La danse
avec
Friedrich
Plâtre De Paris
... .et sur la faille
de ce qui apparait
d'en réalité
Samsa
ou encor
croyant ceci
plutôt
que cela... .
La vérité
et bien
Héraclite
et la métaphore
ou encor
le réel et la
doublure
rossetienne
enfin
tous ces percepts
et non concepts
philosophiques
interminablement
à dire dite
et ne parle pas
alors
que l'énergie
de vivance
est pure
création
LÀ
ICI
MÊME
et vie damant
la piste
de ces instants fugaces
où l'oubli
ce général
au service
de la
MORT
règne sur l'avenir
du sinthome
et là quand
James reprend le
TOUT
et bien
le grand maître
absolu
la
MORT
reprend sa guéguerre
infinie
en passant par l'état
des lieux
qui
TOUT
comme disait
le poète
un étirement
imposable
de la monnaie vivante
qui des anarchistes
en font l'objet
problématique
du
TOUT
les mots
(maux)
Qu'est-ce que
L'ART
en pleine lumière
allouée
et qu'est-ce que
la
LUMIÈRE
chemin donné
et pas certain
d'y tenir
plus que la moyenne
au pas
des guerres
de la survie
corporelle
tandis que l'esprit
(l'âme)
attend d'en agrandir
l'espace
l'air et l'imaginaire
qui va
( le tour d'écrous
de James)
pas Joyce encore
cela de l'Irlande
va venir
et faire histoire
d'IL ÉTAIT
la religion
et ses belligérants
Enfin
histoire
humaine
et ses croyances
à l'esclavage
se libérant
de l'envoûtement
d'Art-Ô
ou encor
de la culture
sous tutelle
de ce compte
en collaboration
avec
LA MORT
et l'état
hégélien
de ce passage
en faille
abyssale
Ce qui des mots
pour dire
quoi... .
et à qui
et ce pourquoi
tant d'insistance
à main tenir
l'AMOUR
et bien
l'ABSOLU
EST
sans raison
demeure
l'impénétrable
mystère
Lacan
le dirait
sans progéniture
et sans projet
(projection
jet (de pierres
d'univers ou
d'apocalypse
ou encore
d'attente
ou d'attentats
commit
en dieu sait quoi... .)
C'est de danser
sur le trait
de luminosité
kafkaïenne
et avec
Proust
faisant lire
Céline
qui n'est qu'un style
devenu célinien
marquant
la littérature
de ses invectives
contre
LA MORT
et tant d'autres
au passage
de la
JOIE
de créer
Seul un ART
peut encor
nous sauver
de quoi... .
LA MORT
règne
en des histoires
de vampires
de pas lui l'autre
sur la brochette
des épelés
aux festivités
de prise
du
UN
des uns
anthropophage
trou noir
de la dernière
période de
Goya
corridas
pantins
décrépitudes
funeste
farce
sur les échasses
des meneurs de troupeaux
au champ du signe
et des peanuts
pour chanter alouette
en fauche couche
Enfin
L'ART
EST
LUMIÈRE
détestée
de la
MORT
tas d'elle
et le principe
du bouc
du taureau
dans l'arène
et du labyrinthe
ou l'abattoir
du passage
à l'enfer des affraires
pavant
la promesse
de l'aube et pine
décrite
par Roth
et gloutonneries
et viscères
d'entrailles
et fini
L'ART
EST
désagréable
et désagréer
et démis
de ces ponctions
linguyalles
bon que pour un petit
dessein
à dessin
d'AIMER
amor fati
et la danse
d'amouir
pour le
BEAUTÉ
des (chéri(es)
Traits de Nuit
en plein jour
au triage
d'AMOUR
l'éternité
retrouvé
antre nous
en pleine élévation
de sapience