1 mai 2023

Dessein


Une naïveté
conséquente
responsable
d'autres
après-vous
aux milles
pattes
 une 1
et de couleurs
bariolées
ou encor
éclectique
métissant
du bonheur
de passer outre
à l'héritage
de mort
donné
par les temps durs
sur la froideur
des légumes
sous zéros
le gel 
d'où l'ange vint
annonçant
la doré
de Gilbert
toute en lumière
sortie
des grands vents
du peuple
qui manque
et qui sans progrès
passe s'enracine
hors le retour
du
même
Forte 
ce pense
arrive
en ce qui se réalise
ICI
MÊME
AILLEURS
posthume
à l'être
de ce qui
n'est plus
ne peut plus
n'y ne pourras
de colliers
de mort
d'épuisement
à seulement
vouloir passer
'' Le passé est l'oracle
de l'avenir,
et l'avenir
un interminable
passé '' *
Et de ses peines
indestructibles
interminables
charbons
 dans la machine
juste bon qu'à ça
naviguer
(marin des bois)
dans l'épaisse
forêt
d'ossements
d'amours mortes
trahies
Oups... .
'' Dieu est-il une pure
et simple invention,
une astuce du diable '' **
en fin
quoi que qui quo cul
De cela retenir
l'évaporation
du
TOUT
devant 
l'Oeil
ébloui 
d'en prendre
acte


Fragile
présence
et éphémère
fixité
d'AMOUR
tenir 
par un tout petit
dessin
à dessein
mais fresque
d'appartenance
antres-aimés
de l'esprit
du temps
propre
à l'ART
cette clé
 sensible
de la perception
du vivant
insistant
de vivre
à la lumière
de l'EFFROI
de la
Beauté
d'aimer
Pour cela
et contre-tout
malheur
d'exister



pareil
et claudiquant
l'avancé
corrigeant
mais inutile
avec les grands
petits
et l'inverse
méli-mélo
sans savoir
ce qui semble va
demeurer
un fouillis
ICI
en passant
ouvrant
le passage
des morts
vers le cap
à 
Sam
et Charron
désenvouté
du
Conte
mais obéissant
à + Grand
et bien
prostré
le monde
se termine
prend fin
en sa couche
inapte
inepte
machine
à composter
l'avenir
de la terre 
métamorphosée
en
poétique
d'air d'espace
et matières
se remodelant
tranquille
paisible
en son insaisissable
splendeur
de sa 
NUIT
de transcendances



Valéry *
Nietzsche **

Sang


Et des entourloupes
appelons
l'endiablement
ce qui ce sait
et qui insidieusement
se promène
en 
TOUT
portant ce qui 
se présente
aux misères
infinies
par la
NATURE
natures
devenue à son comble
trépassée
du 
DÉSIR
rassasiée
de terreur
(terre heure)
posthume
de
se pose
sur le socle
d'AMOUR
INFINI


Ciel rougeoyant
dans les herbes
hautes
et feu
etc 
TOUT 
dire sans sang
sensé
le point
certain
où la
MORT
veille
sans promesse
que triste
abandon
plein de larmes
inexaucées
qu'atroces
responsabilités
détournées
par la marche
de crache en l'air
Mais 
et du verrous
d'où
ça brûle
de mourir
et d'en finir
Oui avec quoi... .


Le printemps
de ta
MORT
Saïs
la grandeur
de ta compagnie
à pierre fendre
et battre les coeurs
ce savoir
univers
linceul
simple
et juste
embellie
pour la fin
du
temps
de l'homme



30 avr. 2023

Le Mensonge


Chiffré
du huit
 misérable
vérité
de
 la suite
insensé
en sa dispersion
disparition
d'il y a eu
raccourcie
du cerc'Oeil
et aussi
tant et temps
sachant
bien
la farce
mortelle
d'idiots
en trop
de mouches noires
et de l'insignifiance
et ici
même il n'en manque
PAS
Et ce qui resteras
RIEN
en cette manière
et pas un autre
s'estompe
la
FIN
de
TOUT



