... . le difficile
premier mot
et puis
voilà
ce qui
d'angoisse
passe
en travers
le voile
de soi
tissé d'un temps
accomplie
sans justification
que ce qui à eu
LIEU
de
LÀ
le vertigineux
en toute
vérité
du passage
vers... .
ce qui autant
qu'avoir été
ce peu
à sa conclusion
dessiné
sur la bâche
de
l'ART
écumant
des lubies
où
TOUT
emporte
le temps
inutilement
présent
De là
et pour cela
semblablement
à James
un tour d'écrou
d'angoisse
à
ÊTRE
au coeur
du monde
sans pour autant
y trouver
quoi que ce soit
d'élévation
hors la gangue
d'une destruction
massive
posthume
au désir
tout freudien
exaucé
de sa
DISPARITION
Éternité
alors
main
tenant
l'impossible
privilège
du
jour
en pleine
NUIT
''...il se peut
que nous
nous anéantissions
dans la tragédie
de la comédie
humaine '' *
ou encor
sous
le sol'Oeil
de satin
et par
la
NATURE
natures
piégeant
les leurres
(à l'heure du thé
des bois
sous l'emprise
de
PAS
ça
égal au jeu
sérieux
d'être)
tenir
en doute sur soi
honni
et réconforté
par la toute
présence
ami(es)
étoilés
au ciel
embourbé
aussi
de ridicules
prétentions
alors qu'un tout petit
mot
en lieu
sûr
certifie
la
BEAUTÉ
du
VIVRE
en
ENFER
va sans dire... .
par petit dessin
interposé
Invisibilité
sournoise
mesquine
présageant
(elle le savait)
l'AMOUR
par angoisse
innommable
effleurement
du
EST
du nom
comme
ex-sistence
(Saïs)
dévoilée
proie
des diableries
du
UN
en uns
de la prédation
'' L'argent
n'à pas d'idée .. **
au moment
de la représentation
par temps
d'insensées
catastrophes
bien raisonnables
multipliant
le bonheur
en larmes
dévoilant
l'assassinat
du pour mourir
ignorant
L'EFFROI
piégé
par la
VÉRITÉ
et ses petites
musaques
en dons
de danse
éclipsée
d'ABANDON
Détachement
du possiblement
vous
d'après-vous
par honte
et qui sait
miroir
et
TOUT
en ignorance
comment
autrement
songe... .
PAS LÀ
et sachant
encor
par
d'infimes
moments
crépusculaires
ne pas y être
à la
FIN
Balzac *
Sartre **