25 avr. 2023

Conte D'Histoire


'' La réalité
dépasse la fiction
mais les mensonges
la dépassent bien plus
encore '' *

... . et 
TOUT
débute enfin
de piste
encor
à fin
pareil au 
Conte
histoire
de souffle 
et de vent
à la porte
d'OUBLI
de
en mémoire
vive
ravivée 
par petit
 dessein
de... .
Après
on y arrive
partir
de 
Nulpart
comme toujours
le désir
de Char
demeurant
désir
dans la tranche
lumineuse
du piégé
mensonge
 cité
pour 
Compte
de métamorphose
hors la portée
aveugle
sourde
muette
ICI
MÊME
en
 l'ABSURDE
persistance 
proématique



ici
même
d'AILLEURS
dedans 
dehors
le
Vivant
allant
de profundis 
l'AILE
de 3 
quatre
 pattes
albatros
à contre
 la langue
au feu
d'errance
sans réponse
à 
l'ABANDON
qu'infime
restance
Renonçant
mandaté
sans fôte
 ponctuer
 trempé
 la douleur
en phase
terminale
déchue
qu'échos
de cries
en plus ... .
Pure perte
 présent
sans
 représentation
de quoi
oui 
ou encor
après
100 mots dits 
la
tristesse
du 
PAS
pas encor
'' Thomas s'assit
et regarda la mer '' **
  disparue
 regard
questionnant
l'égarement
où avait
été
le projetée
Et bien 
d'autres choses
perdus
pour des siècles
d'infinis
musiques
 brisées
d'attachements 
à la traitrise
infantile
de la détresse
donnée
au quotidien
incongrue
 virtuel
nature
morte
en bogue
de corps
absent 
des sans ciel



Tremblante
la chair
vivante
restituant
du cadavre
au dernier moment
d'énergie
la force
poussée
a la limite
instants
terrifiants
d'abandon
calcification
et 
PEUR
d'avoir
manqué
le
PARADIS
ICI
juste
ICI



Roth *
Blanchot **

Temps Dit



L'Art par
définition
est sans 
définition 
Moments
donnés
un moment
un don
en sus 
Un présent
sans temps
pour sentir
la joie
quelques fois
d'il était
serais seras
Tous ces beaux mots
 réflexions
jamais ne vaudront
la promenade
distraite
avec le réel 
transfiguré
par le vérité
d'exister
Et les rajouts
ces formes
dubitatives
pour qui sait
mettre en jeu
la marche à suivre
vers 
Nulpart
ou encor
marmonner
se faire
accroire
 et puis il arrive
de se réveiller
devant
la case vide
de la toute simple
présence
d'AILLEURS



Le réel tue
l'imagination
restitue
et tout ce qui est
rationnel
devient
traditionnel
prison
de l'âme
en des mots
 de maux
Signe signes
en d'Oeil
de liberté
pour dire
la main 
à l'oeuvrage
permettant
l'arrêt
de la vivance
dans la
MORT


'' Il est autonome!
Celle-là est bien bonne '' *
et de l'os
et des chairs
en chère
chérie
et de l'histoire
de faire croire
un dieu sait quoi
du 
UN
des uns
modelés
par 
le symbole
créant 
des mécréant
qui vont finir
à genoux
devant un pris
coco
de l'oeuf et la poule
en 
Somme
pour un poisson
rouge
dans
le beau
call l'orignal
Enfin
quoi... .
 

Et des semailles
paradoxales
présences
concrètes
ou invisibles
Kandinsky
ou
Jeff
et ses balounnes
en compte
content
du conte
en fiducie
pour la fin
du monde
qui auras 
LIEU
un jour
en pleine nuit
et temps pris
Reste 
à
VOIR


 
Lacan *

24 avr. 2023

Des Dires


'' On a du mal à savoir
ce qu'on a dans la tète
parce qu'on a que sa tête
pour le savoir '' 

Et après 
TOUT
sans suite
ça va où
ça doit aller
et l'
ART
sans rire
sur le dantesque
appétit
de prédation
de lui
le même
UN
des uns
et juste un petit
dessin
en plein compost
monde 
darwinien
Mais oui
ART
d'en avançant
précipice
à l'horloge
défait
des faits
de madame chose
ART
ce
ICI MÊME
maintenant
l'EFFROI
des froides
arrivées
et chemin faisant
sans laisser
de trace
main tenant
ce qui des restes
Restes... .
Alors maintenir
antre-tenir
l'entre
viemort
des mots
à maux... .
RIEN
ART


Picturalement
avec le doigt
à la réflexion
et ces mots
inutilement 
employés
dans la machine
à brins de scies
au passage
de la ponctuation
désuète
à dessein 
d'un phrasé
conservant
le motif
sans le sens
imposé
par dieu sait quoi
de la 
VRAI
VIE
qui
EST
après
 TOUT
et qui se donne à
VOIR


McCarthy  *

L' Attente


... . le difficile
premier mot
et puis
voilà
ce qui
 d'angoisse
passe 
en travers 
le voile
de soi
tissé d'un temps
accomplie
sans justification
que ce qui à eu 
LIEU
de
le vertigineux
en toute
vérité
du passage
vers... .
ce qui autant
qu'avoir été
ce peu
à sa conclusion
 dessiné
sur la bâche
 de
 l'ART
écumant
des lubies
TOUT
emporte
 le temps
inutilement
présent
De là
et pour cela
semblablement
à James
un tour d'écrou
d'angoisse
à
 ÊTRE
au coeur
du monde
sans pour autant
y trouver
quoi que ce soit
d'élévation
hors la gangue
d'une destruction
massive
posthume
au désir
tout freudien
exaucé
de sa 
DISPARITION
Éternité
alors
main 
tenant
l'impossible
privilège
du 
jour
en pleine
 NUIT


''...il se peut
que nous
 nous anéantissions
dans la tragédie
 de la comédie
 humaine '' *
ou encor
sous
 le sol'Oeil
de satin
et par
la
NATURE
natures
piégeant
les leurres
(à l'heure du thé
des bois
sous l'emprise
de 
PAS
ça 
égal au jeu
sérieux
d'être)
tenir
en doute sur soi
honni
et réconforté
par la toute
présence
ami(es)
étoilés
au ciel
embourbé
aussi
de ridicules
prétentions
alors qu'un tout petit
mot
en lieu
sûr
certifie 
 la
BEAUTÉ
du 
VIVRE
en
ENFER
va sans dire... .
par petit dessin
interposé




Invisibilité
sournoise
mesquine
présageant
(elle le savait)
l'AMOUR
 par angoisse
innommable
 effleurement
du
EST
du nom 
comme
ex-sistence
(Saïs)
dévoilée
 proie
des diableries
du
UN
en uns
 de la prédation
'' L'argent
n'à pas d'idée .. **
au moment
de la représentation
par temps
d'insensées
  catastrophes
bien raisonnables
 multipliant
le bonheur
en larmes
 dévoilant
 l'assassinat
du pour mourir
ignorant
L'EFFROI
piégé
par la
VÉRITÉ
 et ses petites
 musaques 
en dons
 de danse
éclipsée
d'ABANDON



Détachement
du possiblement
vous
d'après-vous
par honte
et qui sait
miroir
et 
TOUT
en ignorance
comment 
autrement
songe... .
PAS LÀ
et sachant
encor
par
d'infimes
moments
 crépusculaires
ne pas y être
à la
 FIN



Balzac *
Sartre **