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14 mai 2024

Temps Et Ratures


Poussières
de musée
et des amuses
goyesques
et qu'est-ce qu'une 
chose 
peinte par
Goya
depuis des lustres
et de la
lèpre
de surdité
de l'aveuglement
des ans
et peindre ce que l'on 
ne voit pas
ou encor
par l'abîme
que d'être
et de tenir
par petits dessins
in memoriam
et à jamais
plus ce jeu
cruel
en des tortures
d'abattoirs
Mais 
la vie vaut pas dl'â
marde
et rien ne vaut la vie
ou encor
que sont mes amis
devenus... .
Alors esthétique tique
à cliques
que claque la voile
aux vents mauvais
Lestié
parlait du
 tomber... .
mais d'où
d'en haut où d'en bas
tenir c'est voler
en tombant
vers sa tombe
Et en vérité
le petit dessin
qui est plus que
TOUT
depuis 
le 
SEUL
antre-nous
pour comprendre
ayant compris
le non comprendre
que le point d'appuis
comprend



Qu'est-ce que la naïveté
vu et revu
par la
Poune
et dirigé
par oeideguerre
 capté
par le petit déplacement
de
Rousseau
en
Pierrot
chez Gaspar Hauser
devant la mort
de Trotski
chez la belle
Frida
et tout ça
enseigner
aux universités
des absences
intelligentes
formatés
de raisonnables
passions
pour ce qui se présente là
tout en vert kaki
sous la houlette
des maux de Martinet
petit oiseau
ayant bien connu
Cioran
et chiasmes
de ma tu vu 
passer secret
avec 
Philippe
vers maométait
du déjeuner
sur le 
RIRE
pas drôle
de bataille
en George
et les lapins
de Roussel
(servant tout le monde)
et de... .alors passons
VOIR
si l'antithèse
éducatif
sur lui le même
UN
des uns
répétant avec
 Gide
les mots du passage
hors le
CAMP
des éphémères
Ô
SILENCE
interstitiel
des répétitions
et très précises
vu de la part
insouciante
de la
nature tranquille
et certaine
de la finalité
de tous ce beau monde
en somme



La forme 
indique
en son jeu
sérieux
la conduite
élémentaire
pour la fin
pascalienne
sous la prétention
mineur
des silences
pas politique
mais 
NATURE
natures
et pas besoin de consenti
au temps perdu
de la fin de l'or
 en
 b'art
ce bastion 
de lumière
demeurant 
LUMIÈRE
près du
PARADIS
celui de
Kafka
pour ne nommer
que lui du rire
et des faims dernières
moléculaires surveillées
par le grand chiasme
univers infini
du 
DIEU
crachat 
Bach
pour les musiques
informatisées
des moments
de vérités absolues
mathématiques 
matées 
par les élucubrations
errantes
en temps de poètes
moléculaires
et hors le
TOUT
 petites cellules
capitonnées
de martyres
subventionnés
par l'état
en tant que voyant
dlà vent nos gens
Mais
les mots
du
VERBE
demeures
gardes protèges
le mystère
ce secret
main tenant
sur le
s'Oeil
le d'Oeil
des aimé(es)