Et de
MORT
absolue
sans compter
leurre
qu'il
EST
du petit dessin
au son du timbre
le cerc'Oeil
ouvrant
sa résurrection
du sol
venu
des fleuves
ensanglantés
de la misère
des 2 pattes
de boues
ayant tué
Dieu
donnant leçons
aux dieux
ayant l'art
pour ne pas
savoir
la marde où ça sent
le suicide
à plein
d'aux suivants
de la cueillette
Nature
natures
mange ta main
demain
à mains
sang lendemain
Qu'est-ce
que
L'ART
dernier bastion
passé date
en l'infini
DISPARITION
Ceci
LA MÊME
histoire
sans début
ni fin
Une errance
catastrophée
posé
las
d'en finir
avec l'impossible
perpétuation
du leurre
que croire
ÊTRE
autre qu'un tube
digestif
plein
de prétentions
con-postées
Hélas
TOUT
EST
TOMBÉ
de l'arbre
arrasé
par lui
SEUL
des feux
joyeux
de
VOIR
Ceci étant
dit
redit
et crier
le piège
est pris
qui croyait
prendre
la
SOMME
du
UN
des uns
pour
avec
l'AMOUIR
con-senti
à la
BEAUTÉ
du jour
passant
passé
décomposé
en futur antérieur
vers
Saïs
dévoilée
antre-nous
Qu'emporte
le kitch
à sa flagrante
perdition
des faits
Enluminures
autour
de la vérité
sordide
de ta chair
au jardin
d'Apocalypse
Tout
autour
la
Grâce
Saïs
obtempérant
en un petit répit
en forme
de requiem
obsolète
en échos
de
RIRE
étouffé
de la folie
du lieu mortel
rossettante
empire
de
tortures
d'âmcors
agonisant
de trahisons
du
UN
des uns
en jamais plus
Miettes
pour
l'horrible
voyage
tout en noir
infini
d'innombrables
obéir
à la mort
de toutes
les morts
où
l'AMOUR
illuminant
cette
terrible et folle
venue
à qui
TOUT
revient
de revenir
à sa vaine
tentative
de création
'' Écoute ce qu'est
le jour
tu comprendras
ce qu'est la nuit '' *
de la poursuite
de nos amours
égarés
et qui tenaient
de
cendres
et poussières
Saint-Augustin *