La vie ça tient pas
la route
bon à faire 
du sérieux
et pommes de routes
déroutées
trépassant 
le vent
devant soi
d'arrière-garde
de cette même
avancée
en arrière 
Effectivement
en vérité
il n'y en à pas
simplement
la
MORT
et c'est 
TOUT
Joconde
ou je compte
édité
par jean foutre
et pépier
bible ou pète
répète
à perpète
etc cte tec



Il reste 
quelques mouches
respectueuses
et de la douleur
convulsive
d'aimer
Sensations
de ce qui donne
sans regarder
VOIR
tombant
sans atteindre
le fond
Magnifique
celle qui à lutter
terriblement
pour persister
auprès
du feu du coeur
qui finalement
à cesser
s'est rendu
à la
MORT
Nous savions
de toujours
ce qu'est
ICI MÊME
pour
L'AILLEURS
quelquefois
L'AMOUR
EXISTE
mais hors la portée
des humains
ils en ont été
dépourvue
depuis
qu'ils mangent
de
TOUT



Redondance
en ronrons
insiste
le peu pas
de plausible
L'ART
trié
des joueurs
ayant volés
le feu
des morts
(Qui comprend comprenne)
Elle était
stigmatisée
La masse stigmatise
diversion
'' Je suis devenu
plus ou moins
 dans la famille
une espèce de personnage
impossible et suspect '' *
Et la maladresse
du diable
déguisé
en lui
pas lui l'autre
et des pas vrais
zombies
( c'est l'époque)
avant 
des juges et parties
du compost en fait
Madame
chose
Écoute tes gazs
à effets d'enserres
la vrai vie
étouffant
Nature
natures
emboitant
la Castafiore
des éditions
de l'enclume
et du train train
 wagon queue
LA MORT
en vérité!
NON
la lumière
abattue
par cette histoire
facétieuse
qu'est
LA MORT
par ses milles 
pièges
et là
TOUT
en clonage
machinant
le
UN
des uns
En Fin
IL Y A 
L'ART



Van Gogh *

Oeil Pour D'Oeil


Nous y sommes
à l'Aube
d'ardeur nouvelles
aurait dit
pour en finir
de la terreur
par milliards
d'indicibles
zombi(es)
du modo
 baudelairien
dédoublant
la création
par d'infectes
particules
et des menteurs
Combien
de la vigilance
auront survécu
a l'infestation
d'un mal
subtile
 destructeur
de la vrai vie
ICI
MÊME
pas
UN
LIEU
le même
en une fissure
lumineuse
par les désastre
de la 
Guerre
contre
  le souffle
du petit jour
oiseau 
des décombres
dort dur
d'en 
SOMME
d'autres 
le coeur corps
sans crainte
y seront
de nouveau
TOUT
en chéri(e)
TRI
qu'ANTRE-NOUS
de la faim
d'en faire
et trop tard
Combien
de sang chaud
aux vues
d'une supposée
joie
qui n'est que le don
nourrissant
l'impossible
venue
de mouches
à ciel
perclus
de misère
Evidemment
cela ne veut
rien dire
ÊTRE



Stragédie
multipliant
chiffré
Un
des uns
enténébrés
limbiques
En cela
SEUL
en
 mirVOIR
vos yeux dévoreurs
niant néant
du
TOUT
du cul
assassins
des coeurs gros
ces misérables
donneurs de
VIE
Et puis 
quoi... .
auras des allures
de quelque chose
en ce vaste
et malheureux désert
un pas et c'est foutu
 terminé
un verbe
maux dit
Vent 
d'AMOUR
flagellé
d'avoir cru
cuit
d'être né
de l'eau de là
du
 VRAI
le reste 
va suivre
le dictat
infestueuse
 phase
terminale
compostée
disparition
de la 
DISPARITION
du
 fourrage
au chant
beuglant
d'infâmes
ignorances
anémiques
niantologies
du courage
et du bonheur
lumineux
d'être en vie
simplement
QUOI
SOUS PEU
des corps noircis
calcinés
roussies
d'insensé
obéissance
à la
MORT
TOUT
en
douce
vers ce qui est
le
SOUHAIT
MOURIR
en
LA MORT
comme la
NATURE
natures 
en sa destinée
la rose
aux oiseaux
disparus
avec la splendeur
du
RIEN
qui socle
la poussière
perdue
en sa 
DISPARITION
(amour
dévoré
par la prédation
au passage... .)