3 janv. 2024

Victoire Sur Le Vent


Poissons 
Chrétiens
ou qu'est-ce que
L'ART
après 
TOUT
ce 
tout
TOUT
du néant
déguisé
en lui
le même
UN
des uns
et pour mourir
de
RIRE
Quelque de fixé
couler dans le déguisement
des jours des nuits
à naître et à... .
Qu'est-ce que
L'ART
qui ne meurt pas
dans l'œuf
ou dans l'assiette
au triage
du trié
triant
les assassins
de la 
GRANDE MARCHE
MONDE
esthétique
à tuer
et à remodeler
au goût
de la machine
à générer
de la redondance
au quotidien
Après 
TOUT
de la
Nature
natures
OÙ
D'OÙ
VERS
 OÙ
verrous
ou pas
créer
En vérité
Cézanne
à la Sainte-Victoire
et du dripping
de vie
en vérité
géométrique
ou en vain
de veines
ouvertes
en de vertes prairies
l'air les oiseaux
le vent
les bourrasques
des mers
et des pères
perdus
de la reproduction
de l'aura
et cela pourrait
continué
et sans fin
faire parler
l'image
QUI N'EST
QUE SILENCE
abandonné
attendre
c'est mieux
qu'un voyage
ennuyeux
de savoir d'avance
le code
et du premier
10 ans
d'apprentissage
L'ART
EST
MORT
et c'
EST
DIEU
qui la tué
Alors
avec la fenêtre
où se donne
le temps
de la jouissance
amoureuse
LÀ
ICI
MÊME
d'AILLEUR
et
 l'ART
d'allé
chuttttt..... .



Danse
oui
et d'en faire
autant à voir
antre-l'art
donnant
du chemin
pour la promenade
mortelle
ensanglantée
d'existence
LIEU
SACRÉ
pour le prêtre
à l'hôtel
de la sapience
Les génies ses tueurs
en séries
du 
SILENCE
des oeuvres
à laisser
passé
composant
l'ESPRIT
de lumière
retenant
la
FIN
tant qu'ils le voudront
tant qu'ils
maintiendront
le 
Ô
LÀ
de la
NATURE
embellie
par la 
vérité
des larmes
et de la tendre
chair tremblante
et néantiser
par la folie
destructrice
aveugle
en
son maître
absolu
LA MORT
Alors 
pour une walse
avec
Chostakovitch
au 
camp
du
CAMP
en dansant



Anthropogravure
en retaille
et des rebuts
et corps
y git
et rognures
hors d'états
comptables
Créer
que cela le reste
EST
la création
du bon
Dieu
paraclétisme 
enfin
cache ton dieu
dit
Paul
et puis le 
dessin à dessein
de moins
d'outrage
à la
VRAI VIE
exaucée
d'être certain
du moins assuré
des larmes!

