Trois Poissons
d'offrande
histoire
livrée
à la fin
et puis
la puise
miraculeuse
marchant sur les os
pas surréaliste
mais
d'errance
et d'impuissance
à
Naître
à quoi que ce soit
hors
la perte
immonde
des aimé(es)
TENIR
en d'impossibles
tenues
mozartiennes
ou
effectivement
Bach
oui
de là
l'ATTENTE
du vrai
JOUR
lumineux
et rescaper
de la
MORT
Vivre avec la
MORT
en soi
de toute éternité
et
TOUT
ce qu'il en resteras
de cette histoire
et
DISPARITION
d'un
Dieu mort
où le diable
emportait en sa nuit
dansante et festive
les corps
sous un feu
atomique
ou l'adn
au grappin
monétarisé
menant Penaud
sur la drave
de
Géricault
à son abysse
le
SILENCE
de
l'ART
de l'image
le seul
sauf conduit
vers l'enfance
d'un
CONTE
amoureux
de la
lumière
(la flamme d'une chandelle)
aurait
dit Bachelard
et encor
'' le noir est le refuge
de la couleur ''
qui donne
l'espace du moment
libéré
des lubies
muséales après
Cézanne
et la pomme
a la cathédrale
de l'histoire
du miroir
des masses agglutinées
d'exceptions
catastrophiques
imagées
du passage
en la
Nature
natures
naturellement
tue
et sous silence
imposé
à la
PEUR
et finir
en
BOOM
mot dit
Car elle
EST
métamorphose
infini
et plein
d'OUBLI
sans
l'ART
et qui après
TOUT
persiste
en son
cercl'Oeil
et bien
pas de d'échos
lointain
qu'un trouble
lumineux
et
UN
sans gène
de
TOUT
justifier
au désir
suicidaire
de l'air et du temps
d'un
CONTE
en attente
socles et poussières
qui n'à pas commencer
et qui se cache
de crainte
d'être écrabouillé
par la sottise
de la
MORT
déguisée
en son
TOUT
d'histoire
calculée
de ruses
et de violences
des uns contre quoi
que qui quo cul
de la synthèse
bouclée
de l'histoire
en sa fureur
étatisée
du diable
au vert
apocalyptique
de la
FIN
sur le tas jouissif
du maître
du monde
la
MORT
Que l'art soit mort
depuis belle lurette
et bien... .
Plutôt possiblement
que
l'Esprit
de lumière
ait pris la fuite
alors il faudra
bien en retrouver
la trace
hors la bande à bon dos
la clique
à Pierre Jean
Jacques
du cercle des belles fermières
aux arcanes
triturant
le diable par la queue
ou encor
les bienheureux
se croyant les élues
de lui
le même
UN
des uns
Jonestown
et sa main mise sur le sac
à bijoux
NATURE
natures
Ludique
Ô
parenthèses
d'AMOUR
enfin
de la
Nature
ce nid de Vincent
ou encor
ces utopies
bienveillantes
au passage
catastrophique
des perditions
d'antre-nous
les compliques
amoureux
et des derniers
échos de lumières
sur le
Grand
EFFROI
imperceptiblement
LÀ
sur la fin
du dernier bastions
de
L'ART
ayant accompli
main tenant
la faille
de la
VRAI
VIE
en ce lieu
dantesque
baudelairien
kafkaïen
lavoiesien
sans rire
Ô
éclats
par la main tenue
de l'Axe-D 'Abraham
ou encor
par le don
amoureux
apeuré
par la
MORT
et sa fin
éternelle
et
l'ART
cet chose
infantile
devant
la grandeur
du
NÉANT
Socle et Jeu
des mises
antre-nous
pillés
et dévorer
vivant
d'AMOUR
infini
tenant lieu
d'oiseau
en la misère
de l'air
infernal
Nature
natures
troublées
du manque
à
AIMER
car la peur
est sa responsabilité
devant
les poussières
épelées
sans l'appel
de la
BEAUTÉ
du jour
L'ART
N'EST QUE LE MOYEN
NON LE BUT
du désir
contre
MORT
bien vu!