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13 juin 2024

A Villon


ART
sans le ok
de la 
MORT
morte
et ses croques-morts
Depuis la parois
que d'en finir
avec
RIEN
du
TOUT
ce n'est pas du post-dada
mais
de bord
à fait avec
le spectraque
ce qu'il fallait
enfin
de là
et bien
QU'EST-CE QUE L'ART
non serviam
et pas là
où on l'attend
et où est-il en fait
car pas un homme
ou milliards
de têtes étêtées
du passage
pour en sortir
de l'en faire
des tableaux
de la dernière cène
ou crise
avec amer basse
ou si ô rang
en plein coït
et pat
apocalyptique
bien préparé
par le gang
suicidaire
qui s'étant trompé
d'adresse
et bien... .
veules et serviteurs
de la
MORT
morte
ténacité
de la marche aimantée
par le
SEUL
antre-nous
du post-compost
de la prédation
et des opportunités
qu'offre la
MORT
aux épelés
sans appels
pour la création
de la
JOIE
et la merveille
que 
d'ÊTRE
et ceci
antre des arts
 le tragique
de la
MORT



... .qu'est-ce qu'aimer
Chirico
ou
 Friedrich
et la lumière
des autoroutes
à mouches
alors fait moi encor
un dessin
en corps
sans cso
là où l'esprit
veille
et prodigue
ses bons soins
en une exquise
turbulence
hors de prix de la prise
maonétaire
des copies
conformes 
et dans tous les sens
pour
après moi
le désert
du désert de 
Nietzsche


Riche ou pauvre
ennuis
et chaque jour
sans créer
et bien c'est
LA MORT
morte en sa nuit
des faits
Et alors
qu'est-ce que
L'ART
la bite sous le bras
de
Jacques
et des restes de 
Léo
pas Castelli
mais des 69 arts
après mai
et tous les tueurs
d'idoles
de l'égo
tentant de faire
socle
ou stèle
et bien c'est déjà
fait
Autre chose
que des croques-morts
svp
non pas de roi
de la 
bécosse
Alors
...que Dieu nous veille
absoudre... 
et Villon
à ce que la lumière
de meurt
allumée


24 avr. 2023

L' Attente


... . le difficile
premier mot
et puis
voilà
ce qui
 d'angoisse
passe 
en travers 
le voile
de soi
tissé d'un temps
accomplie
sans justification
que ce qui à eu 
LIEU
de
le vertigineux
en toute
vérité
du passage
vers... .
ce qui autant
qu'avoir été
ce peu
à sa conclusion
 dessiné
sur la bâche
 de
 l'ART
écumant
des lubies
TOUT
emporte
 le temps
inutilement
présent
De là
et pour cela
semblablement
à James
un tour d'écrou
d'angoisse
à
 ÊTRE
au coeur
du monde
sans pour autant
y trouver
quoi que ce soit
d'élévation
hors la gangue
d'une destruction
massive
posthume
au désir
tout freudien
exaucé
de sa 
DISPARITION
Éternité
alors
main 
tenant
l'impossible
privilège
du 
jour
en pleine
 NUIT


''...il se peut
que nous
 nous anéantissions
dans la tragédie
 de la comédie
 humaine '' *
ou encor
sous
 le sol'Oeil
de satin
et par
la
NATURE
natures
piégeant
les leurres
(à l'heure du thé
des bois
sous l'emprise
de 
PAS
ça 
égal au jeu
sérieux
d'être)
tenir
en doute sur soi
honni
et réconforté
par la toute
présence
ami(es)
étoilés
au ciel
embourbé
aussi
de ridicules
prétentions
alors qu'un tout petit
mot
en lieu
sûr
certifie 
 la
BEAUTÉ
du 
VIVRE
en
ENFER
va sans dire... .
par petit dessin
interposé




Invisibilité
sournoise
mesquine
présageant
(elle le savait)
l'AMOUR
 par angoisse
innommable
 effleurement
du
EST
du nom 
comme
ex-sistence
(Saïs)
dévoilée
 proie
des diableries
du
UN
en uns
 de la prédation
'' L'argent
n'à pas d'idée .. **
au moment
de la représentation
par temps
d'insensées
  catastrophes
bien raisonnables
 multipliant
le bonheur
en larmes
 dévoilant
 l'assassinat
du pour mourir
ignorant
L'EFFROI
piégé
par la
VÉRITÉ
 et ses petites
 musaques 
en dons
 de danse
éclipsée
d'ABANDON



Détachement
du possiblement
vous
d'après-vous
par honte
et qui sait
miroir
et 
TOUT
en ignorance
comment 
autrement
songe... .
PAS LÀ
et sachant
encor
par
d'infimes
moments
 crépusculaires
ne pas y être
à la
 FIN



Balzac *
Sartre **