17 avr. 2022

Main Tenance


Après
il était...
la fin 
et depuis
l'homme marche
sur la lune
de sa mort
passé
il y à 
plus d'un an déjà
plus d'un an
et des poussières
la terre ayant été
délogée
de son orgueil
est passé au stade
moléculaire
l'inattendu
c'est cette échos
lointain
ICI 
à l'instant
du UN
des uns
en autant en emporte
le vent
devenu
l'Homme
et ses Frankensteins
sur le Titanic
radeau de la mésuse
de l'insaisissable
chose
que l'ART
sauvant l'anéantissement
de la lumière
Pérennité
des parois
ancestrales
allée simple vers
l'effroi
de la Beauté
éloignant
le pouvoir
de captation
des belliqueux 
pour la maîtrise
de l'innocence
d'un petit dessin
à dessein
de moins de morts
au bout du chant
un chêne
un pin
des nuages
oiseaux
bleu
jaune
rouge
et du blanc
pour faire plaisir
et du noir
pour faire
 pleurer
le
TOUT


'' Tout est organisé
pour nous faire prendre le vide
ou le pas grand chose
pour un évènement '' 
Alors c'est 
ou 
etc tce cet
autre objet de mes
lubies
Art pour 
UN
tableau
de Friedrich 
Soutine
et des chapeaux 
de Renoir
Bon ou pas à pas
le monde raconte
et disparait
tenant les ruines 
en mémoire
de l'Autre
qui sait...?
Le doute est que Je
JE me doute
de
 TOUT
pour faire image
oser
quoi des suites
en traits
d'abandon
de l'après d'insensé
ceci ou cela
d'assassinats
d'enfants
d'un bord comme de l'autre
conditionné
par cette histoire
du pire
saut en sa présence
dissoute
sous la prétention
inculqué
dès la couche
au banc d'essais
d'un homme
à un autre tyran 
le diable par la queue
de la cul tuerie
des tranchées
en sauves qui peux
de survies
pour mourir
dans le bocal
et c'était 
TOUT




Passe et de là
d'éternité
au quotidien
d'en Somme
les mêmes
élevés des chairs
à chaises hautes
au Paradis
de mémoire
oubliée
depuis
les désastres
eschatologiques
aux marathons
pour des pommes 
bombes
Après les gueux
sorties
des moisissures
universellement
corps rompus
qui croyait
 l'Ange
kafkaïen
de la tragicomédie
de l'Art et rieur
initiatiquement
les ténèbres
de la création
au-dessus
de
TOUT


Et il était
le jeu
à sa guise
créant 
ceci cela
il avait 
TOUT
compris
alors
disparaître
il lui fallait
avec le monde
sa création
et pas
SEUL
enfin ce n'était
pas
Pas
un essais
de quelque chose
RIEN
dans les poches
les mains
semelles de vents
d'avant devant
pas un homme
mais quoi
la mer rouge
comme une pomme
au micro-onde
des têtes
créées
dans le dessin
la main l'oeil
sur la feuille
maintenant
ce qu'il faut
au bon endroit
dans l'altérité
de ce qui 
EST
noumène
en ce qui
reste insondable
et inconnu
Mais dans le 
Silence
des arts
le beau
réel
volatile 
le vol des oiseaux
dans les tunnels
de la 
Morgue


Bronner *


Tranchées


Aux tranchées
des morts
d'hirondelles
aux sifflements
des balles
à l'air
aphasique
des boues
sanguinaires
et puis
laissant faire
le gros cerveau
rassuré
du reste de Beauté
éternise
la saisie d'innocence
assassiné
pendu
au clavier
d'absence
Guerre
d'avancer
aux décombres
du désir
décadré
des morsures
du froid
cries larmes
sans armes
responsables
lobotomisés
parcelles
d'art d'us
été
quoi?
Folle
vérité d'Amour
insaisissable
ensemble
d'antre en nous
sang de tête
en tous ses éclats
chemin faisant
du réel
l'émerveillement
de l'Effroi
l'intolérable
passage
qui sait la lumière
à je nous
réconciliés
d'hommes heures
 temporisés
de nuits
sacrifiées 
tenant d'enfances
le Jeu
de jouvence
et mortelle
éclaircie rose
astres
dérangés 
d'êtres
ensemble
de perfection
ouvrant l'univers
au plus grand
qu'ignorance
au jardin
désherbé 
des délices
d'extase
dans le brouillard
des limbes
que de répondre
à la demande
du modo
répondant 
aux sans gènes
de m'a tu vu
mitraillette
mitraillant
la crise du lard
d'abattoirs
économiques
dans la tranchées
des supermarchés
en attendant
les barbares
requiem
Paradis
sans la mort
des anges
incompréhensibles
festin
d'affamés
Et derrière
Bach
oui qui 
EST LÀ
'' La mer est sans route,
la mer est sans
 explication'' *
et la ritournelle
des allées et venues
sur la 15ièmes
Marguerite
en aile
à dessein
sur la table