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Actelier



... .et des enfanteries
au pas des moments
sacerdotales
bien situés
ô
temps
fugace
éphémère
de la perpétuation
de
l'Oeuvre
ajournée
par l'histoire
à musée
quand 
TOUT
se passe
au suivant des suiveux
des Marquises
aux îles 
Moumouques
L'ennuis
après 
Cézanne
en ces églises
cathédrales
à beaux bourres
aux follow the guide
et bien
l'OEUVRE
EST
cette chose
informative
sur le 
RÉEL
engagé
au
PARADIS
du chemin
du créer
et de la création
de
L'AMOUR
faisant 
d'une côte l'autre
la structure
du mental
vers l'esprit
de lumière
sur la
PLUS QUE BEAUTÉ
que d'être
sommé 
appelé
à tenir
résister
à la
MORT
malgré
TOUT
le soyons heureux
TOUT
est foutu
du philosophe
et puis 
Hegel
emportant
le
TOUT
vers la sévérité
des dieux
du
Dieu
et autant en emporte le vent
dessinant dans le sable
LÀ
VENIR
au-delà
de toute espérance
Infime
présence
du socle
où
se positionneras
l'attendu
d'un temps
fixé en son éternité
de 
Joie
et de 
lumière
sur la sentence
de l'élection
de la
VIVANCE
échappant
aux mailles
à partir
avec les déguisés
nihiliques
du temps
de la
FIN
de l'histoire
et pas que... .
Au triage
les lemmings
passent à l'abime
en 500,000
soldats
sous les atomes
d'une
Nature
( louve de Rome)
dénaturée
par ses enfants
natures
et en reprenant
la mise bas
Enfin
la réalité
bloquée
en sa terminaison
grammaticale
( le verbe)
alors
arrive
les extraterrestres
qui ne sont 
que vu de l'esprit
orwellienne
Le cerveau envahie
par sa caducité
de la méthode
et du chiffre
disquette
spinoziste
et du général machin
histoire
abracadabrante
d'il était avait été
seras
l'homme en ayant
décidé
ainsi
Programme
pogrom
et babélique
dictature
de la réalité
toute historique
monnayé
par son tyran
Et bien la pomme
et son monde pommesque
chassé du 
PARADIS
celui où
Kafka
en indique la
VIVANCE
alors et bien
pas un homme
pas un surhomme
un peintre
angélique
bien vu par
Benjamin
laissant venir
les petits enfants
tranquilles
fatigués
des destructions
mécréantes
de 
l'ART
d'AIMER
l'Éthique
s'il y a
EST
en don contre-don
en la
BEAUTÉ
du
PARADIS
entrevue
par les élues
ayant éludés
la part
que
 d'ÊTRE


'' Il n'est pas de document
de culture
qui ne soit en même temps
document de barbarie '' *
Tenir sachant bien
qu'orgueil
prétention
le
Gros Et Moi
et pas lui
lui le même
UN
des uns
führer
aux milles visages
mussoliniens
ou des acolytes
No Way
bref de politique
Où d'Où
vers Où
déposer
les offrandes
tenaces
et pleines de mémoires
en contre
MORT



Sculpture
en 
Rouge
pour
 (ne tirer
pas camarades)
au s'oeil
d'une aube
terrifiante
et peu propice
à la fin
de 
l'ART
en
SEUL
TOUT
au long
du passage
où tombe
la structure
fragile et naïve
d'AIMER
ceci comme semblable
et s'opposant
instinct d'abord
et l'esprit
la portant au terrible
du mourir
de 
LÀ
au 
TRI
Rilke 
d'à chacun sa mort
et Marie Uguay
la
VIE
au risque de la perdre
C'est à dire
la
Nature
et 
L'Esprit
d'obéissance
à plus grand que soit
là où
le coeur à ses raisons
et où
L'ART
main tient
LE SILENCE



L'enfance
en et par
ses esthètes
exaucés
d'instincts
désenvoûtés
des guides 
et d'apprentis
sorciers
Ce travail
était instruit
de la
FIN DE L'ART
dès le début
alors
pour
TOUT
dire


ACTELIER




Benjamin *

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Libellés :

2 janv. 2024

L'État Atomique



Trois Poissons
d'offrande
histoire
livrée
à la fin
et puis
la puise
miraculeuse
marchant sur les os
pas surréaliste
mais
d'errance
et d'impuissance
à 
Naître
à quoi que ce soit
hors
la perte
immonde
des aimé(es)
TENIR
en d'impossibles
tenues
mozartiennes
ou 
effectivement
Bach
oui 
de là
l'ATTENTE
du vrai
JOUR
lumineux
et rescaper
de la
MORT



