3 mars 2024

Sapience


La danse
avec 
Friedrich 
Plâtre De Paris

... .et sur la faille
de ce qui apparait
d'en réalité
Samsa
ou encor
croyant ceci
plutôt
que cela... .
La vérité
et bien
Héraclite
et la métaphore
ou encor
le réel et la
doublure
rossetienne
enfin
tous ces percepts
et non concepts
philosophiques
interminablement
à dire dite 
et ne parle pas
alors 
que l'énergie
de vivance
est pure
création
ICI
MÊME
et vie damant
la piste
de ces instants fugaces
où l'oubli
ce général
au service
de la
MORT
règne sur l'avenir
du sinthome 
et là quand
James reprend le
TOUT
et bien
le grand maître
absolu 
la
MORT
reprend sa guéguerre
infinie
en passant par l'état
des lieux
qui 
TOUT
comme disait
le poète
un étirement 
imposable
de la monnaie vivante
qui des anarchistes
en font l'objet
problématique
du
TOUT
les mots
(maux)
Qu'est-ce que
L'ART
en pleine lumière
allouée 
et qu'est-ce que 
la
LUMIÈRE
chemin donné
et pas certain
d'y tenir
plus que la moyenne
au pas 
des guerres
de la survie
corporelle
tandis que l'esprit
(l'âme)
attend d'en agrandir 
l'espace
l'air et l'imaginaire
qui va 
( le tour d'écrous
de James)
pas Joyce encore
cela de l'Irlande
va venir
et faire histoire
d'IL ÉTAIT
la religion
et ses belligérants
Enfin
histoire
humaine
et ses croyances
à l'esclavage
se libérant
de l'envoûtement
d'Art-Ô
ou encor
de la culture
sous tutelle
de ce compte
en collaboration
avec
LA MORT
et l'état
hégélien
de ce passage
en faille
abyssale
Ce qui des mots
pour dire
quoi... .
et à qui
et ce pourquoi
tant d'insistance
à main tenir
l'AMOUR
et bien 
l'ABSOLU
EST
sans raison
demeure
l'impénétrable
mystère
Lacan
le dirait
 sans progéniture
et sans projet
(projection
jet (de pierres
d'univers ou 
d'apocalypse 
ou encore
d'attente
ou d'attentats
commit 
en dieu sait quoi... .)
C'est de danser
sur le trait
de luminosité
kafkaïenne
et avec
Proust
faisant lire
Céline
qui n'est qu'un style
devenu célinien
marquant 
la littérature
de ses invectives
contre
LA MORT
et tant d'autres
au passage
de la
JOIE
de créer



Seul un ART
peut encor
nous sauver
de quoi... .
LA MORT
règne
en des histoires
de vampires
de pas lui l'autre
sur la brochette
des épelés
aux festivités
de prise
du
UN
des uns
anthropophage
trou noir
de la dernière
période de
Goya
corridas
pantins
décrépitudes
funeste
farce
sur les échasses
des meneurs de troupeaux
au champ du signe
et des peanuts
pour chanter alouette
en fauche couche
Enfin
L'ART
EST
LUMIÈRE
détestée 
de la
MORT
tas d'elle
et le principe
du bouc 
du taureau
dans l'arène
et du labyrinthe
ou l'abattoir
du passage
à l'enfer des affraires
pavant
la promesse
de l'aube et pine
décrite
par Roth
et gloutonneries
et viscères
d'entrailles
et fini
L'ART
EST
désagréable
et désagréer
et démis 
de ces ponctions
linguyalles
bon que pour un petit
dessein
à dessin
d'AIMER
amor fati
et la danse
d'amouir
pour le
BEAUTÉ
des (chéri(es)



Traits de Nuit
en plein jour
au triage
d'AMOUR
l'éternité
retrouvé
antre nous
en pleine élévation
de sapience




 

Monte Et Verdi


L'En Barque
en
TOUT

Vers posthume
les îles
d'AMOURS
et pour le dire
dans tous
les sens
insensés
de la
VIVANCE
alors
ce qui va se présenter
et bien
le degré
sous zéro
du
CONTE
de ce qui ne tue pas
qui veut vivre
après
TOUT
tant que la
BEAUTÉ
visible
VISIBLE
demeure
malgré
TOUT
en
UN
des uns
croyant que qui quo
bout y a un autre
boue refaçonnée
qui se recrute
pour les tranchées
du mourir
en somme
et le retour 
du même 
UN
LA MORT
sous le soleil
tyrannique
d'atomes
festifs
en fins dernières
ART
ICI
en forme
pas informelle
mais
proématique
Et petits 
dessins
sous les auspices
de signe signes
où dire
ne dit rien
en son
TOUT
LA MORT
et
 l'ART
va chemin faisant
vers
 l'EFFROI
s'aimant
de la joie
à savoir
AMOUIR
au première loge
condamné
avec l'oracle
en pleine énigme 
du peu
qui
EST
noyé
en l'infini
jamais plus



