L'En Barque
en
TOUT
Vers posthume
les îles
d'AMOURS
et pour le dire
dans tous
les sens
insensés
de la
VIVANCE
alors
ce qui va se présenter
LÀ
et bien
le degré
sous zéro
du
CONTE
de ce qui ne tue pas
qui veut vivre
après
TOUT
tant que la
BEAUTÉ
visible
VISIBLE
demeure
malgré
TOUT
en
UN
des uns
croyant que qui quo
bout y a un autre
boue refaçonnée
qui se recrute
pour les tranchées
du mourir
en somme
et le retour
du même
UN
LA MORT
sous le soleil
tyrannique
d'atomes
festifs
en fins dernières
ART
ICI
en forme
pas informelle
mais
proématique
Et petits
dessins
sous les auspices
de signe signes
où dire
ne dit rien
en son
TOUT
LA MORT
et
l'ART
va chemin faisant
vers
l'EFFROI
s'aimant
de la joie
à savoir
AMOUIR
au première loge
condamné
avec l'oracle
en pleine énigme
du peu
qui
EST
noyé
en l'infini
jamais plus
Dessin
fossiles
de
l'ICI
MÊME
D'AILLEURS
et écrit cri
ça ne veut
rien dire
rognures de mots
de larmes aussi
perdues
les chéri(es)
vide de sens
et ce qui vient
LÀ
cette histoire
en conclusion
débilitante
gênante
ridiculement
atroce
ruines et pas
d'agonie
TOUT
doucement
le troupeau
TOUT
en folie
DES MOTS
dans le désert
des coeurs
râlant
du souffle
essoufflé
TOUT
en poussières
maintenant
d'errance
infini
(Pascal
plus que
Montaigne)
Peut-être que
le non sens
est le jeu,
négation
de la négativité
comme le pensait
Derrida
enfin
pour taire
la terre
et ses misérables
embellies
par la
MORT
NATURE
natures
en
TOUT
ses attributs
festifs
vers l'abattoir
de lui
l'autre pas non
ceux-là
sur les étalages
de
l'EFFROI
d'eux pas nous
qui par tyrans
interposés
LA MORT
par détresse
en folie
suicidaire
Jonestown
téléguidé
de la
MORT
Mais qui la
MORT
en la
DISPARITION
PERSONNE
PAUL