire
Poussin
sans 
Cézanne
et moins encor
Rothko
De LÀ
et 
D'AILLEURS
comme toujours
et bien... .



Crayon encre de Chine
sur papier
(pour le site
a-blanc blog)




Alain *

Et Les J


Jaune as 
et les tournesols
sous les verts où s'aiment
et
 porte ouverte
sur l'emmurement
de l'en faire
pavé à l'intention
du dedans dehors
des prix qui pris
sans prier
gare Saint-Lazare
monnaie ayant cultivé
ses sorties
déraillées
du temps
posthume
et chagriner
de la fin 
du
VOIR
en
L'ART
D'AIMER
la vérité
toute crue
du bbq
sans croire
à cette
CHOSE
ignoble
qu'est la politique
de menant mené
maître draveur
à l'abysse
des suicidés
intemporels
de l'instant 
erroné
au passage
déshabité
du naître
proématique
donnant naissance
à la vérité
chair payé
totalement
totalitaire
et ce qui semble 
l'appel de l'orignal
pour la sélection
des épelés
pour la grande 
disparition
qui à court présentement
dans la boite
à synapse
à leurre où la patrie
à besoin
de
Jones
pour la fuite en
Égypte
Alors journaliste
proématiquement
et en arrière fond
L'IMAGE
en forme de désir
pas pour ni pour pas
et pas de pas 
que le
VERBE
avant ou après
cela 
regarde
L'ART
pas en secret
mais par la triade
exaucé
des dieux sévères
Alors
dessine nous des moutons
sur la mer allée
avec... .
encre et crayon
n'importe quel crayon



Et bien
au final
les fins finasses 
de la bande
à gros mots
atomiques
et le spectacle
ayant pris de bord
et de travers
le 
TOUT
fermé
en bloc 
cerclé
d'apocalypse
 alors
il était
la vérité
de la
MORT
morte
passé au
TRI
d'à reprendre depuis
le début
de qu'est-ce 
L'ART
qui n'à jamais été
qu'un 
JEU
d'enfant avec
LA MORT
et 
le rire de
BATAILLE
ou encor
de
 l'ART
Impossible
les mots
TOUT
simplement 
NUL
qu'économiquement
K.O.
technique
et la chair est de beaucoup
passée date
posthume à la biochimie
médicalofoucaldienne
et en la raison
de l'intelligence
artificielle
rayant la mémoire
du corps
et l'agonie de sa faim
céleste



... .et de la simulacreté
d'il y a
oui mais de mort fraîche
au gré
des vents mauvais
où passe
sans le voir
sans même lui dire
bonsoir
et il à tant de peines
où la
Poune
posant en odalisque
pour
Manet
autrement dit
le cercle hégélien
fermé sur lui
le
même 
UN
des uns
führer 
ou encore
Rosset 
et la dépression
climatique
du temps
peu propice
à la culture
des pommes de terres
pour les mangeurs
attablés au tableau
de
Vincent
Encor 
le dr Gachet
ayant fourni
le révolver
qui m'y fin
au champ de blé
aux corbeaux
La défaite du peintre
Frenhofer
et le sens 
terrible
de créer


Thèmes propos
de pas du
TOUT
des mots du verbe
inaudible
et sans contenus
que de la 
redite
évidé
d'essentielle
et la langue coupée
ou pas
du peintre 
ou
 watt ever on the flow
avec le temps
qu'il fait 
sur le tableau
de bon art
et sur le schisme
des scories
de la belle au bois
dormant
NATURE
natures
et la multitude
à contre lumière
au grossie
d'autant en... .
Encor
regarde bien petit
histoire
de triche
et de la multiplication
Alors devine qui vient
souper ce soir
et par la suite
grotesque
et bien 
L'ART
au poulailler
des murs 
murmurant
l'argent du pauvre
Vincent
tentant de rebrancher
l'alimentation
au cerveau
des mangeurs de pommes
de taire
et des en
Muray
festifs
du dernier repas
Bref de la redondance
à la manière
des milles en nuits
au sortir
du musée
En fait madame
ce qu'il y a
de mot rose
et d'entourloupant
c'est 
cette misère
dont à besoin
le bon monde
pour cassé le pensé
y
après 
TOUT
Et ce seras artificiel
et apocalyptique
fermeture
des failles de la fontaine
de joue 
pense
De là
et en vérité
si convoitée
par lui le même
UN
des uns
étêtant
l'éternité
par la question
final
Qui est
Dieu
se répétant 
d'avoir été incompris
mais beaucoup prié
de... .
Et bien obéir désobéir
est sans commune 
mesure
avec la joie
d'AIMER