Dessin
fossiles
de
 l'ICI
MÊME
D'AILLEURS
et écrit cri
ça ne veut
rien dire
rognures de mots
de larmes aussi
perdues
les chéri(es)
vide de sens
et ce qui vient
cette histoire
en conclusion
débilitante
gênante
ridiculement
atroce
ruines et pas
d'agonie
TOUT
doucement
le troupeau
TOUT
en folie
DES MOTS
dans le désert
des coeurs
râlant
du souffle
essoufflé
TOUT
en poussières
maintenant
d'errance
infini
(Pascal
plus que
Montaigne)
 Peut-être que
 le non sens
est le jeu,
négation
de la négativité
comme le pensait
Derrida
enfin
pour taire
la terre
et ses misérables
embellies
par la
MORT
NATURE
natures
en 
TOUT
ses attributs
festifs
vers l'abattoir
de lui 
l'autre pas non
ceux-là
sur les étalages
de
 l'EFFROI
d'eux pas nous
qui par tyrans
interposés
LA MORT
par détresse
en folie
suicidaire
Jonestown
téléguidé
de la
MORT
Mais qui la
MORT
en la 
DISPARITION
PERSONNE
PAUL


2 mars 2024

Attraits Diffus


... .de tous petits desseins
au temps qu'en demande
la
MORT
 qui ogre
 en son
TROU NOIR
triant
sangs chauds
et pierres
céleste des coeurs
à jamais
égarés
et sans retour
aux deux chemins
de la vie
brumeuse
et corps
chamboulés
des déguisements
d'un Je qui ne veut pas
dire du
TOUT
Ailleurs
où aller
exactement
ne pas trop
se dépêcher
à réussir
pour ne pas aller
plus vite
que la
MORT
et réussir
devant ce qui
EST
de na pas
ÊTRE



... . ce qui se donne
ce désir
éternel
en milles nous
de constances
LES MÊMES
d'AILLEURS
en  
SILENCE
malgré
les mots
et les images
juste pour 
le
PARADIS
diffus
en particules
de bruines
sacrées
et bien perçu
de la
VRAI VIE
éternelle
fragmentation
de 
l'AMOUR
devenu
insaisissable
pour la
MORT
et qui forme
ce peuple
qui manque



L'horreur se dit
mais l'amour
demeure indicible
et l'essentiel
n'est pas sur l'image
entre
TOUT
et 
L'ART
l'antre en nous
c'est delà
D'AILLEURS
et de partout
toujours
en tous les ports
d'univers
éternellement
NOUS
aguerries
de nos blessures
infinies
passons 
les parois
de misères


Rendre visible
la
MORT
qui commande
le festin
du feu
de la guerre
monnayant
le ciel
pour la destruction
de promesse
étoilée
des tyrans
dérangeant
la proématique
qui prend l'air
à la piscine
kafkaïenne
sachant bien
 que le paradis
dont il à été chassé
se profile
hors le verbe
cerclant
le
TOUT
pour l'éclosion
de
 l'AMOUR
INFINI



... .antre en nous
le secret
du dire
secrètement
la main tenue
d'attendre... .


Concept Subjectif


Le Verbe
du à l'image
en 
TOUT
ce que voudras
dire l'acceptation
de l'affect
et du perceptif
de ce qui
EST
là donné
en jouissance
de watt ever
on the flow
au hasard
pour ou pas
poux éléphant
sur le dos
de ce qui
EST
la vie
ceci cela
EFFROI
ou
EXTASE
cela doit-il être
En fait ça se dit
dans le verbe
multiplier vous
et prenez 
la terre est à vous
Alors
le pogrom
et c'
EST
TOUT
Initiés
idiots
ou massifiés
peuples
et tyrans
pour un feu
d'artifice
Ce qui se concepts
là dedans
dehors
c'est
TOUT
simplement
l'apocalypse
et son aurore
nouvelle
Concrétisation
par le terrible
et au
TRIAGE
nettoyage
au retour
d'Ulysse
réécrit
du cri
de l'éternel retour
du sanguinaire
oubli
Et bien parle moué
d'une affraire... .
Mais est-ce bien cela... .
le
UN
en sa réussite
suicidaire
perfection
affectée
d'égo
qui est la
MORT
morte
éternisé
d'insensé
DISPARU



Des choses
et des mots
à maux
Quel est l'importance
du non sens
en un sens
qui tienne 
en point d'appuis
Milles trouvailles
d'initiés
de gloses et de gnoses
niaisant
avec la lumière
toute simple
du jour
Qu'est-ce que veut
dire
l'éclairé
de la
JOIE
d'AMOUR
et main tenir
ou pas
ce mystère
Alors
pas zen
pas besoin de croire
ce qui
EST
es muss ein... .
Le main tenant
ce qui c'est fait chair
matière
transfigurée
par
L'ART
en attente
du peuple qui manque
et depuis
l'intensité
du
VOIR
le visible
VISIBLE
voilà
ce qui quelques fois
porte à croire
que ce qui
EST
caché
se donne
à
VOIR


Anthropogravure
apprivoiser
et tendre
vers l'indicible
chemin
sans chemin
et sans mots
ses saufs conduits
en leurs
TOUT
d'obéis  
pour par le diffus
complexe
universel
de la gradation
ou montée
dedans dehors
en ce que doit
Un oui inouï
au terme
de la poursuite
visible
rendu
VISIBLE