L'autre côté
ICI
MÊME
'' L'homme est bon
mais le veau 
est meilleur '' **
Don sans mesure
des fleurs
et la vie qui tient
seule
et du vent de l'eau
oiseau
dans un cerveau
divine
chérie
Des larmes
la richesse
de la pauvreté
Enfin
quoi 
'' Toute guerre entre
humain,
est une guerre
fratricide'' **
ET des cieux
sous les chiens
et bien avant
le monde 
cette farce
réel
de brigands
malfrats
de malfaisances
et de
 BOOM
boom
sur l'innocent
plus que 
MONDE
de rire




'' Socles Et Poussières'' 
(2008 acier soudé)
***
...et des choses cachées
des enfants
qui au gré des bienvenues
des passages
instant fugaces
et universel
tranchées des oiseaux
aux vols
volés
des dévoreurs
d'en Somme
aux tables
saintes et bénies
de l'Effroi
des coeurs
d'à jamais plus
la misère
des joies nouvelles
sous 
 les nuits
 de Crystal 
l'Amour
naïf
des os frais
d'autodafés
sans fins
toutes les fins
ÊTRE



Cavafy * 
Brecht **
Lavoie ***


15 avr. 2022

Des Parts




Le coeur corps
d'encor
d'où va cette affraire
de fanfare
de lumière
en jour
et de croques messieurs
au micros ondes
et où va l'art
on y vas
Barque
d'épaves
raboutées
amalgamée
En FIN
Prix Bébelles
d'encor 
sous vide
avide
de passer dates
Pas né 
pas le temps
y à que l'éclair
qui tof
qui s'accroche
et le coupable
le bouc
le pas fin
monstre
tyran
le diable
par la queue
c'est lui
le verbe c'est fait
chair et cher
à cannons
bombes
en torse
Mais des oeuvres d'arts
'' Une oeuvre d'art
devrait toujours
nous apprendre
que nous n'avions 
pas vu 
ce que nous voyons '' *
et d'autres 
l'art cette chose
qui se pend au sérieux
de l'en faire
des faux en faux 
de faux
et fautes de mieux
Fait moi
un dessein
avec ou sans fautes
avec ton sang
fait moi un dessin
sang  savoir 
sans tous
un tout petit
quelque chose
de lumineux
des entrailles
de ciel et d'enfer
Enfin
des bouts
raboutés
du sens 
d'anciens désirs
sensés 
donner la jouvence
du peu qui manque
de conscience
pour tenir tête
au destin
des fins dernières
Et des musées
de mains
élevant 
des disciples
respectueux
des boues
changées
en or des misères
au passage
des pas eux
ceux-là
les pendus
aux murs
en comptes
d'histoires
arrangés
avec les dés pipés
belote
et rebelotes
l'insignifiance
guerroyant
sous l'enfance
des morts
innommable
cacophonie
d'abattoir
en l'infini
du pire
y a pire
et l'Art et bien
l'agriculture
étant 
technologiquement
disparue
sous les bombes
monétarisées
des chants de mines
basses
l'Art est main tenant
sous la dalle
des masses
avec la poussières
des ruines
de quoi au juste?
De la cavale
celle de la poésie
de la peau aussi
avec l'état
et ses organes
de reproduction
du cSo
élevant sa semaison
a la '' La plus grande chute
est celle qu'on fait
du haut de l'innocence ' *
et des champs
de patates au chant
 proématique
de pas un homme
pour cause
de désinformations
 théâtrales
et des maux mots
words
Il était...de de de de...
en l'assiette
Abattoir
d'Hommes
en toutes morts
exaucées
ayant fermé
le couvert



L'éternité
sans fin
 bicyclette
stationnaire
en corps
décrépie
devant la glace
refroidie
des ristournes
autres mondes
aux chairs
moisies
tenant proématiques
le train d'en faire
la sortie 
hors...
Voici des redondanses
proématiques
en formes
de folies
radiées
des cimes terres
à mains
et c'est 
ICI
le tri
des sevragés 
serviles
ensevelies
à têtes
de fabrications
 guerrières
 reliquats
d'enclumes
virtuellement
effacés
du quai des brumes
insignifiantes 
tueries
eschatologiques
en toute fin
pratique
résurrection
des matières
premières
et confettis
de pommes
théorèmes
pointes de silex
ossatures
d'ordures
et ruines babines
Lentement
se dégage
le fruit
des entrailles
du retour
nietzschéen
de la Beauté
d'enfance 
retrouvé
laissant venir
à eux
l'infime  
parcelle 
d'Amouir
et quoi d'autre
en
Somme



Ronde de jour
et passe-muraille
et qu'elle muraille...
La Muraille
des murailles
celle-ci...
voilà
De LÀ
et puis 
la SOLITUDE
pas de mouvements
rassembleurs
et encore
pour qui quoi
Écoles de et ismes
et des comptes rendus
interminables
sur...
Fausses
fosses
assurances
et l'émotions
cryptées
de parois
à murs 
entoilés
d'étoiles
anonymes
époques
devenues
de synthèses
à la 
Bombe
Rire
ou
 mourir
Alors




Où sont les morts
2 milles trillions
d'ici
 là et là
des tonnes
d'ossements
à la ferveur
de naître
pour un trait
de caractère
crayon
d'amour
souffrances
où va cette chose
curieuse
menée
par le commencement
de la fin
de quoi?
Et que pourront-ils
esseulés
divisés
menés
branchés
débranchés
c'est
TOUT
et des dires en masses
le fouet
métamorphosé
en pilules...de...
Rire 
avec Coluche
ou Cioran
ou
Seul
comme un grain
de sable
cueillant
les pâquerettes
du moment
qu'il fait 
...