Images


En croyant ceci cela
dans ou hors ce lieu
où 
Bosch
à déjà
avec la gente
symbolique
de ce temps
Nef Des Fous
et le les délires
des us et coutumes
fixés d'éternités
Alors
IL Y A
par la joie
après
TOUT
qui va se présenter
en
NATURE
cruelle
et remplie
de métamorphoses
de là lui
l'autre pas
celui-ci
non mais
QU'EST-CE QUE
l'art
peut bien apporter
suite à sa mise
en plie
du retour à la case
effusif du sujet
posthume
proématique
ATTENTE
blanchottienne
premier
sujet de la
DISPARITION
étêtée
de la
MORT
morte
Alors vieille âme
la main à
au
s'Oeil
allongeant
la 
BEAUTÉ
toute en poussières
d'errances
et de doute
s'affermissant
et très
à propos
de Rilke



De ceci découle
en faôtes
toutes confessées
et 
réparties
proématiquement
en final
vu la par 
les cents erreurs
et les gras durs
d'errances
bien assurées
par la partie
de
Sam
et l'attente
Godot
tandis que
Godart
toute en dulciné
par le
SILENCE
du muet
et dans le pli
de
Gilles
et ses rhizomes
et la pellicule
du dire
pour
L'IMAGE
fixe
pas de 
Warhol
ou encor
et bien mieux
la synthèse
de
Tarkovski
et 
Bach
en que ma joie demeure
ne meurt
au rythme
de la grande musique
qui
 Monteverdi
au coeur
du
MONDE



Enfin
tenant
par les grandes
cueillaisons
de la
BEAUTÉ
merveilleuse
du passage
 lyrique
à fleur de pot
tenir 
pareil
à la boussole
indiquant
la perte du nord
et les consolations
impossibles
de la terre
en manque de réciprocité
de tendresse
et de respect
du piège
à mouroir
NATURE
natures
et la
 ''nature'' *
AURORE
après
TOUT



 nature toute *
de vérité
sur la muraille
à dessins
depuis le commencement
du monde
mains rouges
dessinées
de sangs chauds 
de suifs
offert 
Le
SACRIFICE
(Tarkovski)

Temps Et Ratures


Poussières
de musée
et des amuses
goyesques
et qu'est-ce qu'une 
chose 
peinte par
Goya
depuis des lustres
et de la
lèpre
de surdité
de l'aveuglement
des ans
et peindre ce que l'on 
ne voit pas
ou encor
par l'abîme
que d'être
et de tenir
par petits dessins
in memoriam
et à jamais
plus ce jeu
cruel
en des tortures
d'abattoirs
Mais 
la vie vaut pas dl'â
marde
et rien ne vaut la vie
ou encor
que sont mes amis
devenus... .
Alors esthétique tique
à cliques
que claque la voile
aux vents mauvais
Lestié
parlait du
 tomber... .
mais d'où
d'en haut où d'en bas
tenir c'est voler
en tombant
vers sa tombe
Et en vérité
le petit dessin
qui est plus que
TOUT
depuis 
le 
SEUL
antre-nous
pour comprendre
ayant compris
le non comprendre
que le point d'appuis
comprend



Qu'est-ce que la naïveté
vu et revu
par la
Poune
et dirigé
par oeideguerre
 capté
par le petit déplacement
de
Rousseau
en
Pierrot
chez Gaspar Hauser
devant la mort
de Trotski
chez la belle
Frida
et tout ça
enseigner
aux universités
des absences
intelligentes
formatés
de raisonnables
passions
pour ce qui se présente là
tout en vert kaki
sous la houlette
des maux de Martinet
petit oiseau
ayant bien connu
Cioran
et chiasmes
de ma tu vu 
passer secret
avec 
Philippe
vers maométait
du déjeuner
sur le 
RIRE
pas drôle
de bataille
en George
et les lapins
de Roussel
(servant tout le monde)
et de... .alors passons
VOIR
si l'antithèse
éducatif
sur lui le même
UN
des uns
répétant avec
 Gide
les mots du passage
hors le
CAMP
des éphémères
Ô
SILENCE
interstitiel
des répétitions
et très précises
vu de la part
insouciante
de la
nature tranquille
et certaine
de la finalité
de tous ce beau monde
en somme



La forme 
indique
en son jeu
sérieux
la conduite
élémentaire
pour la fin
pascalienne
sous la prétention
mineur
des silences
pas politique
mais 
NATURE
natures
et pas besoin de consenti
au temps perdu
de la fin de l'or
 en
 b'art
ce bastion 
de lumière
demeurant 
LUMIÈRE
près du
PARADIS
celui de
Kafka
pour ne nommer
que lui du rire
et des faims dernières
moléculaires surveillées
par le grand chiasme
univers infini
du 
DIEU
crachat 
Bach
pour les musiques
informatisées
des moments
de vérités absolues
mathématiques 
matées 
par les élucubrations
errantes
en temps de poètes
moléculaires
et hors le
TOUT
 petites cellules
capitonnées
de martyres
subventionnés
par l'état
en tant que voyant
dlà vent nos gens
Mais
les mots
du
VERBE
demeures
gardes protèges
le mystère
ce secret
main tenant
sur le
s'Oeil
le d'Oeil
des aimé(es)