Vivre avec la
MORT
en soi
de toute éternité
et
TOUT
ce qu'il en resteras
de cette histoire
et 
DISPARITION
d'un 
Dieu mort
où le diable
emportait en sa nuit
dansante et festive
les corps 
sous un feu
atomique
ou l'adn
au grappin
monétarisé
menant Penaud
sur la drave
de 
Géricault
à son abysse
le
SILENCE
de
 l'ART
de l'image
le seul
sauf conduit
vers l'enfance
d'un
CONTE
amoureux
de la
 lumière
(la flamme d'une chandelle)
aurait
 dit Bachelard
et encor
'' le noir est le refuge
de la couleur ''
qui donne 
l'espace du moment
libéré
des lubies
muséales après
Cézanne
et la pomme
a la cathédrale
de l'histoire
du miroir
des masses agglutinées
d'exceptions
catastrophiques
imagées
du passage
en la
Nature
natures
naturellement
tue
et sous silence
imposé
à la
PEUR
et finir
en
BOOM
mot dit
Car elle
EST
métamorphose
infini
et plein 
d'OUBLI
sans 
l'ART
et qui après 
TOUT
persiste
en son 
cercl'Oeil
et bien
pas de d'échos
lointain
qu'un trouble
lumineux
et 
UN
sans gène
de 
TOUT
justifier
au désir
suicidaire
de l'air et du temps
d'un
CONTE
en attente
socles et poussières
qui n'à pas commencer
et qui se cache
de crainte
d'être écrabouillé
par la sottise
de la
MORT
déguisée
en son
TOUT
d'histoire
calculée
de ruses
et de violences
des uns contre quoi
que qui quo cul
de la synthèse
bouclée
de l'histoire
en sa fureur
étatisée
du diable
au vert
apocalyptique
de la
FIN
sur le tas jouissif
du maître
du monde
la
MORT
Que l'art soit mort
depuis belle lurette
et bien... .
Plutôt possiblement
que 
l'Esprit
de lumière
ait pris la fuite
alors il faudra
bien en retrouver
la trace
hors la bande à bon dos
la clique
à Pierre Jean
Jacques
du cercle des belles fermières
aux arcanes
triturant
le diable par la queue
ou encor
les bienheureux
se croyant les élues
de lui
le même
UN
des uns
Jonestown
et sa main mise sur le sac
à bijoux
NATURE
natures



Ludique
Ô
 parenthèses
d'AMOUR
enfin
de la
Nature
ce nid de Vincent
ou encor
ces utopies
bienveillantes
au passage
catastrophique
des perditions
d'antre-nous
les compliques
amoureux
et des derniers
échos de lumières
sur le 
Grand
 EFFROI
imperceptiblement
LÀ
sur la fin
du dernier bastions
de
L'ART
ayant accompli
main tenant
la faille
de la 
VRAI
VIE
en ce lieu
dantesque
baudelairien
kafkaïen
lavoiesien
sans rire
Ô
éclats
par la main tenue
de l'Axe-D 'Abraham
ou encor
par le don
amoureux
apeuré
par la
MORT
et sa fin
éternelle
et 
l'ART
cet chose
infantile
devant 
la grandeur
du
NÉANT



Socle et Jeu
des mises
antre-nous
pillés
et dévorer
vivant
d'AMOUR
infini
tenant lieu
d'oiseau
en la misère
de l'air
infernal
Nature
natures
troublées
du manque
à
AIMER
car la peur
est sa responsabilité
devant
les poussières
épelées
sans l'appel
de la 
BEAUTÉ
du jour
L'ART
N'EST QUE LE MOYEN
NON LE BUT
du désir
contre
MORT
bien vu!



Publié par à
Libellés :

