Une naïveté
conséquente
responsable
d'autres
après-vous
aux milles
pattes
une 1
et de couleurs
bariolées
ou encor
éclectique
métissant
du bonheur
de passer outre
à l'héritage
de mort
donné
par les temps durs
sur la froideur
des légumes
sous zéros
le gel
d'où l'ange vint
annonçant
la doré
de Gilbert
toute en lumière
sortie
des grands vents
du peuple
qui manque
et qui sans progrès
passe s'enracine
hors le retour
du
même
Forte
ce pense
arrive
en ce qui se réalise
LÀ
ICI
MÊME
AILLEURS
posthume
à l'être
de ce qui
n'est plus
ne peut plus
n'y ne pourras
de colliers
de mort
d'épuisement
à seulement
vouloir passer
'' Le passé est l'oracle
de l'avenir,
et l'avenir
un interminable
passé '' *
Et de ses peines
indestructibles
interminables
charbons
dans la machine
juste bon qu'à ça
naviguer
(marin des bois)
dans l'épaisse
forêt
d'ossements
d'amours mortes
trahies
Oups... .
'' Dieu est-il une pure
et simple invention,
une astuce du diable '' **
en fin
quoi que qui quo cul
De cela retenir
l'évaporation
du
TOUT
devant
l'Oeil
ébloui
d'en prendre
acte
Fragile
présence
et éphémère
fixité
d'AMOUR
tenir
par un tout petit
dessin
à dessein
mais fresque
d'appartenance
antres-aimés
de l'esprit
du temps
propre
à l'ART
cette clé
sensible
de la perception
du vivant
insistant
de vivre
à la lumière
de l'EFFROI
de la
Beauté
d'aimer
Pour cela
et contre-tout
malheur
d'exister
Là
pareil
et claudiquant
l'avancé
corrigeant
mais inutile
avec les grands
petits
et l'inverse
méli-mélo
sans savoir
ce qui semble va
demeurer
un fouillis
ICI
en passant
ouvrant
LÀ
le passage
des morts
vers le cap
à
Sam
et Charron
désenvouté
du
Conte
mais obéissant
à + Grand
et bien
prostré
le monde
se termine
prend fin
en sa couche
inapte
inepte
machine
à composter
l'avenir
de la terre
métamorphosée
en
poétique
d'air d'espace
et matières
se remodelant
tranquille
paisible
en son insaisissable
splendeur
de sa
NUIT
de transcendances
Valéry *
Nietzsche **