Et des vrais affaires
Où d'Où vers Où
ceux qui entrer ici
dantesque
kafkaïenne
en ( laissé moi vivre
ce qui m'aide 
à vivre )
et de LÀ
Petits dessins
d'au suivant
Etc


Qu'est-ce que l'Art
sous les bombes
la Bombe
 l'affamer
du mourant
décorant le tombeau
d'atomes
et de poussières
Vincent
père
et le peintre
découvrant
la danse de
Matisse
pour une dernière Valse
avec Chostakovitch
et de la nourritures
de main à mains
de particules
et les menteurs
Qu'est-ce que l'oubli
du retour
éternel
de l'ennuis
mère de tous les vices
Qu'est-ce que peindre
dans la niche
d'Héraclite
Evidemment 
tenir
le plus près de la fin
possible
et tenir le beau
comme le commencement
du terrible
de l'aujourd'hui
de conscience
à la naïveté
de pour en sortir de l'enfer
Qu'est-ce que l'Art?
Et bien l'Art
EST
et vient la lumière
le soleil
les étoiles
d'effrois
de Vincent
la florilège
 la nuit des temps
les misères
l'émerveillement
du sangs chauds
les paradoxes
les émotions
de montagnes russes
de l'Amour infini
qui monte dans l'âme
et le nid 
des feuilles
des branches
Qu'est-ce que l'Art?
Entre-nous
antre en nous
l'entretien
Mais de quoi?
À contre tout contre
vous
l'envol des outardes
aux cycles
anonymes
signant le ciel
la terre mère
de la fleur bleu
novalienne
tenant
l'impossible
petit dessin
toujours
à contre crédulité
naïve
par l'Art
attaché à ses lubies
contre la machine
infernale
du sommeil
'' S'endormir
c'est perdre corps '' *
du dessin
en plein joursens
d'attraits sans fins
pour un dessein





Valéry *
Muller **

Cavale



En signes
d'attache
à cela
et partir
cavale
hors dedans dehors
les milles 
raisons
raisonnantes
d'en Somme
Gouffre aussi
de l'Art
aux horizons
balbutiés
 de la vie
cette chose
Nature
natures
Pas un homme
un énergumène
en 
voyant dlà vent
Un renaître
d'exil
mais attentif
à la corrida
des amours
mortes
À contre genoux
jenous vous tue
avec le dé
terminateur
de la fin
du vécu à côté
en retrait
pour le trait d'union
avec la vrai
qui est 
ICI
comme
 l'ÊTRE
le veux



Impuissance
et pourtant
la poussière
coure
au vent
essaime
en passant
un conte
où peux dormir
tranquille
l'effroi
des couleurs
du déjà vu
 Nature
natures
avalant
la Beauté
des jours promis
Morte
composté
l'idée de la Mort
des poules
sans têtes
dans le jardin
au paysage 
troublé
des bombes
Des mains données
inutiles
assurances
guerres et paix
des chambardements
et sans fin
les traîtres
à l'esprit
qu'engouffre
l'éphémère
au vert
pâturage
des fermes
noires et blanches
des villes 
où broutent
les gens 
du commun 
milles et des millions
milliards
sur la terre
couvant
son noyau de feu
quelque chose
de très orgueilleux
à été
un soir
d'hiver
givré des coeurs
 tard la nuit
au festival 
des lumières
plaquées
aux façades
en bouches
débordées
d'ossuaires dérivant 
de la Mort
boomerang
revenu
d'ancestraux
délires
enfermement
d'arrières
pas moi l'autre
et encore
dans la tranché
réminiscence
de la sourde
infestation
du néant


Du même 
facteur
déterminé
d'amusements
futiles
d'insensés
naufrages
pour un flirt
cligné de l'oeil
même déterminé
d'avance
au printemps
sans saison
et dantesques
bouées
des cimes
à croire
aux mots
démis du sens
splendide
que d'être
ICI
mais 
NULPART
encor
en reste à dire
ourlant
d'antithèse
la mystérieuse
main levé
persistant
à faire parler
le temps
tenant la main
de son pantin
pantois
malgré tout le délavé
du ciel
ce dégradant
sans gène
des chairs labourées
d'un insensé
passage
de la
MORT
en cette beauté
effrayante
d'' Un grain de riz,
je ne sais pas ce sais pas
ce que c'est.
Je ne connais
que son prix .''
Milles fois 
une et comme
une oignon
de pelure
en pelures
s'efface
la nuit du temps
en plein jour



Brecht *