1 janv. 2024

Antre


Jeu 
antre-nous
tenir
le temps
du retour
à la nuit
de toutes les nuits
par la chance
malchance
par la lumière
L'insaisissable
amour
Amour
AMOUR
AMOUIR
au passage
malgré
l'entretuerie
des semblables
les déguisés
de la
MORT
En ces mots
de maux
Munch
ou
la misère
l'île
d'antre-nous
enfants aux cheveux
blancs
au guet
de 
VIVRE
en vérité
malgré
TOUT
au précipice
des bisons
des veaux d'abattoirs
de l'agneau
du cheval
des chiens chats
de la
MISÈRE
bon... .
Au semblant
des rompus
aux dos
ré mi en soldes
au marché
des brutes
Monde
immonde
d'immondices
et de tous les dangers
mais du proche
et des faussaires
Encor un peu
Lavoie
encor et tenant
tenace
dans la gueule
d'où
s'évanouie
le silence
du
TOUT
festif aux dalles
d'un Chirico
ou 
Frenhofer
mieux le
 Gilles
et du début de l'érection
à l'érection
de la fin
l'ART
ce tenace
créant
du oui
ou comme le veut
l'AMOUR
la tête sur le billot 
portant l'injure
à la
MORT
de lui présenter
cela arrive
son miroir
en peinture
sculpture
ou avec la main
dans le sable
de toutes les rives
dérivant
d'en somme
les mises à prix
Époque
histoire
temps
non
Univers
et sa métamorphose
infini
ce qui
EST
de la lumière
où oser
VOIR
tenant la petite faille
ouverte
par 
le roi
tenu éveillé
pendant
que la reine dort
sur la pointe
clownesque
du fou
de la
VIVANCE
là lui
mort de rire
l'autre
au radeau
de la vague
Hokusai
sous les semelles
devant
Ce qui vient
LÀ
est toujours venus
la
MORT
dont la mort
fait fi
de ne pas mourir
de sa mort morte
déguisée
oui
DÉGUISÉE
en virus
en camarades
philosophes
politicailleurs
tyrans
assassins
par le dos
en masse
et la 
MORT
se donnant la
muerte
sur l'autoroute
des culs-de-sac
enfin... .
Dire 
ce qu'on peut
 ne pas dire
en
SOMME
Qu'importe
l'ART
n'est pas éternel
il
EST
VIVANCE
de lumière
le fruit
défendu
dans tous les sens
mais jamais ingrat
que 
d'ÊTRE
Faire oeuvre
d'un nid
libérer des oiseaux
des animaux 
des îles
pour un
CONTE
hors les déguisés
semblables
mais virulent
de haine
et de violence
amortit
par le code pénal
géré
par lui
le même
UN
des uns
en son
TOUT
pour la
MORT
Dieu 
n'à rien à
VOIR
là
il est mort
et 
L'ART
était son dernier
bastion
Alors
Socles et Poussières
et des bribes
rognures
copeaux
du fixé
en bloc
de
MORT
tel était la prise
du pris qui croyait
prendre
la ville céleste
l'Atlantide
et le
Paradis
dans une tête
d'Arcimboldo
de la fin
des temps
de Sodome et Gomorrhe 
ou bien
suicidaire
de l'ennui
Schopenhauerienne
d'un sans issue
philosophique
ou
de
 l'ART
désintéressé
de l'intérêt
de la spéculation
des ridicules
semeurs de misères
et indomptables
donneurs de
MORT
en la
MORT
de la mort
morte
Qu'est-ce que
L'ART
passage
en dix versions
de diversion
tenant
LIEU
de 
VIVANCE
alors
et bien
FRAGILE
et plein de larmes
d'enfances
échouées
au 
MUR
des murmures
de
 l'ART
Regarder
l'histoire de cette
supposée
donner suite
à plus de lumière
Il n'y en à pas
il n'y en à jamais
eu
C'EST
UN CONTE
passant par 
LÀ
et la
MORT
n'est pas
en bon terme
avec le vivant
qui passe


Nature Morte
fixé
par la
MORT
en pleine
Nature
natures
en ce n'arrêteras
pas le progrès
des poissons
rouges
dans le bocal
des ateliers
rouges
lors de la mise
au pas
du
K.O.
technique
sous les soleils
avancés
des poussières
infinis
Alors qu'est-ce que
L'ART
veut dire
SILENCE
de
L'OEUVRE
qui en dit long
sur l'imprévisible
l'inattendu
de la petitesse
grandeur
NATURE
de la vérité
en
ART


... .et c'est si peu dire
le
SILENCE
de sage comme
une image
et impardonnable
présence
dans la
MORT
Alors
les peintres amusés
de morts certaines
au mur amuré
du temple
ébranlé
par les chevaux de 4
cinq
vers les noires
contrées
de la fin
du
JOUR
en pleine
NUIT


 

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